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Messages - Rincevent
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« le: Aujourd'hui à 09:57:51 »
Ces prénoms pourris et improbables que je vois parfois passer : Kamron et Believe... Pauvres gamins.
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Déjà qu'on veut pas faire de gosses dans l'état actuel de nos pays ... Alors le sien, il croyait quoi ? ![[:lol]](http://forum.saintseiyapedia.com/Smileys/custom/lol.gif)
L'avantage c'est que leurs cousins du sud risquent moins de se faire submerger démographiquement par le nord. En même temps c'est pas comme s'ils étaient en bonne situation non plus.
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C'est ce qu'on appelle avoir une main sûre.
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« le: 05 décembre 2023 à 20:56:29 »
Oui, certainement.
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« le: 05 décembre 2023 à 19:54:13 »
Je suis allé voir ce que donnait le reste du monde sur gogol images et franchement ça se vaut (le vicomte).
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« le: 05 décembre 2023 à 19:50:35 »
Disons qu'il va commencer (ou recommencer ?) à avoir une quelconque utilité parce que jusqu'à présent... en avait-il une ?
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« le: 05 décembre 2023 à 19:44:50 »
Et bim ! ![[:blessure2]](http://forum.saintseiyapedia.com/Smileys/custom/blessure2.gif) C'est bien ce qu'on te reproche! Faut bouger de ta grotte et voir le monde! 
Ma grotte vaut largement le reste du monde.
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« le: 05 décembre 2023 à 19:17:31 »
Ils sont assez rares ici.
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« le: 05 décembre 2023 à 11:51:48 »
Vu que j'ai pas de compte cuicui c'est déjà un sacré coup de bol de retrouver celui-là.
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« le: 04 décembre 2023 à 22:33:20 »
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« le: 04 décembre 2023 à 22:27:58 »
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« le: 04 décembre 2023 à 19:43:54 »
Sans doute un Français au volant.
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« le: 04 décembre 2023 à 15:32:39 »
Les gens laissent traîner (et ramassent) n'importe quoi...
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« le: 04 décembre 2023 à 13:44:17 »
Un homme qui a fait beaucoup pour les gens, c'est triste. Respect.
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« le: 03 décembre 2023 à 21:42:06 »
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« le: 03 décembre 2023 à 17:29:23 »
On verra bien un jour mais je ne serais pas surpris s'ils avaient juste grossi le trait pour les tunnels auxquels ils avaient accès, le Hamas disposant certainement d'une infrastructure conséquente sous terre. Quelle région maudite... EDIT : abrutis... ![[:haha pfff]](http://forum.saintseiyapedia.com/Smileys/custom/haha_pfff.gif) Israël connaissait le plan d'attaque du Hamas depuis un an, selon le «New York Times»
Charles Delouche-Bertolasi
Un projet d'assaut du Hamas, quasi identique à celui du 7 octobre, circulait depuis l'an dernier au sein de l'armée et des renseignements israéliens, affirme le quotidien américain. Jugée irréaliste, la menace n'a pas été prise au sérieux.
Un jour, «après la guerre» selon l'aveu même du Premier ministre Benyamin Nétanyahou, des responsables politiques, militaires et des services de renseignements israéliens, devront rendre des comptes à leur peuple sur le fiasco du 7 octobre. Quand ce jour arrivera, le besoin de justice et de responsabilité tournera autour de questions aussi simples que lourdes de conséquences : qui savait quoi, et quand ? Qui aurait pu empêcher, ou tout du moins freiner, l'assaut sanglant du mouvement islamiste dans le sud de l'Etat hébreu, qui a coûté la vie à environ 1 200 personnes ?
Un document en particulier, dont le New York Times a révélé jeudi 30 novembre dans la soirée l'existence - sans le publier - dans une enquête explosive et glaçante, risque de focaliser l'attention : un plan de bataille détaillé du Hamas, sur lequel le renseignement militaire israélien était parvenu à mettre la main dès l'an dernier. Mais qui n'a donné lieu, d'après le quotidien américain, à aucune mesure de prévention, aucune décision opérationnelle, malgré les alertes répétées d'au moins une analyste chevronnée, visiblement balayées par sa hiérarchie.
Ce plan, long d'une quarantaine de pages et dont le New York Times dit avoir consulté la version traduite de l'arabe vers l'hébreu, avait été baptisé du nom de code «Jericho Wall» («Mur de Jéricho») par les renseignements israéliens, d'après les anciennes fortifications de l'actuelle Cisjordanie. Si le document ne prévoyait pas de date précise pour l'offensive, il décrit néanmoins une opération de grande ampleur destinée à submerger la frontière ultra-sécurisée autour de la bande de Gaza, à prendre le contrôle de villes israéliennes ainsi que des bases militaires clés, dont le quartier général d'une division de Tsahal.
Il débute par une citation du Coran : «Surprenez-les par la porte. Si vous le faites, vous serez certainement vainqueurs.» Une phrase largement utilisée par le Hamas dans ses vidéos et ses déclarations depuis le 7 octobre. La stratégie était claire : un déluge de roquettes au début de l'attaque, l'usage de drones pour neutraliser les caméras de sécurité et les mitrailleuses automatiques le long de la frontière, et enfin l'infiltration d'hommes armés se déversant en masse en Israël, à l'aide de parapentes et de motos, ou à pied, perçant la clôture sécurisée qui entoure le territoire palestinien via 60 points de passage préalablement identifiés. Un plan que le Hamas a mis en application le 7 octobre avec une précision méthodique, massacrant environ 1 200 personnes en une journée et capturant près de 250 otages.
Existence éventuelle de fuites
Le plan du Hamas comprenait également des détails sur l'emplacement et la taille des forces militaires israéliennes, les centres de communication et d'autres informations sensibles. Des informations qui soulèvent des questions sur la façon dont le Hamas recueillait ses renseignements et sur l'existence éventuelle de fuites au sein de l'appareil de sécurité israélien.
Qui a eu connaissance de ce projet prémonitoire ? «Ce document a largement circulé parmi les dirigeants de l'armée et des services de renseignement israéliens, mais les experts ont estimé qu'une attaque de cette ampleur et de cette ambition dépassait les capacités du Hamas», résume le New York Times. Qui dit ne pas savoir si Benyamin Nétanyahou ou d'autres dirigeants politiques israéliens en ont pris connaissance.
Dans sa propre analyse sur la menace, la division militaire de Gaza, en charge de l'enclave palestinienne et de ses environs, reconnaissait fin 2022 la volonté du Hamas «de planifier un nouveau raid, d'une ampleur sans précédent», mais doutait à la fois de l'état d'avancement du projet et de la capacité du mouvement à la mener. «Il n'est pas encore possible de déterminer si le plan a été pleinement approuvé [par la direction du Hamas, ndlr] et comment il sera mis en oeuvre», indiquait l'évaluation militaire, dont l'auteur n'est pas identifié.
Selon le New York Times, le document a néanmoins fait l'objet de discussions nourries au sein du renseignement militaire. En juillet 2023, trois mois seulement avant l'attaque du Hamas, une analyste chevronnée, vétéran au sein l'unité 8200, l'agence israélienne de renseignement électromagnétique et de déchiffrages de codes, tire la sonnette d'alarme. Et signale que des dizaines de combattants palestiniens ont mené un exercice d'entraînement intense d'une journée, sous l'oeil avisé des hauts commandants du Hamas, similaire en plusieurs points au «Mur de Jéricho». Au programme : des exercices pour abattre des avions israéliens, la prise d'un kibboutz et d'une base d'entraînement militaire, ainsi que l'exécution de soldats israéliens. Au cours des manoeuvres, les combattants du Hamas auraient notamment clamé la citation du Coran figurant en tête du plan d'attaque.
Cascade d'erreurs
Pas de quoi, toutefois, alerter le colonel israélien de la division militaire en charge de Gaza. Si ce dernier a «applaudi» le travail d'analyse, il a jugé le scénario d'une attaque «totalement imaginaire» et hors de portée des capacités opérationnelles du mouvement islamiste. «En bref, attendons patiemment», aurait écrit le gradé en réponse à l'analyse, dans un courriel consulté par le New York Times. Les échanges ont continué, l'analyste, soutenue par ses collègues, renouvelant ses mises en garde. «Je réfute catégoriquement l'idée que ce scénario soit imaginaire [...] C'est un plan conçu pour démarrer une guerre. Ce n'est pas simplement un raid contre un village», a-t-elle écrit au colonel. Sans être entendue.
Interrogés sur l'existence de ce plan «Mur de Jéricho», l'armée israélienne ainsi que les services de renseignements intérieurs et extérieurs israéliens, le Shin Bet et le Mossad, se sont refusés à tout commentaire. En réponse aux manquements ayant précipité l'attaque du 7 octobre, le gouvernement israélien a prévu de mettre sur pied une commission chargée d'étudier les événements qui ont précédé les attaques. Et ce document devrait être au coeur des débats tant il met à nu une cascade d'erreurs, aboutissant à ce que les autorités considèrent aujourd'hui comme le pire échec des services de renseignement israéliens depuis l'attaque surprise qui a conduit à la guerre israélo-arabe de 1973.
Pour Ted Singer, un haut fonctionnaire de la CIA cité par le New York Times, ce fiasco montre «une lacune dans l'analyse» des services de renseignement de l'Etat hébreu, ce qui n'a pas permis de «convaincre les dirigeants militaires et politiques que le Hamas avait l'intention de lancer l'attaque». Avant de conclure : «L'échec des services de renseignement israéliens le 7 octobre ressemble de plus en plus à notre 11 septembre.» Les services américains étaient au courant du projet de Al-Qaeda d'attentat avec des avions de ligne, mais ne l'avaient pas jugé crédible.
https://www.liberation.fr/international/moyen-orient/israel-connaissait-le-plan-dattaque-du-hamas-depuis-un-an-selon-le-new-york-times-20231201_SRYZLFARV5GJJGJLAXYANAAMSA/Abrutis²... ![[:aku4]](http://forum.saintseiyapedia.com/Smileys/custom/aku4.jpg) En Israël, la bavure d'un soldat de Tsahal symptomatique d'une culture de la violence
Nicolas Rouger
La polémique enfle autour de l'exécution par un membre de l'armée d'un civil israélien qui venait de tuer deux terroristes palestiniens jeudi 30 novembre à Jérusalem. Le Premier ministre Benyamin Nétanyahou n'a même pas condamné le tragique événement.
Jeudi 29 novembre au matin, à l'intersection de Givat Shaul, dans le nord de Jérusalem, alors qu'une trêve fragile est encore en cours à Gaza, les frères Namer, deux Palestiniens, ont tué trois Israéliens dans une attaque revendiquée plus tard par le Hamas. Cela aurait pu être pire : ce carrefour pullule de monde. Mais un civil et deux soldats israéliens coupent court à l'attentat quelques minutes seulement après le début de la fusillade.
Toute la journée, les réseaux sociaux israéliens les félicitent. A l'extrême de la droite israélienne, on a du mal à cacher, par décence, sa joie : non seulement cela renforce la théorie selon laquelle il faut que les Israéliens s'arment, mais un des soldats se réclame fièrement des «jeunes des collines», les adolescents hirsutes et exaltés qui représentent l'avant-garde violente du mouvement des colonies. Le soldat Aviad Frija, 25 ans, habite Ahiya, une petite colonie israélienne entre Naplouse et Ramallah. Cette avancée conquérante de Shilo, site biblique devenu petite ville en pleine expansion, est réputée pour sa violence envers ses voisins palestiniens.
Deux parlementaires du parti suprémaciste Force juive relaient sa photo sur Twitter (renommé X) avec en sur-titre un simple : «Héros». «Chaque soldat de Tsahal meurt d'envie de mettre une croix sur son arme», raconte fièrement Aviad Frija, interviewé à la télévision après l'attentat. Ce n'est pas un euphémisme : dans l'armée israélienne, certains aiment mettre une marque à leur fusil pour chaque personne tuée.
Culture du silence
Pourtant, alors que la journée de jeudi avance, une autre partie de l'histoire émerge. Quelque chose cloche : c'est une des victimes, en situation critique à l'hôpital, qui a apparemment tué les deux assaillants. On apprend le nom de «ce vrai héros» : Yuval Doron Castleman, 38 ans, juriste. Il succombe à ses blessures et sera enterré le lendemain, le jour de son anniversaire. Le soupçon monte : où sont donc allées les balles des soldats ? Finalement, un journaliste, Yossi Eli, arrive à mettre la main sur une vidéo, jeudi dans la soirée, filmée de loin, montrant ce qu'il s'est passé exactement.
Yuval Doron Castleman est au milieu de la chaussée. Il a jeté son arme, enlevé son blouson ; il est à genoux, les bras en l'air. Un soldat s'avance vers lui, le civil jette son portefeuille pour montrer sa carte d'identité. Yuval Kestelmann crie «ne tirez pas ! Je suis Juif !» en hébreu à plusieurs reprises, selon un témoin, mais le soldat qui s'avance lui tire dans la bouche, puis dans l'abdomen. Dans une capture d'écran, on voit Aviad Frija dans son treillis vert Tsahal regarder le mourant de loin, M16 dans la main droite, pistolet dans la main gauche. Il continue à tirer, vide son magasin, disent les témoins, bien que tout le monde, y compris l'autre soldat, lui disent d'arrêter.
Ce n'est qu'après la publication de cette vidéo que la police sort jeudi soir un premier communiqué laconique, expliquant que, selon l'enquête, «un des soldats aurait mal identifié et suspecté Yuval d'être un troisième terroriste». Ce dimanche 3 décembre, la police militaire rejoint finalement l'enquête, alors que, selon la presse israélienne, le soldat n'aurait été ni mis à pied ni ne se serait vu retirer son arme. Tsahal préfère laver son linge sale en privé, se refuse à punir publiquement les soldats qui brisent ses propres règles d'engagement. Mais Yuval Castleman est juif, israélien, et un héros : cela pourrait faire sauter la culture du silence et de l'impunité qui caractérisent jusqu'ici les enquêtes israéliennes quand la victime est palestinienne.
«Radicalisation brutale de la société»
Le frère de Yuval, Shaked, s'est indigné d'avoir appris les détails du drame par l'intermédiaire des médias et «non des officiels qui seraient supposés nous informer». Mon frère a «été tout simplement exécuté, c'est la seule manière de voir les choses», a-t-il déploré.
Dimanche soir, l'armée israélienne a finalement publié un communiqué affirmant qu'une enquête sur l'incident serait menée et insistant sur le fait que des «soldats ne sont pas supposés tirer sur quelqu'un qui a les mains en l'air et se rend, même s'il s'agit d'un terroriste».
Même si enquête il y a, on ne mettra pas directement sous le microscope de la justice ce qui a autorisé la gâchette facile d'Aviad Frija, cette culture de la violence qui a pignon sur rue dans le gouvernement israélien actuel, qui réclame l'exécution sommaire de tout «terroriste», qui élargit la définition de terroriste à tout Palestinien, voire à tout Arabe. «Nous paierons tous le prix pour la radicalisation brutale de la société israélienne en milices meurtrières à qui on a donné la permission de tuer», s'est emportée l'association La paix maintenant.
Au plus haut sommet de l'Etat, on semble toujours avoir du mal à saisir l'absurdité tragique de la situation. Quand on lui demande si le problème vient du fait qu'il y a trop d'armes en circulation, le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, tenu par la frange d'extrême droite du gouvernement, concédait samedi soir au cours d'une conférence de presse que «quand on donne un grand nombre d'armes à la population, cela peut arriver», mais affirmait aussi soutenir cette politique. Avant de conclure, presque désinvolte : «Nous paierons peut-être un prix pour cela, mais c'est la vie.» Le Premier ministre, déjà mal en point dans les sondages, stigmatisé pour s'être calfeutré dans une tour d'ivoire depuis le massacre du 7 octobre, aura encore raté une bonne occasion de ne rien dire.
https://www.liberation.fr/international/moyen-orient/en-israel-la-bavure-dun-soldat-de-tsahal-symptomatique-dune-culture-de-la-violence-20231203_CWATDDMT7NEERNGGWI42JWR2UM/Je ne pensais pas que ça se ferait là d'abord mais tant mieux. https://www.courrierinternational.com/article/societe-le-nepal-devient-le-deuxieme-pays-d-asie-a-reconnaitre-un-mariage-lgbtqi
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« le: 03 décembre 2023 à 10:41:13 »
Elle existe vraiment, cette ville ? Non parce que si c'est le cas, je veux plus vous entendre vous moquer des noms de patelins lorrains ou alsaciens 
Allez, pour rire et se souvenir.  Mon vieux qui passe la semaine à participer à l'implantation d'une forêt miyawaki, avec venues de classes, etc. Apparemment cette nuit des connards sont venus rouler sur les plants avec un fourgon, quitte à s'enliser.
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« le: 02 décembre 2023 à 23:52:24 »
Oui bon, ok, c'est effectivement un peu plus classe que l'arrière du monoprix de Chantemerle-sur-Joire par temps de pluie.
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« le: 02 décembre 2023 à 23:50:45 »
C'était pas mal. J'ai pas éclaté de rire non plus mais c'était très sympathique.
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« le: 02 décembre 2023 à 12:39:37 »
La question est maintenant de savoir si les événements ont refait monter la cote de popularité du Hamas ou s'ils lui seront irrémédiablement reprochés. https://www.nouvelobs.com/monde/20231130.OBS81506/a-gaza-les-palestiniens-font-ils-confiance-au-hamas.html?utm_source=pocket-newtab-fr-frLa question est effectivement d'une connerie hallucinante. Le mec se défend, pas le choix, et on lui demande s'il s'est fait justice lui-même..... . Ça va vraiment pas bien. Et le mec a une excellente réponse. Compte tenu de la stupidité crasse et absurde de la question.
Vu. J'aime bien la réplique du père. Et effectivement se faire justice soi-même serait d'aller trouver les mecs après coup pour leur casser la gueule. Pas de se défendre à chaud.
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« le: 02 décembre 2023 à 11:17:01 »
Pas faux.
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« le: 02 décembre 2023 à 11:10:25 »
Ah oui, quand-même.
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