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Messages - Iris-Ardell
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« le: 28 août 2024 à 08:05:03 »
Je pencherais pour la psychopathie, mais en même temps son cas est complexe. J'ai plutôt envie de dire qu'elle se comporte comme une psychopathe. Avec son origine, sa nature et sa psyché, difficile de la cataloguer clairement dans un trouble de la personnalité.
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« le: 21 août 2024 à 16:28:58 »
Justement, cet "instinct meurtrier elle ne le supprime pas, elle le met en sommeil. Déino prouve, surtout dans le tome 2, qu'elle est capable de résister à ses pulsions sur une longue période et dans des situations qui la pousseraient à se déchaîner. Je ne sais pas si j'exprime bien ma pensée, mais pour moi faire partie du monde humain, s'y intégrer et vivre comme une humaine, ça lui a permis de réguler et de contrôler ce côté tueur sauvage. Se civiliser de plus en plus. Seulement, elle garde son appétence pour la chasse et la mise à mort, c'est juste que cet instinct devient… plus un instinct à proprement parler mais plus un désir, une volonté plutôt qu'une impulsion incontrôlable. Elle s'humanise en restant une tueuse, donc sa prédation, elle peut la pratiquer autrement que de façon bestiale (c'est-à-dire "juste" écharper ses victimes). Elle acquiert des armes plus humaines, cérébrales. En fait, ça fait un moment que je me dis qu'avec son évolution dans l'histoire, Déino est passée d'un prédateur ayant une origine animal à une espèce de psychopathe. Mais peut-on considérer qu'elle souffre d'un trouble mental quand on sait d'où elle vient ? Qu'au départ, c'était sa nature de chasser et de tuer ? Je m'interroge vraiment. Et Déino ressent des émotions (elle peut douter d'elle-même, même si elle bluffe beaucoup pour ne dévoiler aucune faiblesse), elle peut s'attacher aussi, apprécier certaines personnes, se montrer protectrice (mais un animal aussi peut être protecteur). En plus, pour moi, la part animale n'est pas forcément la mauvaise part tout comme la part humaine n'est pas nécessairement la meilleure : il y a du bon et du mauvais dans les deux. Et justement, se fondre parmi les humains tout en détenant ces armes et aimant tant tuer, est-ce que ça ne fait pas d'elle une super prédatrice, duquel on ne se méfierait pas car elle sait montrer patte blanche ?
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« le: 20 août 2024 à 17:38:16 »
Faire illusion, oui, avec des pulsions mises de côté ou en sommeil le temps de profiter d'une vraie vie. Sinon, ce sont plutôt un moyen d'expression. C'est le contraire, enterrer ses penchants définitivement, qui auraient fini par la détruire.
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« le: 20 août 2024 à 11:59:49 »
OK, merci. Ben du coup, ça m'écœure encore plus. Edit : J'ai oublié de dire : Quand Rhaenyra regarde Vermithor dracaryser les semences, j'ai cru vraiment revoir Daenerys observant son frère se faire couronner. C'est de famille ? Elle avait une expression… comme un mélange de curiosité et de fascination qui m'a fait penser qu'elle prenait le chemin mad queen. Déjà, avec le manque d'empathie pour le peuple qu'elle prétend sauver et qu'elle envoie à la rôtissoire sans préparation. Tout ça pour SON trône. C'te hypocrisie… On peut critiquer Alicent, mais ils sont tous pareils. J'ai quand même bien aimé qu'Alicent comprenne la vanité de tout ça et veuille s'en éloigner alors que Rhaenyra persiste à vouloir foncer dans le mur. Joli retournement par rapport à la saison 1.
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« le: 20 août 2024 à 11:05:51 »
Merci pour l'explication, Sergorn. Il y a une histoire de grève des scénaristes aussi, non ? Comment je suis dégoûtée… Presque plus que les batailles, je voulais voir Ortie Rhaena et Voleur-de moutons.
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« le: 20 août 2024 à 07:53:49 »
Question : est-ce qu'on sait quand ça commence, la saison 2 de House of the Dragon ? Ah, c'était pas la bande-annonce ? Je râle, mais en vrai j'ai beaucoup aimé certaines scènes : La danse de Meleys et Vhagar, la semaison rouge (Vermithor qui plonge pour croquer Hugh et l'autre semence, ça m'a fait penser que ce serait chouette comme animation dans un parc d'attraction), Fumée-des-Mers qui se choisit son cavalier (mais il a feinté avec ser Steffon ou il a changé d'avis au dernier moment ?), Aile-d'Argent trop marrante avec son cri quand elle vole au-dessus de Port-Real. Et j'ai trouvé Voleur-de-Moutons très beau. La réussite de cette saison, pour moi ce sont les dragons : aspects, bruitage, personnalités… Sinon, comme personnages que j'ai eu la surprise d'apprécier : Simon Fort et Oscar Tully, mes chouchous ! Je les avais même pas remarqués dans les livres. J'adore la façon qu'a ser Simon de regarder Daemon, comme s'il se disait "mais il nous fait quoi, là ? Misère, essayons de le tempérer en lui expliquant des trucs". Pour Ulf, j'arrive pas à décider s'il est énervant ou rafraîchissant, quand à Aegon, il est détestable, mais avec un côté touchant. Des choses vraiment très bien pour moi, malgré des déceptions. Déceptions, ou plutôt très forte contrariété, comme : La fin. C'était quoi ce foutage de gueule visuellement et musicalement magnifique ? Et punaise, pourquoi, mais pourquoi avoir viré les scènes du domptage de Voleur-de-Moutons pour mettre les scènes avec la Triarchie à la place ? Tyland, je te hais. C'est simple, maintenant à chaque visionnage, je fais avance rapide sur ses scènes dans cet épisode. Et Rhaena… je me disais, ah on va enfin voir Rhaena et son dragon… cette fois c'est la bonne… ah… ça y est et… et puis non. Je m'étais faite à l'idée de l'absence d'Ortie, mais là…
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« le: 20 août 2024 à 06:51:03 »
S'adapter c'est le propre des prédateurs finalement. Mais paradoxalement, les prédateurs, certains en particulier ( ceux qui n'ont aucun autre prédateur au dessus d'eux), n'ont pas besoin de s'adapter puisque au situés au sommet d'une hiérarchie, n'ont aucune raison de craindre la moindre menace par exemple. Ah oui, pas faux, j'y avais même pas pensé, il me semble. ah ça y est, c'était un Ushuaia, et donc Hulot et une scientifique se baignait sans risque au milieu de dizaines de petites méduses qui ne constituaient absolument aucun danger car étant au sommet d'une chaine alimentaire, elles n'avaient jamais eu besoin de développer un quelconque système de défense. J'étais partie pour demander pourquoi ces méduses ne constituaient pas un danger si c'était elles-mêmes qui n'avaient pas besoin de se défendre (elles c'est bon mais les humains qui se baignent parmi elles ?), et puis ça vient de faire tilt. En romans, l'imagination galope encore plus. Je ne sais pas si, en films ou en romans, on peut faire mieux que la nature en termes d'originalité et de trucs fascinants. Déino a quand même une part "humanisée", c'est bien ça qui lui a permis d'évoluer pour devenir autre chose que juste une réincarnation animale. Elle est la seule de son "espèce" si on peut appeler ça comme ça, et pendant longtemps elle ignorait ce qu'elle était. Elle a beaucoup souffert de n'avoir aucune existence aux yeux d'autrui et la seule personne a avoir perçu sa présence la rejetait tellement qu'elle refusait de lui donner un nom, moyen pour elle de la nier (si on ne nomme pas quelque chose, ça ne peut pas exister et du coup, ça n'est pas vraiment là). Donc, Déino a beau être une prédatrice ultime, elle aura quand même le désir de s'adapter pour faire partie du monde. Mais parfois, se conformer c'est se nier soi-même et il vaut peut-être mieux laisser parler sa nature.
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« le: 19 août 2024 à 14:31:20 »
Alors, dans le tome 1 Déino souffre de ne pas avoir de vraie vie, d'être au ban de la société, bref de sa différence. Dans le tome 2, elle parvient à obtenir cette vie qui lui tant manqué et elle fait de très gros efforts pour ça. Elle réussit même très bien à s'intégrer. Mais elle comprend que tout ça, ça ne lui correspond pas. Pas que ce soit déplaisant, mais Déino est une tueuse, c'est ça son truc. C'est l'identité où elle se sent le mieux. Et en plus, elle a un but en tête, et elle n'en déviera jamais. En revanche, ce désir sincère de s'intégrer et sa faculté d'adaptation seront un atout pour elle, dans le cadre de son objectif. Une pierre deux coups, en somme. Bon j'avoue que dans ma tête, c'est clair, par contre si on me demande d'expliquer je m'emmêle un peu et ça devient confus...
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« le: 17 août 2024 à 03:33:51 »
J’en suis à la V8 pour Déino II. Ces derniers jours, j’ai ajouté des passages, j’en suis contente. Quand j’ai appris qu’il aurait pu être question d’hybrides dinos-humains dans les Jurassic World, j’ai flippé… avant de presque immédiatement soupirer de soulagement. J’avais peur qu’ils aient la même idée que moi, mais en fait pas du tout. Non seulement je suis contente que cette… heu chose n’ait pas abouti sur nos écrans, mais ça ne correspond absolument pas à ce qu’il y a dans mon histoire. Ouf ! J’avoue qu’au tout tout début, j’imaginais un truc débile avec une transformation du genre dino-garou (ouais bon, j’avais quinze ans, hein… ). Heureusement, j’ai très vite opté pour un concept psychologique et non une créature dont la singularité est juste physique. Pour Déino, je dirai qu’il s’agit d’une sorte d’évolution plutôt que d’hybridation, qui concerne (surtout) l’esprit et n’a été possible qu’avec une certaine condition. Comme une mutation de l’âme qui aurait donné une entité particulière, ou ce que j’aime appeler une aberration. Si vous croisiez mon héroïne dans la rue, vous la prendriez pour une humaine tout ce qu’il y a de plus normale. Ça fait tellement longtemps que j’ai cette histoire en tête, et pourtant ce n’est qu’au cours des derniers mois que je comprends où je veux en venir. Ou plutôt ce que mes persos cherchent à me dire. Que se passerait-il si un prédateur né se « civilisait », sans pour autant abandonner son appétence pour la mise à mort et en conservant un but à atteindre, la chasse envers une proie spéciale entre toutes à ses yeux, au point d’en faire une véritable idée fixe ? Réponse : un être dont la capacité d’adaptation lui permet de faire sien le pire de l’humanité pour obtenir ce qu’elle veut, quand le flic en représente, lui, le meilleur. Des persos en miroir, j’en ai trouvé quelques-uns dans ces romans. Oui, je réalise souvent des trucs à postériori. Sans un troisième protagoniste (la cible de son obsession) Déino n’aurait jamais pu évoluer comme elle l’a fait, et son acharnement envers ce dernier la fera aller loin, très très loin, dans le tome 2. Parmi les personnages, tomes 1 et 2 confondus, on a aussi : - Une mère maltraitante et sincèrement larguée, mais dont la nature est douce et aimante et qui a inconsciemment tout compris avant tout le monde ; - Un lycéen empathique et perspicace, peut-être trop ; - Un étudiant sous le charme d’une fugueuse, et dont le destin préfigure et enseigne bien des choses ; - Une fillette de six ans qui n’a pas choisi la bonne idole ; - Un militaire tortionnaire, voire sadique, au final pas si « vilain pas beau » antagoniste que ça et surtout outil de sa victime ; - Un collégien trahi qui sera peut-être le dernier espoir contre le monstre. - Ah, et aussi un petit chat courageux… ou kamikaze. Sans oublier Laïs, sans qui rien de tout cela ne serait arrivé, le catalyseur, la proie tant désirée. Et enfin, un être qui en a bavé avec une enfance et une première vie humaine plus qu’atroces, mais qu’il ne vaut mieux pas prendre en pitié. D’ailleurs, doit-on compatir quand on découvre que les sévices subis et la souffrance, bien réels, n’expliquent pas la soif de meurtre, qui aurait existé même sans cela ? Pourtant, Déino n’est pas non plus juste une machine à tuer dépourvue d’âme : elle éprouve des émotions et même de l’empathie (froide en tout cas). Ça fait partie de ce qui pour moi la rend si dangereuse : on se méfie moins d’une gamine qui sait se faire aimer, parce qu’elle a un vrai besoin de cet amour, que d’un Terminator glacial. Déino a été une enfant martyre dans le premier roman, et sera une ado torturée dans le deuxième. Elle a réellement eu une part d’innocence et de candeur. Déino a toujours été un abîme, une menace, le véritable monstre… qui dans les premiers temps n’avait simplement pas conscience de sa noirceur intrinsèque. Déino n'élimine pas ses ennemis, elle les broie. Elle ne les humilie pas, elle les pulvérise.
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« le: 09 août 2024 à 11:29:06 »
Le dernier stade c'est mentir en pleine conscience parce que l'autre te fait pitié, et que cette pitié te sert de marchepied pour booster ton égo en tant de défenseur des opprimés, ce qui te place au-dessus des autres moralement (du moins en apparence, car pour faire ça il faut être en-dessous de tout) ; en fait c'est une utilisation cynique de la détresse d'autrui pour gagner une place de héros des temps modernes. Le syndrome du "sauveur"... Ce me donne envie de Et ce, indépendamment de la "justesse" (ou non) de la cause défendue, de qui juge de cette "justesse", et du fait que la personne en détresse peut aussi vouloir rester dans son état pour se faire plaindre (je souffre dans cette société donc je suis) OU même feindre sa détresse. Et pendant que certains gueulent plus fort, y en a qui crèvent en silence parce que leur entourage s'en fout et qu'on les a dressés pour qu'ils se taisent afin de ne surtout surtout pas déranger.
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« le: 02 août 2024 à 23:07:12 »
En juin 1996, j’ai terminé le premier jet d’un truc inspiré de Jurassic Park, mais il n’y a pas de dinosaures dans mon histoire. Enfin… pas réellement. Il est question d’une enquête policière, mais ce n’est pas un roman policier. De la recherche d’un coupable, et d’une quête d’identité. On y trouve un flic largué et dont l’humanité le rend trop hésitant. Et une entité prête à tout pour recouvrer sa liberté. Vraiment à tout. À ce jour, j’en suis à la V8 du tome 1 et à la V7 du tome 2. Pas de tome 3 à priori, même si je sais exactement comment il se finirait et quelle serait la "morale" de tout ça. Si quelqu’un était intéressé pour bêta lire ou simplement donner son avis… sur le premier tome pour commencer. Pas de deadline, dans l’idéal j’aimerais faire éditer ou autoéditer ce roman qui me tient énormément à cœur, cependant c’est un peu compliqué dans ma vie, donc pour l’instant c'est en stand-by de ce côté. Si ça vous dit… Merci en tout cas d’avoir fait un tour ici. Les synopsis des tomes 1 et 2 sont dispos si besoin.Titre : DÉINOPages : 177 57 356 mots 349 890 signes espaces comprises Le pitch :Confronté à une entité issue du fond des âges, Henri Chapman voit sa conscience de flic se heurter à sa propre humanité. Le résumé type quatrième :Peut-on sacrifier une innocente pour arrêter une meurtrière ?Lorsque des homicides ensanglantent sa ville, le commissaire Chapman se promet de résoudre une enquête vieille de douze ans. Animal enragé ou individu dérangé ? L’Éventreur invisible fait preuve d’une fureur et d’une bestialité inédites chez les criminels. Comment arrêter cette folie meurtrière quand les indices matériels manquent et que les témoins parlent de blessures provoquées par un fantôme ? Laïs Mazier, fille adoptive de l’une des victimes, paraît détenir la clé du mystère. Enfin élucidé, celui-ci dépasse tout ce que Chapman aurait pu imaginer. Alors l’horreur commence. Le pitch du tome 2 :Sa nature animale n’était pas la pire.Déino est revenue. Ils n’auraient jamais dû laisser le monstre s’humaniser… car de sa rédemption viendra leur tragédie.
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« le: 29 juillet 2024 à 17:05:27 »
Et un grand merci, @silenceloy !
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« le: 27 juillet 2024 à 23:03:59 »
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« le: 27 juillet 2024 à 19:04:35 »
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« le: 25 juin 2024 à 12:54:45 »
Des avis ? Pour ma part, j'ai été très déçue quand ils ont servi le fromage. Je comprends qu'ils aient fait un choix d'adaptation, mais j'ai rien ressenti. J'ai pas eu l'émotion que j'attendais alors que cette scène… ben c'est quand même quelque chose, quoi. Par contre, j'ai beaucoup aimé l'épisode 2. Les clashs Rhaenyra/Daemon et Otto/Aegon. Le combat des jumeaux m'a procuré plus d'émotions, de tristesses, que pour la fameuse scène de l'épisode 1.
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« le: 23 mars 2024 à 20:17:43 »
Merci, ShiroiRyu (et Damien aussi, du coup) ! Ah j'ai oublié de dire que mon roman ne sera pas disponible en librairie mais en impression à la demande. S'il vous intéresse, lui ou un autre titre du Petit Caveau, le mieux pour soutenir la ME est de passer par son site.
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« le: 23 mars 2024 à 18:21:23 »
Merci, @Samantha Rosenwood ! La couverture a été réalisée par Nicolas Jamonneau, l'un des illustrateurs partenaires du Petit Caveau. J'ai lu Dracula de Bram Stoker, il y a longtemps, mais ce sont surtout le Dracula de Coppola et le roman Le Lien maléfique d'Anne Rice qui m'ont inspirée.
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« le: 22 mars 2024 à 23:12:27 »
Vous avez envie de retrouver une ambiance digne des vieux films de la Hammer ? Les vampires traditionnels vous manquent ?Et Revisitez les grands classiques vampiriques...C'est ainsi que mon éditrice présente mon roman Le Miroir de nuit sur le site du Petit Caveau. Mon roman est sorti le 15 mars, et si pour l'instant je n'ai pas de retour des lecteurs, les SP sont globalement positifs. Ils soulignent surtout l'atmosphère gothique et inquiétante. Une chroniqueuse a eu un coup de coeur ! Une autre l'a noté 18/20. https://www.editionsdupetitcaveau.com/produit/le-miroir-de-nuit-dardell-t-hel/Et l'illustration de couverture plaît beaucoup.
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« le: 25 février 2024 à 09:57:42 »
Merci, Rikimaru !
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« le: 24 février 2024 à 23:38:36 »
Ouah, une maison d'édition avec un HUMAIN derrière, avec qui tu peux vraiment COMMUNIQUER ? Je pensais pas que ça existait encore à notre époque ! (Vous croyez que je plaisante, mais ce n'est absolument pas le cas.)
Oui, ça existe, mais comme pour tout, ça dépend des gens derrière, de la façon dont ils travaillent. Certains sont proches de leurs auteurs. Idem je pense quand l'auteur ne fait pas encore partie de leur écurie et en est au stade de proposer son manuscrit. Dans mon cas, il s'agit d'une structure associative et ils sont tous bénévoles. Donc, ils ne sont pas retranchés en haut d'un gratte-ciel avec un cigare au bec (pour caricaturer). L'éditrice m'a laissé une grande liberté (thème de la couverture, la quatrième, ma bio... + le texte lui-même). Apparemment, la plupart ne font pas ça et auront plutôt tendance à décider eux-mêmes. Le Petit Caveau m'avait été recommandé par une autre éditrice (sa maison d'édition a fermé malheureusement) qui avait refusé mon roman mais m'avait fait un retour hyper personnalisé. Ca aussi, c'est rare. J'avais bien attendu deux ans pour avoir cette réponse. Comme c'était le refus le plus chouette et encourageant que j'ai eu, ça valait le coup. Félicitation ! Et pour le roman, et pour avoir décroché un contrat avec un vrai éditeur
Merci, Ouv !
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« le: 24 février 2024 à 22:20:48 »
Merci, Bouloche ! Je l'ai sûrement déjà dit, mais je replace le contexte : j'avais soumis mon roman à cette maison d'édition en 2021 et j'avais d'abord essuyé un refus à cause de longueurs. J'ai demandé si je pouvais retenter après modifications. Ils m'ont dit oui et là ça a marché. Il y a un chapitre entier qui a sauté, mais ce n'est pas dérangeant pour moi car en effet, il n'apportait rien au récit et je l'aimais bien, sans plus.
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« le: 24 février 2024 à 16:46:40 »
Merci, Numby !
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« le: 24 février 2024 à 15:37:21 »
Bonjour tout le monde ! Ca fait un moment que je n'avais pas posté... Pour mon retour, j'aimerais vous partager la sortie prochaine de mon "bébé", prévue le 15 mars et en précommande sur le site de l'éditeur. https://www.editionsdupetitcaveau.com/produit/le-miroir-de-nuit-dardell-t-hel/Résumé : Avril 1869. Deux jeunes Anglais se perdent, un soir d’orage, dans une forêt de Roumanie. Le comte Stanislas Oglinda de Noapte leur offre l’hospitalité dans son château. Sauvés ? Non, car ils ne sont que des proies pour ce prédateur. Ce dernier se contente cependant de les séparer. Pour quelle raison ? Et cet homme, tout à tour adorable de gentillesse et monstrueux de cruauté, est-il un ange ou un démon ? Dans sa quête pour retrouver Antha, sa cousine, Sebastian Dawley obtiendra l’aide d’une villageoise médium et d’une vampire avide de vengeance. Ensemble, ils découvriront la vérité sur le passé du comte. À moins que cette révélation ne dissimule un secret bien plus horrible… Deux chroniques sont disponibles dans le lien et une troisième ici : https://www.tiktok.com/@laetitiapondruel/video/7338193462417689888Si vous-même ou quelqu'un de votre entourage aimez les histoires gothiques, les ambiances de crainte et d'omerta et les vampires ambivalents, faites-vous plaisir ! Il s'agit du premier tome d'une trilogie. Et n'hésitez pas à partager autour de vous.
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« le: 21 février 2024 à 22:20:42 »
Je t'en prie !
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« le: 30 août 2023 à 17:33:13 »
J'ai reçu un appel de ma banque par rapport à ma demande d'opposition et je leur ai dit que ce n'était plus d'actualité, ma demande est clôturée, donc de ce côté là je ne pense pas qu'il y aura de problème. Pour les livraisons non complètes, ça arrive tellement souvent que ce n'est pas ça qui me dérange le plus. Et il arrive souvent aussi qu'on me dise que tel produit était indisponible et en fait, je le reçois quand même. Mais recevoir des produits périmés, ça m'arrange moyen. Là je voulais essayer une autre enseigne. Histoire de voir la concurrence. Sur mon compte, il est bien indiqué le créneau que j'avais demandé. Par contre, je ne sais plus où, le créneau où le livreur est passé était aussi indiqué. Mais que ce soit dans le mail de confirmation ou dans mon compte, il y avait le créneau demandé. L'autre enseigne me rembourse facilement pour les produits manquants ou impropres à la consommation (enfin ceux qui ont déjà été facturés). Pour ce magasin là, je suis passée par des mails pour demander où se trouvaient les formulaires de demande de remboursement, parce que j'ai eu beau chercher, je n'ai rien vu. Sinon, oui, je téléphonerai au magasin (je pense que je peux attendre longtemps une réponse par écrit).
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