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Re : La cafet' [LIRE LE 1er POST !]
Bi bibi bibi bibi-phobe...
25 avril 2023 à 19:30:31
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Re : Actualités: désastres, drames de la vie courante et passions politiques
Solution : - enregistrer un bruit de casserole sur son téléphone - le passer en boucle avec le volume à fond - à votre service !
26 avril 2023 à 22:04:29
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Re : Twitter, Facebook, ... Les nouveaux outils de communication des créateurs de StS
Heureusement que nous sommes tous japonophones et qu'on a tous compris instantanément
29 avril 2023 à 15:12:55
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Re : Knights of the Zodiac/StS: The Beginning (JP : 28 avril, FR : 24 mai) [NO SPOIL]
Une partie du film Tomb Raider a été tournée au Cambodge. C'est classe et très joli.
06 mai 2023 à 19:33:35
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Re : Knights of the Zodiac/StS: The Beginning (JP : 28 avril, FR : 24 mai) [NO SPOIL]
22 mai 2023 à 18:45:29
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Re : Nature, environnement et jardinage (le coin de verdure du fofo)
Oh. https://www.lemonde.fr/m-styles/article/2023/05/06/un-filtre-a-eau-inspire-par-les-populations-indigenes_6172319_4497319.html
Oh²
En Haute-Garonne, une opération de recharge des nappes phréatiques unique en France par son ampleur
Philippe Gagnebet
Le conseil départemental a lancé un projet de recharge artificielle des nappes phréatiques pour une durée de quatre ans afin de soutenir l’étiage de la Garonne en été.
Recharger les nappes phréatiques plutôt que d’y puiser l’eau continuellement. En Haute-Garonne, une expérimentation menée par le conseil départemental, en partenariat avec le service public de l’eau Réseau31 et le concours du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), a débuté mi-avril pour une durée de quatre ans.
Objectif de l’opération, baptisée « R’Garonne » : réaliser une « recharge maîtrisée de la nappe alluviale de la Garonne » afin de soutenir l’étiage du fleuve, fortement mis à contribution en raison de nombreux épisodes de sécheresse. L’intervention, fréquemment utilisée en Californie, en Israël ou en Australie, est encore rare en Europe. En France, la technique déployée autour du village de Cazères est unique par son ampleur, avec une surface concernée de 100 kilomètres carrés.
Pour réalimenter la nappe, plusieurs dispositifs d’infiltration douce sont mobilisés, tels que la déviation de l’eau via des canaux jusqu’alors non utilisés, branchés au canal de Saint-Martory, parallèle à la Garonne. Des fossés, par lesquels l’eau peut s’infiltrer dans les sols, ont été ensuite réaménagés pour faciliter l’écoulement. C’est le principal défi technique à relever : parvenir à maîtriser ces infiltrations grâce à ces fossés « recalibrés ».
« Technique ancestrale »
« La technique est ancestrale, comme le rôle des prairies, mais elle bénéficie d’outils modernes pour la modélisation et, surtout, nous l’appliquons dans une optique environnementale, en protégeant la biodiversité », affirme Yann Oudard, directeur général adjoint des services techniques de Réseau31.
Selon le président du conseil départemental, Sébastien Vincini (Parti socialiste, PS), « ce sont 5 à 10 millions de mètres cubes qui pourraient ainsi être stockés puis réinjectés ». Pour Yann Oudard, « on prélève l’eau à un débit de 10 mètres cubes par seconde dans le canal, et la progression est dix fois moindre sous terre. L’objectif de réutiliser 10 % de ces prélèvements semble raisonnable », précise-t-il. Grâce à un piézomètre – sorte de puits ou de forage – installé sur le parcours, le niveau de la nappe et le débit sont mesurés. Ensuite, la « bulle de recharge » réalimentera la Garonne.
A l’été 2022, 40 % des rivières du bassin Adour-Garonne étaient à sec, alors que 53 millions de mètres cubes d’eau avaient été déstockés des barrages des Pyrénées pour maintenir le niveau de la Garonne : un record absolu. Face à cette situation, le conseil départemental a donc décidé de porter un projet de territoire pour la gestion de l’eau pour un coût total de 1,87 million d’euros. Une technique plus « vertueuse et respectueuse de l’environnement et l’inverse des mégabassines en Charente ou du conflit passé sur la retenue de Sivens, dans le Tarn », souligne le président du conseil départemental.
Cycle complexe
« On ne sait pas si c’est une fausse bonne idée, c’est pour cette raison que le projet va s’étaler sur quatre ans pour obtenir une véritable évaluation quantitative. Mais on se doit de tout étudier et observer », souligne Yann Oudard.
Le cycle des eaux souterraines étant complexe à suivre, selon par exemple la composition des sols plus ou moins perméables, la participation du BRGM s’avère importante. Pour Anne-Valérie Hau-Barras, sa directrice régionale déléguée, « le suivi scientifique permettra de s’assurer de l’absence de polluants et que le mélange des eaux de surface avec la nappe phréatique n’a pas d’impact sur la qualité de l’eau ».
En décembre 2022, la Société hydroélectrique du midi, qui gère le barrage des Bouillouses, dans les Pyrénées-Orientales, avait dévié 90 000 mètres cubes d’eau dans des canaux pour ensuite les déverser dans la nappe phréatique et alimenter en eau potable la zone de Bouleternère et de Corbère-les-Cabanes. D’autres expérimentations ont été menées en région parisienne par le passé et Réseau31 envisage, à moindre échelle, de mener la même opération en Lot-et-Garonne à partir du canal du Midi, ainsi que dans d’autres endroits de la région.
https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/05/08/en-haute-garonne-une-operation-de-recharge-des-nappes-phreatiques-unique-en-france-par-son-ampleur_6172467_3244.html
https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/05/11/au-nom-des-economies-d-eau-le-prefet-de-l-herault-donne-un-avis-defavorable-a-un-projet-de-golf_6172999_3244.html
Youhou, la nature se meure mais les abrutis sont contents.
Une nouvelle ruée vers l’or en Californie
—The New York Times,extraits (New York); —Thomas Fuller(à Placerville, Californie), publié le 22 avril
Les pluies diluviennes de l’hiver et la fonte des neiges ce printemps ont favorisé l’érosion et relâché le précieux métal dans les cours d’eau. Pour le plus grand bonheur des prospecteurs. page 20
A lbert Fausel passe habituellement ses journées dans la quincaillerie familiale, à farfouiller dans des boîtes d’écrous et à arpenter le vieux plancher grinçant pour saluer sa fidèle clientèle. Mais, en cet après-midi ensoleillé, il enfile sa combinaison de plongée et son masque pour plonger dans le petit ruisseau qui coule près de chez lui.
Chercheur d’or amateur, Albert Fausel balaie de ses doigts gantés le sable et le gravier du fond du ruisseau. Soudain, il pousse un cri audible à travers son tuba : “Yahouhouhou !”
Il émerge avec ce que les chercheurs d’or appellent un picker – une petite pépite, pas aussi grosse qu’un nugget, mais que l’on peut quand même attraper entre deux doigts – et le tend délicatement à son ami Uncle Fuzzy, un prospecteur à la longue barbe blanche. En seulement vingt minutes de farfouillage dans le lit du ruisseau, il a trouvé l’équivalent de 100 dollars [91 euros] en or.
La Californie est en proie à une nouvelle fièvre de l’or, car la nature est en train de libérer une fournée de ce précieux métal. Les pluies diluviennes de cet hiver ont en effet gonflé les ruisseaux de montagne et les rivières. Le réchauffement des températures fait fondre les énormes couches de neige accumulées dans la Sierra Nevada, et les eaux de fonte détachent et emportent avec elles des dépôts d’or. Les gigantesques feux de forêt des dernières années ont, en outre, ameubli les sols, ce qui contribue également à libérer de l’or et à le faire passer dans les cours d’eau.
“Une année magnifique”. La grande ruée vers l’or qui avait attiré d’innombrables chariots et bateaux remplis de prospecteurs a beau remonter à près de cent soixante-quinze ans, les collines situées au pied de la Sierra Nevada abritent toujours d’excentriques chercheurs d’or qui étudient les vieilles cartes pour retrouver la trace d’un saloon aujourd’hui disparu ou parcourent l’arrière-pays à la recherche de pépites et d’objets historiques.
Placerville se trouve à quinze minutes en voiture de la vallée où James Marshall, un charpentier du New Jersey, avait eu le regard attiré par un objet brillant alors qu’il était en train de bâtir une scierie sur les bords de l’American River, en janvier 1848. “Un genre de métal qui ressemble à de l’or”, avait écrit un de ses employés dans son journal.
En quelques années seulement, la ruée vers l’or a fait disparaître les morceaux du précieux métal que recelaient les cours d’eau depuis des millénaires, et James Marshall a fini par mourir sans le sou. Puis les mineurs se sont mis à utiliser de puissants jets d’eau qu’ils dirigeaient sur le flanc des collines pour ensuite filtrer ce qui s’écoulait, laissant d’énormes tas de résidus miniers qui sont encore visibles aujourd’hui.
Ce type d’extraction est désormais strictement contrôlé en Californie, mais les assauts des tempêtes de cet hiver ont produit un effet similaire, d’après les chercheurs d’or. C’est comme si Mère Nature avait dirigé un nettoyeur à haute pression sur les collines et libéré le minerai précieux qui était encore coincé dans la roche et la terre.
“Chaque fois que vous êtes près d’une rivière et que vous entendez les rochers rouler, vous savez que l’or aussi est en train de bouger”, souligne Jim Eakin, qui possède une entreprise de bois de chauffage. Il y a quatre ans, il a trouvé une pépite si grosse qu’il a pu s’acheter au comptant un pickup Ford F-150 flambant neuf.
Comme beaucoup de ses amis chercheurs d’or, Eakin, qui porte une pépite autour du cou, se montre vague quand on lui demande où exactement il a trouvé la fameuse pépite qui lui a permis d’acheter le pickup. “Quelque part au nord de Los Angeles, au sud de Seattle et à l’ouest de Denver”, répond-il. Le prix de l’or frise désormais 2 000 dollars l’once [environ 70 dollar le gramme]. Jim Eakin fait partie des chercheurs d’or qui savent “lire le terrain” et peuvent profiter des conséquences des événements météorologiques de cet hiver.
“Ça va être une année magnifique”, annonce Tony Watley, le président du Gold Country Treasure Seekers Club [“Club des chercheurs de trésors du pays de l’or”], qui se réunit dans les locaux de l’American Legion [une association d’anciens combattants] le troisième lundi du mois. “On voit de l’érosion nouvelle partout.”
Lors des réunions des chercheurs de trésors, il y a toujours un moment où les membres du club exposent leurs trouvailles sur des tables pliantes. Les participants à celle du mois de mars ont été émus quand quelqu’un a déposé deux livres de pépites [plus de 800 grammes] qu’il avait trouvées avec un détecteur de métaux, la méthode favorite de la plupart d’entre eux. “Il y avait pour 50 000 dollars d’or sur cette table, raconte Mark Dayton, un des habitués du club. On a eu plus d’or au cours des deux dernières réunions que je n’en avais vu dans les deux dernières années.”
Dayton a été policier et pompier, mais il gagne maintenant sa vie comme chercheur de trésors. En avril, il a trouvé l’équivalent de 750 dollars de morceaux d’or en quelques sorties seulement. D’après ses camarades et lui, le meilleur est encore à venir, quand le niveau des cours d’eau baissera et que les rochers et les bancs de sable seront accessibles.
Un après-midi, Dayton longe la rivière Cosumnes en compagnie de son ami Barron Brandon, un ancien dirigeant du secteur minier qui est aujourd’hui chercheur d’or amateur. Ils creusent les cailloux et le sable dans un creux entre deux rochers. L’un des détecteurs de métaux de Dayton émet un bruit strident. Après avoir creusé un peu plus, les deux hommes trouvent ce qui a autant excité l’appareil : un morceau de fer à béton sans valeur.
Brandon ne montre aucun signe de déception. Il se tient debout près de la rivière tumultueuse, les collines sont couvertes de chênes blancs, et des ruisseaux limpides s’écoulent doucement entre des buttes herbeuses couvertes de fleurs sauvages. “Le vrai or, c’est d’être là”, déclare-t-il.
Quatre paillettes. James Holifield, un lycéen qui vit dans la banlieue de Sacramento, est venu sur les rives de l’American River pour le dernier jour de ses vacances de printemps après avoir vu une vidéo sur YouTube. “Il y a vraiment un truc avec l’or en ce moment”, souligne-t-il.
Au bout de deux heures, il a trouvé quatre paillettes. Sa mère, confortablement installée sur un siège pliant à quelques mètres de la rivière, est contente que son fils ait choisi un loisir nécessitant un “faible investissement”. Et elle préfère largement le regarder manier la batée [récipient peu profond utilisé pour chercher des particules d’or dans un mélange de sable et d’eau], confie-t-elle, que de le voir les yeux rivés à son écran de téléphone portable.
https://www.courrierinternational.com/long-format/reportage-en-californie-le-changement-climatique-provoque-une-nouvelle-ruee-vers-l-or
23 mai 2023 à 16:11:44
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Re : Knights of the Zodiac/StS: The Beginning (JP : 28 avril, FR : 24 mai) [NO SPOIL]
Je viens de voir le film en VOSTF, c'est loin d'être la grosse parodie annoncée par les journaleux francophones.
Je revois le film en VF cet après-midi.
24 mai 2023 à 11:18:25
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Re : Dragon Ball
Surtout que chez certaines personnes, du moins une en particulier, un simple éternuement suffit!!...
27 mai 2023 à 00:53:17
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Re : Re : [KotZ] Saint Seiya : Battle for Sanctuary (topic général - saison 3 : 2023)
Et une fois que l'arc sanctuaire commence, si on est objectif, il n'y a que sur la musique où la série de 86 est meilleur.
Ça serait vraiment bien d'arrêter d'utiliser le mot "objectif" quand on ne fait qu'émettre un avis.
04 juin 2023 à 17:30:35
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Re : Le topoc des images bizarres/ à la con / drôles / intéressantes
09 juin 2023 à 10:02:59
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