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Sujets - The Endoktrinator
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« le: 31 janvier 2022 à 17:00:36 »
Depuis trois ou quatre ans, je suis à la recherche de quelque chose. Je commence à être lassé des genres, des critères, des "j'explose les conventions", de plein de choses. Je cherche la musique qui contient... autre chose. Ce n'est pas à but utilitaire. Je n'avais pas cette envie avant. C'est venu par hasard. Est-ce que vous aussi, en écoutant une musique, vous vous sentez partir ? Loin ? Ou près mais pas là vous pensez ? La transe, c'est pour globaliser, mais tout à coup, la musique vous fait entrer dans un état second où vous vous perdez. Et quand ça s'arrête, vous découvrez que vous vous êtes déshabillé pour vous sentir... Oulah, pardon.
Pour moi, ça a basculé avec cette improvisation :
Et récemment, le groupe a sorti cet enregistrement :
Et j'ai beau écouter pas mal de disques ambient ou psyché de cette époque, très rares sont ceux qui portent en eux ce lâcher prise, cette transe brutale et cette étrangeté. Ce moment où tout bascule. Où on se perd dans une autre dimension.
Tout style est le bienvenu, tant que la sensation d'emportement et de transe est là.
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« le: 19 novembre 2020 à 22:48:15 »
Je n'ai pas pu résister.
Alors cette licence ? Le sixième va sortir, donc c'est l'occasion qui fait le larron pour parler de ces jeux vidéos sur a survie et des gros tarés qui veulent votre peau ou pas forcément.
Perso, le scénar du cinquième m'intéresse (et avec le spin off New Dawn). Et vous ? Jeu préféré, critiques, attentes...
Let's Go !
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« le: 02 juin 2019 à 12:50:45 »
Salut à tous.
J'ai décidé de créer mon topic. Comme ça. J'essaierai de poster des vidéos où on me voit en train de jouer ou de la guitare ou de la batterie.
Je vais voir si je peux trouver des vidéos anciennes (certaines datent de 2015), mais si je n'y arrive pas, la première vidéo arrivera fin juin.
A bientôt.
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« le: 09 février 2019 à 16:25:16 »
Si on veux comparer il faux comparer avec le théâtre. Si dans une pièce de théâtres les acteurs n'était pas en costume et restait comme des piquer a soliloquer leur texte d'une voie monotone vous diriez quoi?
C'est une question que, parfois, je me pose sérieusement. Honnêtement, la réponse est basique et nullement définitive mais en gros, je verrais bien plusieurs façons de voir la chose. En fait, cela dépend du contexte : - Si c'est la seule fois que cela se fait, c'est intéressant. Oui, je sais, ça peut être complètement stupide, mais au bout d'un moment il arrive de se lasser de ce qui se fait. Alors on casse le jouet pour voir ce qui se passe. Personnellement, je suis à la recherche de démarches uniques, qui veulent marquer le coup. Je pense que ça peut être bien. - Si tout une façon de faire en a découlé, je suis sceptique. Mais ceux qui s'en inspirent peuvent faire autrement, voir revenir à une démarche "classique" mais pas tout-à-fait. - Si c'est la 5596444646446464644° pièce à faire ça et rien d'autre, boycott. Point. J'ai parfois l'impression que certains types d'art peuvent se passer de caractéristiques d'autres formes. En musique, il est tout à fait possible d'allier recherche sonore et technique et composition. Je ne sais pas trop ailleurs, et en audiovisuel (le contexte de départ) cela me semble encore plus inextricable. Bref... QUID ?
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« le: 30 août 2016 à 23:21:55 »
Il était plus que temps. Au fur et à mesure que je m’impliques dans les films, une étincelle m’a parcouru : étant sur un forum sur un dessin animé japonais, évoquons des films japonais. La logique a encore fait ses preuves. On va commencer par le plus connu de tous : Akira Kurosawa. Je me rappelle que c’est parfois en fouillant les tiroirs qu’on tombe sur des trucs dingues:une vieille carte Yu-Gi-Oh! qu’on cherchait désespérément, un souvenir d’enfance. Parfois, c’est un DVD. Là c’est un DVD issu d’une collection concoctée par le journal Le Monde. Au milieu de films essentiellement en noir et blanc et ne dépassant pas les années 50, se trouve un des plus célèbres d’un réalisateur plus méconnu qu’on ne le pense. Je mets le DVD dans le lecteur. Bim, pas grand-chose au niveau du menu. La version japonaise sous-titrée semble être toute seule. Bon d’accord. Je suis parti pour deux heures trente (je ne me rendais pas vraiment compte des histoires de version intégrale, plus ou moins longue et autres) de samouraïs, de regarder l’original d’un western que j’avais regardé plus tôt. En tout cas, ça s’installe bien et je retiens déjà le personnage du sage joué par Takashi Shimura, qui sera un des acteurs attitrés du maître. Le premier vrai contact sera avec Godzilla (la version de 1954, culte comme c’est pas permis), puis de nouveau avec la rétrospective dont je vais parler. Mais je raconterai les premières fois avec un acteur une autre fois. Pour l’heure, parlons de films japonais. Aujourd’hui, parlons de films japonais. Je vais essayer d’éviter de parler du réalisateur étant donné que même si c’est encore celui qui sait ce qui se passe sur un plateau, sachons nous rappeler l’existence de scénaristes, chef-opérateurs, compositeurs et… non, je déconnes. En fait, c’était juste pour passer sous les radars de "Louis Skorecki", critique de cinéma prêt à sortir la mitrailleuse chaque fois qu’on parle plus du réalisateur que des films (comme si lui en parlait, avec des papiers en forme de dialogues artificiels qui cachent le rien). Et comme d’habitude, partout des nains, quelques géants. Et un en or. Massif. Cette année, 12 films ont été projetés, 11 se présentèrent à mes yeux. Oui, je sais, négligence, cinéphilie en bois, bouh. Que voulez-vous. Toujours est-il que le peu que j’ai vu m’a ébloui sur cet homme. Akira Kurosawa est ce géant en or. Une place dans le panthéon officiel du cinéma qu’il n’a jamais volée, même avec Shakespeare. Ce sont des expériences que je tiens à vous faire partager. Si c'est du hisptering, je veux bien être fusillé. Mettez vous en kimono, en bandana et en tailleur et lisez à l’état zen. Même si vous verrez un un deux intrus. Akira Kurosawa - Qui Marche sur la Queue du Tigre (1945). Paf, premier film dans la chronologie et première collaboration avec Takashi Shimura. Ce film-là se passe au Moyen-Age et raconte une terrible épreuve que doit passer un prince local et son escorte. En effet, un poste frontière fermement dirigé a reçu ordre d’arrêter le dit prince car son ennemi tient la région. Tout ça rythmé par les clowneries d’un colporteur. Ça ne dure que cinquante minutes, mais j’avoue avoir eu du mal avec ce film. Surtout avec ce colporteur dont le maniéré me faisait tout juste sourire. Mais un sidekick ça peut se trouver, et je l'orienterai plutôt ( @Max, @Sergorn aussi ). Pour le reste, il arrive bien pour servir la tension car jamais un film n’aura aussi bien porté son titre. Akira Kurosawa – Les Bas-Fonds (1957). Parmi les films japonais vus récemment, c’est celui où je me suis le plus ennuyé. Le quotidien de déshérités et de malchanceux dans un vrai trou est assez dur à voir. Même la présence d’un vieillard qui prend la vie du bon côté ne rassure pas trop quand on a en tête un autre film (ça, on en reparlera). Immondices, espoir et le reste. Rien n’est épargné. Un très beau film, mais personnellement, je n’en fais pas mon pain quotidien. Je vous le laisse à votre jugement. Seijun Suzuki – La Jeunesse de la Bête (1963). Nondidiou, un intrus. Et avec un sacré twist. Quand je vous ai dit que je parlerai surtout de films japonais. Quoiqu’il en soit, une sacrée curiosité dans le genre film yakuza. Akira Kurosawa – Les Salauds dorment en paix (1960). Le VRP le plus émérite d’une entreprise se marie avec la fille de son directeur. Problème : une pièce montée de plus a été livrée avec un message funeste. Excellent, un de ceux que j’ai préféré dans la rétrospective sur Akira Kurosawa. Là, on a affaire à des intrigues de famille, la vengeance et des scènes hallucinantes. J’y ai presque vu le conditionnement de l’homme. C’est vraiment terrifiant, et le rythme est parfait. Rebondissements, trahisons, suspense, tout passe. Cette version restaurée est d’ailleurs du plus bel effet, mais si les Japonais sont des impropres notoires quand il s’agit de conserver les films. A voir, et je le recommanderai surtout @BigFire , @Alaiya , @black dragon, @Max et aussi @Kodeni Akira Kurosawa – Entre le Ciel et l’Enfer (1963). A peu près dans le même registre. Mais la dernière partie est un peu plus vicieuse, à dire vrai. Cet après midi, j’étais retombé sur un post sur un forum vantant le Japon n’ayant pas de problèmes sociaux. Et ben ce film n’aide pas à y croire encore. Voir un directeur d’une compagnie de chaussures être pris le couteau sous la gorge avec un enfant qui n’est même pas le sien en dit long sur les contradictions entre l’honneur et la vie des autres gens. Il faut du temps pour comprendre le sens du titre. Une fois ceci fait, ça renforce le film. Ajoutez à ça l’enquête et l’antagoniste, et c’est tout bon. J'ai bien sûr pensé à @Cedde, @Damien et ceux qui aiment être mené dans le suffoquant et le palpitant. Akira Kurosawa – Vivre dans la Peur (1955). Celui-là était bien brûlant en son temps. Suffit de regarder la date de sortie : sept ans après le bombardement nucléaire du mois d’août 1945. Les stigmates font mal au Japon et le vieil homme qui songe même à aller au Brésil pour échapper à la Troisième Guerre Mondiale a mal aussi. En fait, Kurosawa montre une société déboussolée lorsqu’elle s’attache trop à un socle, à quelque chose, au point de vivre à son crochet. Ici, Shimura ne prend pas d’importance au début, mais vers le milieu, la performance sera vraiment impressionnante. Pareil pour l’autre acteur fétiche : Toshiro Mifune. Une véritable institution, celui-là. Et dans ce film, il est méconnaissable à tout point de vue. Maigre, décharné et anxiogène au-delà du raisonnable. Christian Bale peut aller se rhabiller. Akira Kurosawa – Dodes’Ka Den (1970). Celui que j’ai raté. Et le pire c’est qu’il y avait une séance de rattrapage le samedi suivant. Tant pis, si la télé est frappée d’esprit et d’intelligence-on peut rêver- elle diffusera ce film. Après, n’ayant pas accroché aux bas fonds, on a beau me dire que c’est LUI le chef d’œuvre de Kurosawa et un de ceux de la planète, ben… on verra. Peut-être, @Oiseau Vermillon ? Akira Kurosawa – Le Chateau de l’Araignée (1957). J’en avais déjà parlé, mais je redis que c’est très réussi et, je pense, une très bonne porte d’entrée quand on veut insister sur le réalisateur. Et puis de toutes façon, un excellent film. Pour tout le monde. Akira Kurosawa – Je ne Regrette rien de ma Jeunesse (1946). Ah ça, pour ne rien regretter, il en faut dans le froc. Et le personnage, étudiant anti-militariste et pour la liberté d’expression, en a fait son commandement. Chose qu’une camarade un peu trop couvée et frivole devra apprendre, surtout dans la rude campagne dans le nord du pays. J’avais trouvé ce film un peu plus difficile mais le dernier tiers est vraiment génial. Si vous voulez voir une femme forte, c’est le genre de films qu’il faut regarder ne serai-ce qu’au Japon. Kenji Mizoguchi – Conte des Chrysanthèmes tardifs (1939). L’autre intrus. Mais je tenais à en parler car le visionnage remonte avant la rétrospective sur Kurosawa. J'en avais parlé @Mysthe mais là, c'est peut-être trop ancien pour le coup. Akira Kurosawa – Yojimbo (1961). Pour une Poignée de Dollars avant. Point barre. @Wolgy, si tu me lis. Akira Kurosawa – Kagemusha (1980). Quand vous êtes un vagabond promis à la peine de mort et que vous pouvez remplacer le seigneur un moment, avouez qu’il faudrait être le dernier des cons pour préférer la croix. C’est ce qui arrive à au Kagemusha chargé de servir de doublure. On devient alors l’ombre de Shingen Takeda, maître du clan. Après, ce n’est pas le tout de ressemble au modèle à tel point qu’on s’y tromperait. Il faut savoir aussi faire illusion, car le Conseil du seigneur est sur les dents : jusqu’au le stratagème pourra fonctionner avec les dissensions, les ruses ennemies et la terreur qui pèse sur le Kagemusha. On a parfois accusé ce film d’être du Shakespeare en toc, les scènes de batailles d’être interminables ou inutiles. Mais ça, c’est seulement si un témoin n’était pas là pour les observer. Regardez toute la scène du siège d’une forteresse. Le Seigneur Shingen permuté se tient, il hésite, regarde autour de lui. Il est tantôt admiratif tantôt impuissant. Regardez-le, et vous verrez. Surtout @Oiseau Vermillon, @cacaman, @AZB et ceux qui aiment le destin lourd sur les épaules. Akira Kurosawa – Les Sept Samouraïs (1954). Là, j’ai pu le regarder dans sa version longue. Et je crois que c’est le film des onze que j’ai pu voir qui s’adresse à vous tous. Oui, oui : tout le monde peut regarder et apprécier Les Sept Samouraïs. Mais pas question de le regarder dans sa version tronquée pour l’export même si cela lui a ouvert les portes du succès international. En effet, le récit prend une autre ampleur : les villageois sont dépeins d’une manière différente. Alors certes, ça diminue leur détresse face aux pillards lorsqu’ils engagent sept samouraïs. D'ailleurs, un des acteurs joue un villageois peureux qui contraste avec son rôle postérieur dans Les Bas-fonds. Mais heureusement, certains personnages gagnent en épaisseur. Celui qui en avait bien besoin est Kakutshiro Okamoto, le jeune samouraï désireux d’en apprendre toujours plus. Sa relation avec les autres, surtout Kanbei et les villageois, est bien mieux montrée. Y compris avec Kikyouchi. Ah, Toshiro Mifune… Au départ, il ne devait y avoir que six Samouraïs, et l’acteur suggéra de rajouter un alcoolique car sinon, ce serait trop chiant. Un don du ciel !! Voilà un personnage qui vous fera aimer vraiment les comiques de service. On le savait à l’affiche japonaise d’époque, c’est lui la vraie star du film. Il s’énerve contre les faux semblants, on prend le temps de comprendre et d’apprécier ce personnage. Il roule des yeux, fait le clown en supervisant l’entraînement des villageois ou arrive à vraiment donner l’impression d’être bourré. Bref, assure un max. Quant au reste, vous avez développement, patience et surtout quota d’épicness qui explose le compteur. Surtout lors des batailles. Le tournage ne fut pas de tout repos : budget qui explose, soucis du détail qui commence à irriter les collaborateurs, et bien sûr l’inévitable temps pourri qui éprouve les acteurs dans le froid, la pluie et le vent. En plus, le décor du village ayant été construit selon la méthode de l’époque, ça aide pas. Et je ne parlerai même pas des autres scènes d’affrontement tournées par trois caméras en même temps. Tout ça pour une réussite. Alors oui, le grand classique, blablabla. Mais croyez-moi, le connaître c’est déjà pas mal. Akira Kurosawa – Ran (1985). Alors là, si voulez de l’épique, gare à bien ménager votre estomac. Parce que le film étant adapté directement de Shakespeare, les scènes de bataille intense, les retournements de situation, les apparitions incroyables de personnages vont cous assaillir de toutes. @Sergorn a eu le temps d'être ébloui, alors pourquoi pas @AZB, @Anubis, @Numby des Poissons ou encore @Wild Pegasus et autres. Jetez vous sur des 2h42 qui ne seront jamais perdu. Ça commence par trois frères, ça se met à se méfier les uns des autres. Les quiproquos des uns et les manigances des autres feront le reste. Tchac, Boum, Pan-pan-pan (ben oui, déjà les fusils à l’époque), Plant, couic (bon dieu, ce rouge). Et puis surtout, des dizaines de minutes à regarder, hagard, les va et viens entre les escarmouches entre les héritiers et l’errance d’un vieil homme. Bien que la présence de son bouffon ne soit pas vraiment nécessaire. Pas plus que certaines parties de chant soudaines. Pour le reste, Kurosawa peut remercier Coppola et Lucas de l’avoir sorti de l’enfer de développement. Les années 50-60 furent fastes, je vous ai parlé des années 80. Perso, je pioche un peu à droite et à gauche. Ceux que j’ai aimé le plus, ce sont ceux-là : Le Château de l’Araignée. Les Salauds Dorment en Paix. Les Sept Samouraïs. Ran. N’hésitez pas à parler de Kurosawa, vos expériences éventuelles avec ce réalisateur. Ou même, soyons fous, avec les deux intrus dont j’ai brièvement parlé. A bientôt pour la deuxième partie, que cette fois, je vous narrerai au fur et à mesure. En attendant, j’ai les gros biceps d’Eric Adams (Manowar) qui m’attendent.
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« le: 13 août 2013 à 17:53:25 »
Bon, on a fait les topics les plus intéressants, les plus palpitants, bizarres, inutiles, , , , , , et j'en passe. Il est temps, je penses de se recentrer sur les Méchants, puisque c'est un pense des bases les plus essentielles dans un dessin animé. Mais comme chercher à savoir kikicéleplufaur est nul, mieux vaut regarder finalement regarder... Le plus dangereux (et accessoirement, le plus vicieux). Allez, je commences en vrac : N°5 :Saga (1986/Kuru) On est proche de la fin de la bataille du Sanctuaire, et le Gold Saint des Gémeaux a mis à Terre Ikki et Seoya. Je pense que tout le monde sera d'accord en disant que le combat à la fin était un des plus tendus. Seiya réussira-t-il à orienter le bouclier correctement ? Et puis ce suspense sied bien à l'un des ennemis les plus charismatiques de la franchise. N° 4:Kassa (1986/Kuru) Encore une fois, tous les Bronzes sont à Terre, et Ikki a pu le battre. Mais son ennemi aurait pu découvrir que le Phénix était un colosse avec un pied en argile. Le danger aurait pu être énorme, et c'est aussi à la hauteur de l'ennemi. N°3: Alone The Lost Canvas Là, on peut voir que Alone est sur le point de vaincre vu l'état de délabrement moral de Tenma qui laisse les morts l'influencer. Et on a affaire à l'un des pires méchants qui existe de toute la franchise. N° 2 :Pontos (Saint Seiya G) Le comploteur par excellence, et un bad guy à la hauteur de l'histoire : non seulement il mène tout le monde par le bout du nez tout ne subissant presque aucun écueil. Mais en plus, sa puissance est incroyable et il a réussi à trouver un moyen de rebondir à la toute fin. Cela fait de lui un redoutable ennemi. Et le N°1 des méchants les plus proches de la victoires est : ] Typhon (Gigantomachia)Le pire, le plus près de la victoire. Si les autres étaient assez proches et assez vicieux en même temps, celui-là aurait gagné sans problème. A pleine puissance, il reste redoutable (dans la mythologie, il a foutu la raclée à, Zeus). En plus, il n'a pas besoin de conquérir le monde : il règne sans être présent. Regardez les Dieux, Saga, Mars,n Sonjia, et d'autres et venez me dire en face qu'au plus profond d'eux même, leurs actes ne sont pas motivés par la Peur. Et avec cela, Typhon pourrait devenir invincible. Il peut contrôler ses victimes (je doutes que le sang d'Athéna aurait pu faire effet avec un Typhon 100% plein tubes). Et puis surtout, il est le plus à craindre : il n'a aucune bonté en lui, contrairement aux autres. Car il est considéré comme le Diable de la mythologie grecque. Typhon, le plus proche de la victoire, assurément. Allez, à vous : d'après vous, que méchant a été le plus proche de gagner et que les héros ont le plus craint ? C'est parti pour le clash entre les méchants (il étai temps, vu les topics récents).
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« le: 04 août 2013 à 16:25:13 »
Amor le pervers, Amor le dernier et le plus fort des Gold Saints omega (enfoncé Aphreux), et Amor le one-shooté. Mais un vrai sur pattes ("Ben, j'allais pas rester là bêtement à attendre de crever alors je me suis écarté"), quand même. Un vrai bad guy mais un design moche. Bon point pour lui. Et vous, votre avis ?
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« le: 12 décembre 2012 à 09:20:48 »
Salut à tous. Alors en voyant cette section du forum, et vu que vous étiez déjà en train de faire des comparaison entre TLC et la série originelle et ND, je le suis dis que ce serait intéressant de faire de combats entre ces deux séries qui ont contribué au revival de Saint Seiya. Imaginons que grâce à un concours de circonstances, Typhon profite de l'affaiblissement extrême de la Terre et se libérer en exploitant le cosmos de ténèbres de Koga. Imaginez les combats de titan entre ces Golds Saint de Omega et les Géants, puis Koga et ses potes contre Typhon. Je verrais la chose comme ça (en imaginant que les Géants soient plus puissants que les Gold Saints et qu'ils leur donnent donc du fil à retord) : vs vs vs + qui vous voulez de valable pour faire face. Encelade je le verrais comme combattant auprès de son maitre. Ensuite : vs vs vs Et bien sur les 5 et les héros contre Typhon. Alors vous serez ben train de vous dire que ça n'a que trop peu d’intérêt, mais c'est parce que ce serait intéressant de voir la nouvelle génération combattre le symbole des temps passés où les Dieux régnaient sur les hommes par la peur. Si vous avez d'autres pronostics de combat, lâchez vous et pas de cohérence ou je ne sais quoi. Place au débat. Voilà
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« le: 27 octobre 2012 à 21:50:48 »
Bon, j'ai décidé de me lancer dans la toute première fic de Saint Seiya Ω (Omega). Pour une raison qui n'appartient qu'à moi, je nie le présent et me projette dans le futur, dissolvant ce présent.
En gros, le prologue va donne libre cours à VOTRE imagination. A vous de choisir, de voter, et me dire ce que vous penserez comment sera la suite.
PROLOGUE : Tous des traitres.
Les cieux... un environnement redouté par les humains depuis des siècles, vénérés car abritant des êtres tout-puissants, et il était parfois monnaie courante de faire des sacrifices. Puis un jour, les lames, les gémissements et les hurlements de joie se turent. L'homme avait accédé au Mont Everest, était allé au fond de l'Océan, et avait exploré l'espace. Les superstitions archaïques ne survivaient que dans des régions les plus reculées. Et pourtant, les hommes ignoraient que dans le ciel, se livrait une bataille sans merci, entre ceux qui les admiraient à cause de leur nature versatile, et ceux qui étaient, chaque jour, consternés par le fait de les voir s'entretuer, se plaindre, se haïr, se faire du mal. Cette bataille commençait d'ailleurs à se terminer, avec trois morts au compteur, et une horloge affichant deux heures restantes.
Un des combattants, à terre, semblait souffrir le martyre, au bord du désespoir. Seul un effort olympique pourrait le tirer de cette posture embarrassante, alors que de blessures semblaient ne pas être refermées. En réalité, il devait se relever, juste pour LA voir, lui exiger des explications. Pourquoi... pourquoi ces chevaliers, si forts, si sages comme le prétendait la légende et qui,n malgré certains errements, avait sacrifiés leur vies, et mêmes leur honneur, pour la sauver d'un fou, et de deux Dieux cruels et méprisants envers l'humanité, en étaient arrivés à se comporter comme eux. Pourquoi s'était-elle fait piéger aussi facilement, et pourquoi continuait-il de douter, malgré toutes les épreuves endurées jusque là. Tant de questions lui dévoraient l'esprit, tandis que ses amis tentaient de le protéger et de lui permettre de se relever. Mais à chaque fois, le garçon, était soumis à une pression terrifiante par un colosse, deux voyaient leurs membres obéir à quelqu'un d'autre. Quant aux derniers, ils éraient en train de servir de distraction sordide à un monstre et une sorcière. Cet être semblait être un Dieu, puis il dît un jour : «Créons un nouveau monde. Mars sera la plus belle planète, et le règne sauvage, affreux des humains ne sera plus.», et tout fût parfaitement organisé. Pour lui, les quelques petites fautes et les trahisons ne contrariaient pas ses intentions : a preuve était que les deux traitres étaient à sa merci, handicapés par une aura sombre.
« J e n'arrive pas à comprendre. Je voulais faire de toi le grand prince, et faire en sorte que cette fille, devienne la grande Athéna, régnant au lieu de se tenir à l'écart, montrant la voie au lieu de se comporter en ne martyre. Je voulais tout te donner ! Et toi, il a fallu que tu te compares comme ces vermines grouillant ici bas, incapables de prendre leurs décisions, se laissant dévorer par la jalousie. Tout cela me dégoute : si seulement, d'un coup, je pouvais leur retirer l'imagination, ils seraient tous au paradis. Je n'aurais pas à provoquer un bain de sang.
_ Être Athéna, c'est justement, ne pas dominer la terre. Penses ce que tu veux de moi, mais j'ai décidé de faire tout pour elle. Et je délivrais l'autre Athéna qui reprendra ses droits.
_ Pfff, je m'en doutais. J'aurais mieux fait de prendre les deux enfants à la fois. Il a suffi d'un rien, pour que tu te retournes contre moi. Au moins, ce sera une leçon de plus pour me distancer de ceux qui ont échoué à faire tomber dette déesse maudit. Adieu, traitres, faible créatures !!!»
D'un geste furieux, le Dieu cruel et vengeur déchaina son cosmos de ténèbres, envoyant Kiki et Eden, celui qui avait osé lui répondre, dans les airs.
«RUBELLU SIDUS GUNGNIR !!!!!!!!!!!»
Les lances rouges répondirent instantanément à cet appel glaçant le sang. Le Saint d'or, qui avait tout appris de Mu, dut déclencher son Cristal Wall, et s'assurer à ce qu'il protège Eden de l'impact. Trop tard ! Alors que le mur indestructible commençait à les recouvrir, l'attaque frappa le points fragiles, puis toute la construction commença à s'effondrer, puis le reste de la fusillade toucha les deux chevaliers. La puissance était bien plis importante que les autres fois, et cette dois ci, l'armure du bélier subît plusieurs cassures. À proximité, Shaina et Haruto ne cessaient de faire rempart de leurs corps à Saori, dont les forces peinaient à revenir. Toute une pression, une ambiance lourde se ressentait que le champ de bataille, et au milieu de cela, elle : la déesse se mît presque à pleurer devant ce gâchis monumental. Un fois de plus, elle avait perdu presque toute sa chevalerie, et cela allait être bientôt le tour de ses chevaliers d'or. Elle avait senti l'immense souffrance de Saga qui avait monté le Sanctuaire contre elle. Elle avait affronté Poséidon, Typhon et Hadès, mais cette fois, les Saints l'abandonnaient, lui avaient planté un poignard dans le dos. Les autres voulaient que l'humanité survie., et tant pis pour ceux qui n'étaient pas d'accord. Tout s'entremêlait : l'impression de ne s'être pas montré digne d'Athéna de nouveau, et la peur de régresser à l'état d'avant ses réincarnations, au temps où elle était une Déesse guerrière sans une seule femme chevalière, et... archaïque.
«Tu t'interroge, n'est-ce pas, Athéna ?»
Relevant la ,tête, entouré du seul Saint d'or qui lui étai resté fidèle, et des six autres de bronze, qui ignoraient des blessures, elle fît face à lui, ce démon qui avait su profiter de ce retournement de situation.
« Regardes en bas, reprit-il, désignant le bas de maisons, où des guerriers de Mars couraient ça et là, en ayant vu le coup porté par Koga, et les Saint d'or tomber. Quels traitres, lâches, mes propres soldats, ils détalent en courant. Alors que j'ai gagné !!! Oui , Athéna, j'ai raison : tu n'es plus digne de protéger quoi que ce soit. Les humains ne peuvent plus vivre sans souiller quoi que ce soit, ni trahir qui que ce soit. Même tes chevaliers ont écouté la voix de la raison. Il aurait mieux fallu que tu disparaisses en faisant enfin... quelque chose de bien.»
La remarque, ironique, ne manqua pas de faire grogner de dépit les Saints, et faire saigner le cœur de la Déesse.
«Athé...na.... Saori-san. Tu 'avais dis un jour que les chevaliers d'or avaient sacrifié leur vie pour vous. Qu'en reste-t-il ? C'est ça, les Saints d'or, au sommet de la sagesse et de la force ?
_ Pff, parce que tu crois que tu peux y faire quelque chose ?»
Genbu, se tenant grâce à la lance d'or, le toisait dans un mépris profond. Ce Saint avait sans doute été rejeté par Shiryu, en pensant qu'il serait comme Isaak, l'ancien ami de Hyoga.
«Athéna allait régner et guider l'humanité pour de bon. Nous allions créer un monde rien que pour elle, où rien ne pourrait lui arriver, au lieu qu'un guerre sanglante ne retombe tout les Deux cent ans.
_ Elle ne cessait d'agiter la paix comme un appât pou faire avancer l'âne. Non, nous coupons cet appât, et nous le mangerons, reprit Ionia !!!! Et au moment où plus jamais cette maudite humanité n'allait empoisonner la Terre de son péché, vous... vous...»
La rancune, la haine, et la tristesse se laissait sur le visage de certains. Le temps imparti affichait encore un peu moins de deux heures. Soudain, le Dieu fou se tourna vers l'horizon.
« Mmmm... Ils vont bientôt arriver. Tu as de la chance, ta cavalerie commence à s'en remettre, mais ils ne sero,nt là que pour admettre qu'ils auront eu tord de s'en prendre à moi.»
Ses yeux, de plus en plus menaçants, se tournèrent vers une femme : ensanglantée, son armure d'or en mauvais état, elle tenait bon, prête à se battre pour Athéna. Elle se mît près de Kiki, puis concentra son cosmos, le regard dur. En la voyant, Yuna se revoyait presque en train d'abandonner le masque, le premier jour où elle fît la connaissance du nouveau chevalier Pégase. Mais son cœur se mit à battre très violemment sous sa poitrine, tellement qu'elle sentait qu'il allait bondir hors de la cage thoracique. Voyant le regard livide des autres compagnons, et voyant que Kiki et Paradox semblait ne pas être rassurés, elle ne se savait pas folle : Koga affichait un teint pas rassurant du tout. Ses yeux se voilèrent : il va mourir.
« De même que toi, pauvre incapable. Je vois mon astre... Ma victoire est complète.»
Mais alors qu'il savourait sa victoire, le Dieu sentit soudainement un picotement dans son dos. Puis la douleur augmenta, en même temps que la quantité de sang s'en échappant. En regardant la lance, il ne put s'empêcher de retenir sa surprise... et sa colère.
Fin du prologue ( provisoire ).
Ce n'est qu'un essai, mais je me suis dis que j'aimerais tenter l'expérience. Jusque là, toutes les fanfics furent construites, concernant une histoire ( TLC, G, et autres ), après leur création. Et peu n'attendaient pas.
Pour en savoir plus, vous aurez droit à un flashback, et je prendrais quelques libertés avec Saint Seiya Omega, sur l'histoire, les personnages, et la catégorie (je l'ai déjà fais sur DBZ ). En fait, ce sera surtout, pour le moment, composé de flashbacks, vu le peu qu'on sait des Gold Saints.
A vos commentaires et à plus.
Voilà
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« le: 18 novembre 2011 à 18:07:37 »
Bonjour à tous. J'ai décidé de vous faire part d'un projet qui m'occupe l'esprit de temps à autre de puis deux ou trois ans. Il s'agit d'un cross-over entre Saint Seiya et... HELLSING. Le titre, je ne l'ai pas vraiment... ou si : Saint Seiya Warfare ( un truc dans le genre ) . Et j'ai prévu un truc post-Hadès. Synopsis :
L'histoire se passe en 1989.
Athéna et ses chevaliers sont rentrés de la guerre Sainte contre Hadès, et elle finit par ramener les douze Gold Saints d'une autre dimension. Zeus a exigé ( comme d'hab dans les fanfics, me direz-vous ) la paix entre les Sanctuaires et Marinas, God Warriors et autres sont ressuscités. Quant à Seiya, il disparait, avant de se retrouver au Sanctuaire, dans un container aéré, ballonné et ligoté. De plus, alors que de nombreux chevaliers prennent des vacances à travers le monde, ils sont agressés par des groupes de tueurs sur les lieux de détente.
Quelques mois plus tard, alors que Hyoga et Camus sont en Sibérie, ils voient le bateau de la mère du Chevalier du Cygne, remonté à la surface. En le fouillant, ils se rendent compte... que le corps a disparu. Après enquête et la découverte d'indices, la section investigation de la Fondation Graad conclut à du...sabotage. La mère de Hyoga a été assassinée.
De péripéties en récits de Shion ( oui, il apparaitra ), les chevaliers vont exhumer un sombre dossier ultra-secret de la 2nd Guerre mondiale : une armée de vampires menée par un officier SS psychopathe. Mais il se peut qu'un objectif en cache un autre, et parmi les chevaliers, un jeune homme espère que ce sera la Der des Ders.
Est prévu l'apparition de : Alucard, Seras, Max Montana, Doc, Captain, Walter, les soldats du Last Bataillon ( en BIEN plus nombreux ), et vous aurez la forme de The Shi et autres.
Bref, je vois les choses en grand. Mais voilà, j'hésite à me lancer dans un fan manga, et si c'est le cas, il me faut me demander de l'aide. Donc je poses une annonce pour avoir un dessinateur, et une équipe pour les planches ( moi au scénario ). Ou, plus simplement, j'aimerai savoir si des personnes sur ce forum connaitraient des dessinateurs, et j'aimerai surtout quelqu'un qui puisse imiter au mieux le style de Shiori Teshigori ( le style à même de copmbiner Hellsing et Saint Seiya à l'heure actuelle ). Sinon, ce sera une simple fic. Mais je compte bien faire un truc assez ambitieux. Pus de détails bientôt. Voilà
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« le: 28 août 2011 à 13:27:37 »
Bon, je vais faire une autre fanfic Saint Seiya. Il s’agit d’une fic post-Hadès cette fois, mais que de peu, quelques heures après la défaite du Dieu. Ne vous fiez pas au titre, ça durera bien plus que le prologue et le retour des 5 de bronezs. Cette fiction mettra en scène un monstre peu connu de la Mythologie , mais je ne vous en dis pas d‘avantage : le suspense doit compter. La fic sera assez courte, avec quelques personnages issus de Lost Canvas ( « bonjour la cohérence ou le délire » diront certains, mais je me démerderais. Et si quelqu’un aurait des infos ou des conseils utiles pour la cohérence avec les Spectres de Lost Canvas, ça m’arrangerait ). C’est parti : PROLOGUE :
Le soleil commençait à inonder une certaine partie de la Terre et brillait déjà de tous ses feux. Ce devait être l’annonce d’une nouvelle journée. Pas exactement en vérité, mais certainement une renaissance : cachée pendant un certain temps par les autres planètes, il réapparut. En fait, cette éclipse avait failli plonger le Globe dans une nouvelle ère glacière, une ère de froid, de mort, signant l’extermination de la race humaine. En effet, quelque part, deux êtres venaient de terminer leur affrontement.
Le premier, Hadès, était le responsable de cette éclipse qui consistait en l’alignement parfait des planètes du Système solaire. L’appelant « Ultime Eclipse », il comptait faire un monde des humains sans les humains, qu’il accusait de tous les maux, coupables d’être prisonnier de leurs désirs et de leurs sentiments. De plus, il ne supportait plus leur ignorance envers eux : comme ils ne les écoutaient plus et ne cessaient de se battre entre eux, autant en finir. Autrement, ils risquaient de se tourner contre eux, et le chais n’en serait que plus palpable. Alors il comptait faire régner ce qu’il incarnait, à savoir la mort, seule chose capable de dissuader les humains de se complaire dans l‘irrévérence. Après tout, si la Terre continuait d’exister, c’était grâce à la peur, de la mort comme des Enfers. Son opposante, Athéna, Déesse de la Sagesse et de la Guerre, plaidait en faveur des humains. En effet, elle accusa le Dieu des Enfers de s’être laissé dévorer par son orgueil, pensant qu’il en demandait trop aux humains. Les hommes pouvaient être sauvés grâce à la mort, qui traitait tous les hommes de la même façon. De plus, ils étaient aussi capable de s’aimer, comme de se battre. La déesse refusait que les Dieux se permettent de juger hâtivement, sur la base des actes, les hommes, et était ainsi dégoûté par l’égoïsme de certaines divinités. Et torturer éternellement les humains pour des péchés commis avant serait preuve d’une cruauté et d’une arrogance indigne d’un Dieu.
En fin de compte, les deux divinités, au bout de plusieurs siècles d’affrontement malgré les péripéties du précédent qui avait failli être bouleversé, n’arrivaient toujours pas à se mettre d’accord devant ce casse-tête. Excédé devant la trop grande importance donnée par Athéna aux hommes, Hadès décidé d’en finir. Mais Seiya s’interposa, et blessa Hadès en l’envoyant s’encadrer sur un pilier géant. Cette fois-ci c’en était trop aux yeux du seigneur de Ténèbres : une fois de plus, Pégase lui avait porté atteinte en le blessa. Mais en mi, il pouvait se consoler : son glaive avait frappé Seiya en plein cœur et son cosmos venait de s’éteindre. Il avait raison : les humains étaient faibles, leurs sentiments les entravaient et les conduisaient à la mort. Athéna se releva et aidé des autres chevaliers, elle reprit son sceptre, Nike. Elle voulait prouver que grâce à l’amour, les hommes étaient capables des meilleurs exploits. Ainsi, épaulé par les puissances de Hyogan, de Shun de Shiryu et de Ikki, elle lança le sceptre pour attaquer le Sombre Monarque, qui reçut l’arme en plein ventre. Il se forçait à croire que c’était une illusion : il allait disparaître sur son territoire. Mais cela ne changerait rien : pour lui, l’amour n’était qu’un mensonge pour fuir la réalité, et trop peu de gens y croyaient. Athéna fût déçue par la mauvaise foi de son ennemi, mais songea ensuite à quitter les lieux. Tous comptaient retrouver leur Terre, ce monde magnifique, plein de lumière, et de vie.
Au sanctuaire, chevaliers comme simples humains étaient déchirés entre bonheur et inquiétude. Certes, le danger était enfin écarté et l’Humanité allait avoir droit à un sursis, vu que le pire ennemi de leur déesse venait de tomber. Seika, Marine, Shunrei, les cinq autres chevaliers de bronze et Sorrento étaient enfin heureux de revoir le Soleil? Pourtant, ils étaient inquiets : leurs Déesse n’était toujours pas revenu, et surtout ils sentaient quelque chose d’anormal dans le cosmos : la constellation de Pégase avait brillé fortement dans le ciel après qu’une étoile l’ait atteinte. Tous craignaient le pire, certains se sentaient frustrés par leur impuissance, Jabu en particulier. Mais seule Seika espérait : ce serait trop injuste que son frère ne meure, eux qui étaient séparés depuis si longtemps. Seiya avait beaucoup souffert : il avait cru que Marine était sa sœur, avant de connaitre le démenti cruel de Kassa. Tous se mirent d’accord pour surveiller les alentours du Sanctuaire afin de guetter le retour des 5 Saints de bronze et de Athéna. Shaina, Marine et Jabu se portèrent volontaire pour cette opération, tandis que Kiki veillerait sur la sœur ainée de Seiya. Finalement, au bout de quelques heures, alors que le Soleil allait se coucher, Jabu sentait un cosmos : il était d’une chaleur et d’une miséricorde sans aucune comparaison, malgré sa puissance. Bientôt suivie par quatre autres : une glaciale, mais aussi chaleureuse concernant la personne, un autre vert émeraude, et enfin, les deux derniers étaient très proches. L’un était irisé et reflétait aussi une certaine bonté, mais l’autre était plus combatif et fait de flammes. Mais il manquait lac plus intense, pleine de de courage, d’abnégation. Devant le corps inanimé de Seiya, les Saints devaient, malgré les larmes, se résigner : le héros avait payé la victoire de sa vie. Athéna brisa le silence :
« Chevaliers, Seiya doit être un exemple pour toute la chevalerie du futur, et il en sera de même pour vous, Hyoga, Shun,, Ikki et Shiryu, le jour de votre trépas. Notre ami sera enterré dans le cercueil réservé, d’habitude, aux Grands Popes. Je prends la direction du Sanctuaire et supprime provisoirement le titre de Grand Pope. Shiryu, tu me seconderas, quant aux autres, vous devrez prendre la direction des camps d’entrainement ici et ailleurs. Quant à la loi sur les masques, elle est caduque à partir de maintenant. J’ai parlé. »
Tous applaudirent le petit discours concis et ferme de la Déesse : la cérémonie funéraire fût organisée quelque jours plus tard, en présence de Julian Solo ( guidé par Poséidon ) et Sorrento, qui composa un requiem pour l’occasion. Le moment fut touchant, et tous sentaient que le deuil serait rapidement insupportable. Hyoga avait perdu presque toute sa famille, Shiryu un frère malgré la présence de Shunrei, son amour. Ikki enrageait d’impuissance devant la mort de son ami, et Shun pleurait la simple mort de Seiya : il fulminait aussi contre lui-même lorsque Hadès l’avait possédé. Il sentait la haine et la violence dans ce Dieu et se désolait devant la récurrence des morts; des guerres. Cela ne se terminerait-il jamais, ces querelles aux nom de trous les prétextes possibles et imaginables ? Et pourtant, le pire restait à venir : Shun gardait une étrange peur de la possession, car il sentait que quelque chose d’autre allait se produire, qu’ils devraient encore combattre. Il espérait que cette fois, ce serait la dernière fois qu’il devait endosser son armure, la dernière fois qu’il aurait du sang sur les mains.
Pendant, dans un endroit où ce deuil et la douleur n’auraient pas leur place, des dieux recevaient les informations du combat en temps réel. En effet, sans que Hadès ou Athéna n’avaient pu s’en rendre compte, un serviteur olympien les épiait sans perdre une miette de ce qui se passait devant lui. Il ne laissait aucun mouvement au hasard, pas un seul détail ne lui échappait. Le rapport était donc complet et le Dieu des Dieux, Zeus, s’en félicitait : lui seul possédait de nombreux soldats qui ne laissaient rien au hasard et qui étaient très précautionneux. Par ailleurs, les dieux faisaient de leur mieux pour considérer chaque information : Hadès se battait dans son corps originel et ses deux jumeaux divins venaient d’être éliminés. De plus, Seiya le Saint de Pégase avait réussi à blesser le Dieu des Morts. Cette nouvelle ne surprenait guère le Roi des Dieux qui sentait bien que l’histoire se répéterait, mais d’autres ceux comme Héra ou Artémis s’en agaçaient. Rien ne semblait arrêter la folie, qui allait de pair avec l’insolence, des hommes et Zeus ne bougeait pas vraiment. Quant à Arès, il était assez content de savoir que les Saints de son opposée ne rouillaient pas au fil du temps. En effet, un éventuel combat serait très prometteur, vu le tempérament guerrier et amateur de défi, du Dieu de la guerre violente et barbare. Même si, hélas, Seiya, le plus valeureux chevalier, mourut. A l’annonce de cette information, certains dieux souriaient : les hommes n’échappaient quand même pas à la mort, ultime destin. Pourtant, deux nouvelles plus inquiétantes arrivaient enfin de rapport :
« … et une fois de plus, Athéna l’a emporté, grâce aux quatre autres Saints avec leurs God Cloths. Cependant, elle a du concentrer leurs cosmos et le sien dans le sceptre qui a empalé Hadès. Ainsi, Hadès semble mort, ou seulement privé de son corps divin, et donc hors course. »
Ce fût la consternation : Athéna ne reculait devant plus rien pour protéger une race d’êtres qui ne respectaient plus rien et qui se complaisaient dans leur arrogance. De plus, elle outrepassait les lois de l’Olympe : cinq humains, Saints de bronze, reçurent des Armures Divines ! Artémis explosa :
« Cette fois c’en est trop ! Pour un peuple d’êtres stupides et faibles, Athéna se croit tout permis, y compris de compromettre l’équilibre entre la vie et la mort !!! Zeus, tu ne peux pas laisser passer cela !
_ Du calme, ma sœur, je pense plutôt que c’est un peu de la faute à Hadès aussi : il a mis toute son essence, tout fait reposer là-dessus, et ainsi, a provoqué sa propre perte. D’autant plus que je sens bien que les temps changent, et que l’on devra s’habituer. Et puis Hadès n’est pas vraiment mort : son âme s’en est sorti juste à temps.
_ Peut-être, mais en tout cas, Athéna va m’entendre, cette fois ! J’exigerai qu’elle aide à la reconstruction des Enfers pour la bonne marge du cycle universel. Et, songea-t-il, il faudra un remplaçant qui ne sera pas difficile à trouver. En tout cas, moins difficile qu’à convaincre. »
En effet, il fallait de nouveau un Dieu des Enfers et au plus vite : un très mauvais pressentiment le gagnait au fur et à mesure que le temps s’écoulait. Il était jamais et ne sera jamais question de laisser les Enfers sans surveillance, surtout s’ils renferment les pires monstres des temps mythologiques. Il se pourrait qu’un Titan, des Géants une créature quelconque se rebelle. Alors, la Terre deviendrait un Désert, et l’Olympe subirait rapidement le même sort. Une fois seul, il se concentra du mieux qu’il pouvait et maintint les grandes parties des Enfers. Il commença naturellement par Elysion et le Tartare, puis par les prison, l’une après l’autre. Mais un détail lui échappa : au cours de la précédente Guerre Sainte, des Spectres étaient apparus, puis ne réapparurent pas à cette époque. Si jamais il réapparaissaient, ils pourraient contester l’autorité de Hadès si celui-ci tardait à reprendre les commandes. Malheureusement, il n’eut pas le temps d’empêcher leur résurrection. Onéiros, le maître des 4 dieux du Sommeil sous les ordres d’Hypnos, allaient diriger cette troupe de Spectres dont le meneur voulait faire cavalier seul. Et hélas, ce n’était pas le plus grave : il se rappelait que e trouvait une prison annexe au Tartare, renfermant un monstre peu connu des hommes, et dont un évènement fût effacé de la Mythologie. Oh non, tous mais pas lui : sa sauvagerie n’avait que Cronos comme égal. Mais il était trop tard : bientôt il se réveillerait et chercherait à s’échapper. Zeus ne pût s’empêcher lui-même d’avoir une pensée :
« Hadès, toi aussi tu m‘entendras, à être fétichiste avec ton corps. Maintenant qu' IL va chercher à sortir, je n’ai plus qu’à prier pur que toi et Athéna remettez efficacement de l’ordre, car je ne peux intervenir sans attirer ce monstre et certains Dieux qui m’accuseraient d’ingérence et de favoritisme. »
A Elysion, le désastre avait cessé : tout revenait comme avant, et les Elfes sortirent des temples pour constater que la paix et sérénité des lieux étaient revenues. Totalement ? Pas tout à fait : dans le temple d’Hypnos, une lumière brilla fortement, et quatre personnes en sortirent : ils avaient d’imposants surplis, qui rappelaient ceux des trois juges du Mekai Hen. Il y avait un homme massif, un guerrier androgyne, puis deux autres hommes, dont l’un avait une dentition plus acérée. Le dernier avait une carrure normale, athlétique. Tous sortaient d’un long Sommeil, d’une mise à l’écart déplaisante. Puis celui du milieux se mît à parler :
« Eh bien, si Hadès-sama n’avait pas décidé de ne pas nous utiliser, la guerre aurait été gagnée facilement. Puisqu’il est mort, seul un soldat pragmatique comme moi peut diriger les Enfers ! Morpheus, Ikelos, Phantasos !!! Il est temps de lancer le renouveau de l’armée de la mort !!! »
Alors la puissance combinée des 4 Dieux fît apparaitre de nombreux surplis datant de l‘ancienne Guerre Sainte : Nécromancien, Béhémot, Benou, Méphistophélès, Genbou, Bat, Nasu, Sylphe, Mandragore. Onéiros sentait son heure de gloire approcher : il voulut se montrer digne de son maitre, le Dieu des Morts. Puis à travers le Monde, il introduisit les étoiles maléfiques dans certaines personnes selon les surplis. Méphistophélès et Bénou trouvèrent de nouveaux porteur : Sonders d‘Autriche, et Max des Etats-Unis. Quant aux autres, ils furent soudainement ressuscités grâce aux forces conjuguées des 4 dieux serviteurs d’Hypnos. Violate, Veronica, Eduard, Byaku, Fyodor ( qui retrouva soudainement son œil ), Wimber et Gregor. Tous , tels des conspirateurs, se mirent en route pour recréer les squelettes et chercher de nouveaux porteurs pour d’autres Surplis. Si Hadès avait survécu, il serait fier d’une telle initiative contre Athéna, songea Onéiros. Mais ce qu’il ignorait, avec tous ses soldats, c’était que les Dieux n’aimeraient pas, et que surtout, il risquait de déclencher une catastrophe sans précédent. En effet, quelque part dans les profondeurs du Mekai, des yeux brillants de colère et d’une faim insatiable s’étaient ouverts, traduisant l’impatience de se libérer et de savourer un festin sanglant.
FIN. Certains me diront « mais d’où tu les sors ces surplis-là et les personnages ? », et ils n’auront pas tord, hélas. C’est juste que j’ai voulu voir les 5 de bronze faire le ménage aux Enfers et participer à un conflit entre les Spectres. J’avais imaginé des spectres faire cavalier seul quand leur maitre est absent. Quant à la créature, elle ne tardera pas à faire parler d’elle. A vos commentaires et à plus. Voilà ps : bien sur, les personnages appartiennent à Kurumada et à Teshigori, mais pour le monstre, il sera incertain de dire qu'il appartient à la Mythologie, vu le peu de choses que l'on sait de lui.
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« le: 03 juillet 2011 à 21:20:10 »
SUPER EDIT ( lundi 4 Janvier 2011, 15h27 ) : le prologue est modifié
Salut à tous
Ma première fic va consister en ceci : je vais me fabriquer un rôle sur-mesure, mais inspiré entre Alucard dans Hellsing, et Broly dans DBZ ( ne me demandez pas pourquoi ces 2 personnages ) pour…m’incruster dans les aventures de Saint Seiya. Et comme j’apparais dans cet univers, je n’hésiterais pas à reprendre certaines répliques que j’ai entendu dans d’autres mangas. Vous allez aussi savoir ce que je pensais quand je regardais Saint Seiya, et à quel point je pouvais être sirupeux.
Bien entendu, les personnages de Saint Seiya ne m’appartiennent pas, pas plus que certaines répliques. Seule l’apparence que je me donnerai est à moi.
PROLOGUE :
Un soir, un jeune homme voulait refaire le monde : il était plus connu sous le pseudo « The Endoktrinator », donc moi . Il écoutait la musique métal, et plus particulièrement le genre extrême. Passionné de films fantastiques et des westerns, fan de Saint Seiya, il rêvait de pénétrer leur univers, et y semer un lourd grain de sel capable de gripper toute mécanique.
Je regardait les profils de certains méchants, surtout les dieux, ainsi que quelques fanfics les mettant en scène. Alors comme ça, les humains sont d’horribles pécheurs ? Dans ce cas, je leur montrerai ce qu’est le blasphème le plus ignoble et outrancier. Certains personnages, comme Hyoga et Shun me faisaient pitié : les pauvres, si seulement. Oui, ils s’étaient surement dit : « si seulement cela aurait été mieux », ou « quel gâchis , beaucoup trop de sang a coulé ». C’était vrai, surtout pour les batailles du sanctuaire et d’Asgard, qui était réduit à un dommage collatéral. Et puis Deathmask, Aphrodite et les dieux de l’olympe lui sortaient par les yeux. Une véritable bande de sales gosses, puérils et maigrichons qui n’ont pas changé depuis la création du monde. Cette fois j’allait leur faire fermer leur gueule une bonne fois pour toutes. Soudain, mon ordinateur réagit étrangement, puis une voix lugubre retentit :
« Je te remercie de m’avoir libéré : je suis une entité virtuelle dont l‘existence est classée top secrète, et tu ne dois rien divulguer. En échange, demandes moi ce que tu veux, et je le ferais pour toi.
_ Intéressant, répondais-je. Sais-t-u que tu arrives à point nommé ? Figures toi que je rumine un projet depuis pas mal de temps.
_ Ah oui, et lequel ? J’ai l’intuition que c’est en rapport avec ce que tu vas me demander.
_ Exact : je veux créer de toutes pièces un personnage qui apparaitra dans un univers imaginé par un certain Masami Kuru ada : Saint Seiya.
_ Ce manga ? D’après ma cyber mémoire, cette œuvre regorge de mythologie passée dans un certain révisionnisme afin de prendre en compte les valeurs « chevaleresque ». Tu comptes refaire leur monde à ta façon alors. C’est facile, alors…
_ Stop ! D’abord, je veux que tu puisses lui attribuer une apparence choisie par moi.. Je veux que ce personnage ait un teint blafard, de longs cheveux noirs, être habillé de cuir noir, devenir un vampire. Et surtout, posséder la capacité de métamorphoser mon corps. »
La chose était surprise : je semblai en demander tant. J’affichais un rictus sadique , puis elle reprit :
« Pour la dernière chose, tu n’as qu’à l’imaginer, mais pour le reste, il s’agit, d’après ma base de données, d’un certain Alucard, du manga Hellsing. C’est peu original, mais il y a de quoi donner de la frousse. Et je suppose que tu veux qu’il gardes ses pouvoirs d’habitude, avec quelques autres supplémentaires ? Et quelle niveau de puissance ?
_ Je sais bien,, mais avant de lire Hellsing, ce projet trottait déjà dans mon cerveau et être vivant et mort à la fois, voilà qui va rabattre l’orgueil injustifié et magistralement démenti des dieux. Quant à sa force, elle doit, après la métamorphose, être largement supérieure à celle de Hadès, mais seul Zeus pourra faire jeu égal avec lui, tout en n‘étant pas un humain. _ Oui, je sais. Alucard disait que c’étaient nécessairement les humains qui pouvaient détruire les monstres comme lui. Cela m’a l’air intéressant, tu peux maintenant entrer les données pour l
L’ordinateur brilla et il fut transporté dans un espace parsemé de numéros, de sigles, et de portes. Il en passa une, pour en ressortir comme il le voulait : vêtu d’un perfecto, puis si il le voulait, d’une étrange combinaison noire. C’était presque l’apparence de Alucard, sauf que les cheveux étaient moins longs, et le visage un peu différent. Sauf qu’il se mit à imaginer sa transformation : un énorme colosse indestructibles, de longs cheveux hérissés vers le haut, et ceux de derrière tombaient. Avec de grosses épaulettes, sur les quelles se dressaient des pointes, la peau toujours pale et les yeux entièrement rouges. Une énorme cape et des avants bras se terminant par des lames complétaient sa métamorphose. Je décidai qu’il n’utiliserait cette transformation que le moment venu, et celle du départ conviendra largement, vu qu’il sera serais assez puissant pour écraser un Gold Saint, ou un Spectre en un clin d’œil. Et avec la régénération ainsi que les familiers, c’était tout bénef. Shun sera heureux, les autres, ils devront le remercier. A moins qu’ils tiennent à leurs valeurs, et là, j’aurais le plaisir d’obliger le Saint d’Andromède à se battre à fond dès le début avec cette créature. Je vis une lumière devant moi : il était temps pour cette intelligence virtuelle de l’emmener vers ce monde de bravoure, de charisme, de violence. J’entrai les coordonnées finales, et je pouvais enfin le piloter à ma guise pour en faire une machine à tuer et à torturer qui expliquerait la vie à tous ces abrutis de guerriers divins, marinas, spectres et compagnie.
Il se réveilla, en sueur, en pleine nuit. Il regardait autour de lui il avait atterri dans un cimetière. Puis il se mis à inspecter, puis une tombe attira son attention : « Silver Saint » puis un nom. Jusque là, pas de problème : ma créature au Sanctuaire. Mais avait-t-il tout ce que j’avais demandé à cette entité du monde informatique ? Pour m’en assurer, je trouvais une maison pas loin du village. Je la fit entrer puis je pris un miroir…pour y voir rien du tout. Bon, j’étais bien un vampire, mais il fallait savoir pour le physique, au cas où. Soudain, une chandelle tomba : je tombais nez à nez avec une jeune fille qui tremblait de peur il y avait un intrus à l’apparence bizarre. Je me jetai sur elle, surpris par ma vitesse de mon « vaisseau » , et la plaqua contre le mur. Je prononçai quelques mots à travers sa bouche :
« Je vais simplement te demande de me décrire, et peut-être je ne te ferais pas de mal. Mais par contre, tu ne devras rien dire à quiconque. Dans le cas contraire, je te tue et je te dévore. On s’est bien compris ? » La jeune fille hocha la tête pour dire « oui », puis parla après que je lui ais retiré ma main de sa bouche :
« Vous êtes pale, des cheveux noirs , avec des vêtements de la même couleur, mais dans du cuir. Et vous avez les yeux rouges, et des yeux sur les bras, avec un énorme sur votre torse. C’est à peu près tout je crois .
_ Très bien, tu peux retourner te coucher, et n’oublies pas : je sais où tu es. Ne joues pas au plus fin avec moi, c’est perdu d’avance. Je te viderais, tuerais tes parents. Et je me régalerais en suçant leurs os. »
Je la laissai remonter dans la chambre par l’escalier. Je sortis de la maison, puis retournais au cimetière. Je trouvais une tombe, en sortis le cercueil puis le cadavre que je jetais négligemment. Puis je l’emportais avec moi : la nuit n’était pas encore finie. La description était satisfaisante, et je cherchai maintenant à tester ma puissance. Deux soldats me rencontrèrent, puis me barrèrent la route :
« Halte là ! Qui es-t-u ? Les étrangers ne sont pas admis.
_ Aucune importance, répondais-je. Bientôt, je serais de la famille. » Aussitôt, j’en frappais un, qui se retrouva la nuque brisée. L’autre était apeuré, puis je m’avançai :
« C’est vraiment une belle soirée ( le garde se feindra d’un « hein » à peine audible ), je suis assoiffé de sang. »
Il me frappa, puis me lança un coup de bâton qui me firent aucun effet. Apeuré, il chercha à s’enfuir, mais je lui lança un rayon laser, le tuant sur le coup. Je pris son cadavre et lui absorba un peu de sang. Mes pas résonnaient comme ceux de Cell ( DBZ ), je trouvais cela amusant. Je désintégrai avec ma force les deux cadavres, et cherchai un abri où mettre mon cercueil et m’y mettre. En effet, c’est là où le vampire était né et c’était là où il finissait. Je fis coucher, ou je me couchai dedans, dans une grotte : il était très confortable, et la taille était parfaite. Je le repris , puis je me dirigeai cette fois vers le village : le ventre gargouillait et il fallait plus de sang. A travers le « vaisseau », j’entrai dans un enclos où se trouvaient des cochons, puis je pros l ‘un d’entre eux dont je brisai la mâchoire afin de l’empêcher de hurler. Je repartis et je fis une grande saignée d’où je récoltai presque tout le sang. Pris dans un saut tout propre , je le vidai de moitié, et je sentis la puissance du monstre augmenter : un bonus qui permettrai de devenir plus fort à chaque fois qu’il buvait du sang, surtout humain ? C’était trop fort : j’avais pu créer un tueur parfait en lui ajoutant, après avoir pris un vampire fictif comme base, une puissance insoupçonnée. Ce fuit avec jubilation que j’imaginai la tête qu’ils feront devant moi : je prendrais mon pied à les regarder se faire massacrer et humilier. Mais en attendant, je regardai les alentours, et me faufilai dans les collines, tout en évitant les gardes et en tuant très discrètement ceux qui étaient postés dans certains recoins. Après quoi, je fis disparaitre les cadavres : pas question que ma « création » ne laisse des goules derrière elle. Finalement, je dormis quelques heurs dans mon cercueil caché dans une crevasse.
Le lendemain soir, je fis une autre sortie encore plus discrète : la garde avait été renforcée, surtout au cimetière après la découverte de la profanation. Les chevaliers étaient : qui avait intérêt à sortit les dépouilles sacrée des chevaliers d’Athéna ? Une question qui connaitra la réponse d’ici peu, pensais-je devant mon écran. Je me dirigeai vers le cimetière en utilisant cette fois les goules comme leurre, avant de les tuer. Contournant ainsi les gardes, je vis Milo près d’une tombe : je devinai que c’était celle de Camus. En faisant le moins de bruit possible, sur la pointe des pieds, puis je brisai le silence :
« Tu as du te dire une fois « Si seulement, n’est-ce pas ? ». Il se retourna surpris : il devait surement se demander comment avais-je fait pour arriver jusqu’à lui en évitant la garde.
FIN
Je viens de modifier ce prologue car j’étais insatisfait du premier résultat après coup. Désolé de vous prendre de vitesse comme ça, mais c’est nécessaire pour la suite. A vos commentaires et à plus.
Voilà
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« le: 21 juin 2011 à 13:45:44 »
Salut à tous, je viens d'arriver. Attention au titre de mon topic de présentation, d'abord : c'est un jeu de mot très ironique et 2nd degré avec une affiche de propagande du régime de Vichy que vous trouverez facilement dans les ouvrages spécialisés de cette période. Moi, je suis français, 19 ans : Thomas B. Cinéma : je suis un gros fan des réalisateurs suivants : Stanley Kubrick, John Carpenter, Jean Marie Poiré, David Cronenberg, George A Roméro et j'en passe. J'aime aussi Star Wars et James Bond ( surtout ceux avec Sean Connery et Daniel Craig. ). Musique : c'est un éventail assez large. On a Wagner ( la moustache ne pousse pas quand j'en écoute et je ne veux pas envahir la Pologne ) Beethoven, Carl Maria von Weber, les classiques du punk et surtout du Heavy ( Iron Maiden, Judas Priest, Motörhead et Venom ) Thrash ( Anthrax, Slayer, Metallica, Sodom, Kreator ) Death ( Morbid Angel, Deicide, Cannibal Corpse ) et Black ( Darkthrone, Immortal, Burzum, Grand Belial's Key, Beherit et j'en passe ) Je suis fan de Saint Seiya, mais pas un collectionneur. Mon perso préferé est Shun, mais j'ai aussi Camus, Hyoga, pas mal de Gold Saint et Pontos. Sinon , j'annonce que je comptes écrire 2 ou 3 fics sur St Seiya voilà
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