Perso, j'avais grimpé sur l'Etna sans passer par les gros camions/bus et je n'ai pas souvenir d'un truc particulièrement ardu (bon, il n'y avait pas de neige parce que c'était au mois d'août, mais le terrain restait le même). Et on était monté en solo pour retrouver des guides au sommet qui, dans mes souvenirs, parlaient correctement. Alors, je ne sais plus en quelle langue parce que je comprends l'anglais et l'italien, mais je me souviens qu'il nous a répondu tout tranquillement que ça pouvait péter demain, aujourd'hui, dans une heure (en vrai, 2 jours après).
Pour le bon vouloir de parler une autre langue, ça dépend totalement des gens. Perso, avec mes parents, on a toujours fait l'effort d'essayer de parler la langue locale. Ce n'était pas forcément folichon, mais on n'arrivait pas avec nos gros sabots en ne parlant que français et en pestant sur le fait que personne ne nous comprenait.
Après, il y a des gens qui arrivent en pays conquis ailleurs et qui pensent qu'on doit nécessairement parler leur langue (alors que bon, on ne va pas se mentir, le français, ce n'est pas la langue la plus simple du monde).
Quant aux différences de température selon l'altitude, on avait bien senti ça à la Réunion il y a deux ans. Quand on avait été sur le Piton de la Fournaise, on était en polaire, grosses chaussettes et tout le toutim, et, le même jour, quand on était redescendu sur la côte, on s'est retrouvées en débardeur, short, claquettes.