Maître Kurumada a apporté son travail pour la première fois au Jump quand il était en troisième années de lycée. Un récit sur un délinquant d'études secondaire, inspiré par l’admiration qu'il avait du travail du mangaka "Hiroshi Motomiya".En dépit de ne pas gagner le prix du concours, j'ai reçu une lettre du rédacteur en chef. Bien qu'il ait été déçu à l'époque, il y avait quelque chose qui brillait un peu dans mon œuvres. Seulement, il y avait des bases que je ne comprenais pas sur l'écriture d'un manga et a souhaité me contacter. Puis cette personnes est partie vers un autre magazine (pas sûr du tout de la traduction de cette partie).Le nouveau éditeur lui demanda alors d'être assistant du mangaka de l'oeuvre "Samourai Giant".Au début, il était plus d'une aide pour moi que le contraire, mais au final j'ai fini par l'aider chaque semaine pendant à peu près deux ans. J'ai ainsi pu voir l'"éclat pur" d'un manuscrit professionnel.Comparé à ceux que j'avais pu dessiné auparavant, je me suis sentis complètement différent, et en tant qu'assistant, j'ai ainsi acquis le savoir faire de dessiner un manga. J'ai également compris la dureté d'une série hebdomadaire.Maitre Kurumada a nommé les noms des différents éditeurs avec qui il a travaillé. Il garde de très bon souvenirs plein de nostalgie. Il nous a même dessiné rapidement des caricatures pour nous les expliquer.Le plus frappant était au moment de la publication de Fuma no Kojiro. Mon père était tombé malade. A cette époque, la rédaction ne donnait pas de repos à un manga populaire, alors je suis partit dans une chambre d'hôtes près de l'hôpital qui était à presque six heures de Tokyo, afin de continuer de dessiner. J'ai alors emprunté un vélo à l'auberge Ryokan à cinq heures du matin dans le brouillard afin d’apporter mon manuscrit à la gare, où il n'y avait personne étant donné que c'était les premiers départ de train. J'ai alors regardé mon éditeur s’éloigner dans le train...Je suis sincèrement reconnaissant à ce gars-là pour la vie. Le travail d'éditeur et de manga ont été fracassante de semaine en semaine.Je suis heureux des partenariats que j'ai eut jusqu'à aujourd'hui. Je pense qu'il y a un sentiments de communions dans ces moment où on doit tous les deux relever les manches...
Pour la première couverture de Saint Seiya dans le Weekly Shonen Jump, vous avez dit quelques choses de surprenant : "L'images ne fait pas briller."Saint Seiya fut un travail qui a commencé suite à l'annulation de ma précédente oeuvre Otokozaka. J'avais donc encore le sentiments d'avancer à tâtons dans l'obscurité. "Non, je ne suis pas prêt d'être vaincu, sinon je disparaîtrais de ce monde"... C'est ce genre d'inquiétude que j'ai voulu reflétée dans le visage de Seiya. Comme indiqué dans Ring ni kakero, "ne pas travailler" et "chuter" sont commun. Donc, de ce fait, Saint Seiya a été fait avec beaucoup de volonté (rire).Saint Seiya a donc commencé avec beaucoup de volonté, et l'oeuvre à gagné les jeunes lecteurs ainsi que leurs coeurs. Chacun des chevalier "jolie garçon" avait leurs personnalité bien différentes et donc leurs fans.Ce n'était pas l'intention (rires).Ils ne sont pas qu'un soutiens à Seiya et ont ainsi chacun gagné leurs rôle de premier plan. Parce que je suis de la génération de "Group Sonds" (genre musical de rock japonais apparue à la fin des années 60 ), souhaitant réunir cinq personnage, j'ai pensais à amener une variations pour chacun d'eux. Des personnages un peu comme Julie ou Shoken...(ref à Otokozaka ?). J'ai pensé que des hommes avec différentes type de caractère pour combattre seraient accepté.Une fois adapté en anime, Saint Seiya connu un grand succès non seulement au Japon, mais aussi dans le monde. Et en 2017, il est annoncé qu"un film d'Hollywood sera produit.Verra-t-on les USA conquit via ce film ? Je m'en réjouis d'avance...
Sur le Weekly Shonen Jump d'aujourd'hui, voilà ce qu'il en dit.Aujourd'hui, il semblerais que beaucoup d'auteurs réalise de belles œuvres. Ils ont de beau style dans les pages de magazine (rires). Je les envies pour leurs œuvres. Je suppose que le Jump est connu dans le monde. Et qu'est ce qu'il deviendra plus tard ? Je me frappe la tête pour prédire l'avenir (rire). On parle d'un film à Hollywood, mais je pense que la puissance du mix média est en train de trembler (stratégie qui consiste à diffuser le contenue sous différentes formes de média). Quand Saint Seiya fut adapté en anime les vente du manga ont été incroyable. Aujourd'hui, en ce sens, le contenue du Jump est un répertoire énorme, également sur les œuvres du passé.Aujourd'hui, Maître Kurumada écrit de nouveau Otokazaka, une série du Jump il y a 30 ans de ça.Comme je l'ai dit au dessus, c'était un travail qui fut annulé. Ce n'était pas une priorité, étant annulé en moins de trente semaines, mais qui peut voir la lumière du soleil encore aujourd'hui (pas sur de la traduction / lumière du soleil, surement réf au prénom du héro ^^). Je pense qu'elle possède un talent latente (rire).Maître Kurumada nous explique qu'il a encore beaucoup de travail à réaliser.Après tout, dessiner des manga me permet de vous montrer que je suis encore en vie. Il y a aussi la suite de Otokozaka. Et il y a encore beaucoup de contenue pas encore annoncé.Je ne perdrais pas face au jeunes ! (rire)..
samurai spirits manga par kurumada ?
Oui c'est juste pour illustrer la news.
A noter que le nouveau chapitre d Oz est sortis et Kurumada est vraiment devenu l'ami des bêtes ^^Ps: au taff ne peut copier le lien
J'ai récupéré les illustration d'époque avec le message de Kuru en dos de page. Mais tout en japonnais ^^ .