Bach était un putain de tueur mais me fader 1 heure de clavecin c'est souvent au-dessus de mes forces ; heureusement qu'il a fait d'autres trucs.Ça dépend ce qu'on appelle long. Pour moi, en règle générale, au bout de dix minutes si la mélodie ne varie pas un peu j'ai envie de passer à autre chose. De même je peux apprécier un air d'opéra, mais pas plus de deux ou trois minutes, quoi.
edit : ah oui, le choeur des chasseurs, j'adore :)) On sent bien la finesse, le tact, la bière et les saucisses :))Et les blondes avec des nattes qui viennent les servir. [:lol]
Danse Macabre n'est pas un opéra, par contre (donc? :D) c'est un putain de bon morceau.Non moi je parlais de la Bacchanale. Mais à la deuxième écoute, j'aime aussi beaucoup la Danse macabre. [:aloy]
C'est marrant, avec les orchestres symphoniques, des fois on a des gros plans sur les mecs du fond qui n'en branlent pas une à faire tinter leur machin 1 fois toutes les 16 mesures ou à donner 2 coups de cymbale par pièce [:lol]C'est étonnant qu'on en voit aucun se curer le nez, d'ailleurs. [:lol]
Beethoven - Moonlight Sonata (FULL) (http://www.youtube.com/watch?v=4Tr0otuiQuU#)
J'adore le bocal de Saint-Saens, souvent utilisé en publicité. [:aloy]
@Benji; ah que j'ai pas compris [:sweat]
B.O de "Caligula", entendue dans une pub du moment, je savais pas qu'à l'origine c'était du classique.
Elles font quand même "jme la pète, regarde je joue du violon avec mes dents".
J'aime pas trop cette démonstration de force. Ca manque vraiment d'humilité.
On se demande si c'est du cirque ou de la virtuosité musicale.C'est entre les deux, c'est ça qu'est rigolo. [:lol] Ça m'a rappelé un truc identique. Y avait un groupe de mecs qui faisait ce genre de trucs dans les cirques. Leur nom m'échappe... Ils faisaient les cons, fringués en queue-de-pie, genre "et maintenant, je vais mettre ma tête dans la gueule de l'animal (le pavillon du tuba)".
on dit souvent que Vivaldi aurait été un metaleux si il aurait vécu à notre époque [:lol]Tu m'étonnes, ce mec était d'une grandiloquence musicale... [:love] comme Beethoven d'ailleurs. Ces deux-là tu leur collerais aujourd'hui une guitare électrique entre les mains, de l'or coulerait dans les oreilles.
Ah et ça, ça compte? :DEvidemment :o
Yngwie .J. Malmsteen - Fugue [HD 1080p] (http://www.youtube.com/watch?v=cAq817mTb50#ws)
il faudra naturellement diminuer la fréquence d'écoute sous peine de s'en lasser
Quelque part si, c'est exactement ce que tu veux dire.
Ben moi je trouve que ça ne sert à rien d'insister quand un morceau, tu ne le trouves pas terrible, immédiat ou non. Et penser qu'on trouvera ces fameuses subtilités en appuyant comme un malade sur la touche "repeat", en espérant rentrer dans une élite et alors que le premier degré était peu fructueux, je trouve ça un peu vain
Les subtilités sont grandes quand déjà au départ, le premier degré était sympathique
C'est plutôt le contraire : un grand titre c'est celui où tu ne te lassera JAMAIS. Cela tourne en boucle encore et encore
Simplement, ça ne coûte rien (à part un peu de temps)
Pas forcément. Du tout. J'ai détesté des tas d'artistes avant de les adorer une fois une certaine expérience d'écoute emmagasinée.
"Je vais me forcer à penser que c'est génial"
C'est le discours de ceux qui disent qu'il faut appréhender une œuvre, comme si le compositeur a volontairement caché les qualités sous un vernis répulsif.
Une Je ne vais pas m'amuser à écouter plein de fois en me disant qu'il va y avoir une révélation.
Ben si : le temps. Dans ce cas, cela en coute vachement.
Moi, Grin, il m'a fallu une écoute
Ce sera payant pour le musicien mais pour toi ?
C'est surtout comme ça que les radios fonctionnent : j’appelle ça plutôt du lavage de cerveau.
(surtout le mouvement 3 à partir de 07:40)[:cerveau love]
Après c'est vrai que certaines choses ne peuvent parler en les écoutant "cash" il faut prendre le temps de se mettre en condition, d'infuser, de se mettre à l'écoute (j'entends pas en musique de fond en parcourant le forum par exemple) et c'est vrai que tout le monde - sans jugement négatif - n'est pas prêt à le faire, parce que ça suppose consacrer du temps uniquement à ses oreilles.Voilà, l'exact inverse de ce que je fais. [:lol]
La symphonie N°9 de DvorakSpoiler (click to show/hide)
Dvorak c'est vraiment un sacré enfoiré, il a tout piqué à John Williams dans Star Wars.
Personnellement c'est quand même très rare que je fasse un 180° sur un morceau de musique quel qu'il soit, Un morceau que je sens mal au départ, il n'y a pas beaucoup de chances que je le trouve mieux que moyen, et un truc que j'ai aimé c'est rare aussi que je le trouve pire que sympa. Ça a du arriver je suppose mais j'ai pas vraiment d'exemple en tête.
Quels bourrins... [:haha pfff]
J'pense que l'état de l'archet parle pour lui pour ce qui est de la bourrinitude. APrès c'est un clip
Le morceau en lui-même m'a laissé assez froid, personnellement.
sauf peut-être la clarinette,
Par contre, autant j'adore les cuivres dans un orchestre, autant des solos de cuivre ça m'intéresse pas.Ah bah dommage, Hibike en propose, tu peux donc passer ton chemin [:trollface]
Je connais parfaitement les 4 saisons (limite au coup d'archet près), je ne vois pas grand intérêt là-dedans, si ce n'est " " "redécouvrir" " " le bordel avec plus de répétitions et de boucles ::)
Vivaldi avait structuré ABCDABCDEFGHABCD en gros, et là globalement on se prend AAAADDDDEFGAAAADDDD. Sur certains mouvements il n'a pas osé supprimer beaucoup de choses et la "recomposition" est quasi-conforme, sur d'autres il s'est lâché et on a juste du Vivaldi en plus chiant.
Bravo l'artiste [:trollface]
cette "recomposition" va s'adresser davantage au ressenti qu'à l'intellect
Accessoirement, je pense aussi que ce genre de version peut être plus accessible pour les néophytesfranchement si les 4 saisons c'est trop hardcore je crois que la musique classique faut laisser tomber, c'est franchement hyper simple à appréhender, au moins "en gros" [:aie]. C'est pas une oeuvre accessible par la répétitivité (et moi la répétitivité je trouve ça moyen accessible perso, cf musique sérielle) ou la simplicité, mais par l'immédiateté de l'évocation et l'énergie communicative qui s'en dégage (des morceaux courts, vifs, avec une mélodie identifiable).