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Saint Seiya - la genèse Voilà, pour éviter les digressions, une compilation non exhaustive de comment est né ce fabuleux manga.

Kurumada a donné plusieurs interviews expliquant la genèse de Saint Seiya : elles ont souvent pris la forme d'entretiens publiés dans des parutions dédiées à  l'oeuvre (Cosmo Special, Jump Gold Selection - en particulier le 3, Taizen...). Il y a plusieurs années de cela, un fan nommé Philip Ho, qui compulsa ces informations et les posta sur son site Internet (en anglais approximatif notamment). Mon travail consiste essentiellement en la retranscription de ses notes.

Vous trouverez ci-dessous les principales informations que j'ai pu en tirer (le travail n'est pas exhaustif, faute d'avoir tous ces entretiens sous les yeux pour corroborer, mais en voici une bonne partie) !

Disclaimer : je n'ai sélectionné que ce qui concerne la genèse du manga, je n'ai pas parcouru tout ce qui concerne l'anime, désolé.
 

Masami Kurumada a toujours su s’inspirer de ses œuvres littéraires et cinématographiques préférées, parmi lesquelles il cite volontiers : Au bord de l’eau, les poèmes de Li Pô, la trilogie du Seigneur des Anneaux, Les Chroniques de Narnia, la Bible, l’Exorciste, la trilogie du Parrain, Damien ou la Malédiction, Star Wars, James Bond (l’idée de « gadgets » ou d’outils spéciaux l’a toujours fasciné) et… Karate Kid, véritable inspiration de Saint Seiya!

C’est en effet après visionnage du film, sorti en 1984 sous le nom de « Best Kid » au Japon, que Kurumada commence à  réfléchir sur un scénario qui, après moult transformations, aboutira à  la saga que nous connaissons : l’histoire devait se dérouler dans les montagnes japonaises ; la fille du propriétaire d’un dojo trouve un jeune bébé abandonné sur le seuil. Elle le recueille et l’élève comme son petit frère ; le propriétaire du dojo assure son enseignement des arts martiaux. Les coups portés par les élèves étaient si violents qu’ils devaient porter des protections sur tout le corps. Les élèves sont appelés Seisenshi (guerriers sacrés). Les Seisenshi deviendront plus tard des Seitôshi puis des Saints. Le garçon adopté s'appelle Rin (ce qui signifie cloche ou roue).

Toujours marqué positivement par son périple en Europe effectué en 1980, il décide de transposer - par goût de l’exotisme - son héros en Grèce, afin que celui-ci puisse parfaire son apprentissage… décision très originale à l’époque, les Japonais n’étant pas particulièrement portés sur le dépaysement culturel. Il change ensuite le nom du garçon en Seiya (flèche sacrée) et étoffe le scénario du premier chapitre : de retour au Japon, Seiya se rend compte que son père adoptif a été tué et sa soeur enlevée par des bandits. Seiya se lance à  sa/leur poursuite et demande de l’aide à  ses « anciens camarades de baston ».

Pour la création des personnages, après avoir fixé l’idée des constellations et des armures protectrices (voir plus bas), Kurumada a sélectionné 10 héros de base puis s’est plié aux règles du shônen pour trouver ses héros principaux :
- un mec au tempérament bouillonnant (nekketsu) : ce sera le héros, Seiya (qui désignera « flèche des étoiles » et non plus « flèche sacrée»). Il était censé être le Saint du Lion car Kurumada avait été impressionné par le phénomène des Léonides 'Shishiza Ryuusei Gun'. Il modifia son jugement après avoir eu l’idée de créer un ordre d’exception avec les 12 signes du zodiaque. Il dut alors trouver une autre constellation pour son héros principal. Le Petit Lion ? Oui… mais après discussion avec son tantô (éditeur) (en substance « si tu veux, tu peux faire un cheval, c’est cool les chevaux »), Kurumada opta pour Pégase, symbole s’il en est de la mythologie grecque. Par contre, le héros conservera l’attaque à  base de météores, le fameux « Pegasus Ryuusei Ken ».    
- un mec posé et réfléchi : c’est Shiryû, le Saint du Dragon, chez qui presque tout est inspiré des oeuvres du poète Li Pô (son nom, son vieux maître, Lu Shan/Rôzan, l’Épreuve de la cascade, la légende du bouclier contre la lance - appelée Mao Dun, ce qui signifie opposition, confrontation, etc.).    
- un mec cool et détaché : Hyôga. Afin d’accentuer son côté « à part », Kurumada décida d’en faire un métis russo-japonais. L’épreuve du cassage du mur de glace avait d’abord été pensée pour Seiya mais finalement Seiya dut se contenter de briser une pierre en guise d’entraînement. Le personnage de la mère de Hyôga est inspiré par le manga 'Ninjya Bugei Chou'.    
- un mec mignon pour le public féminin : c’est Shun, dont le nom provient de la célèbre chanson 'Hoshi no Matataki' (« scintillement des étoiles »), le kanji matataki se lisant également Shun. L’idée de la chaîne triangulaire et la chaîne circulaire provient d’un dessin aperçu par Kurumada sur une vieille carte céleste.

..mais me direz-vous, il manque quelqu’un ? Et bien oui et non : si Ikki intègre si tardivement le groupe des combattants de la justice, ce n’est pas un hasard. Il devait à  l’origine constituer le plus redoutable adversaire de nos héros, revenant sans cesse À  la vie, tel Murdoch dans MacGyver ^^ C’est pour cela qu’il se vit endosser la Cloth du Phénix. Figure de l’Éternel retour cher à  Nietzsche, ce personnage reçut comme pouvoir le Hoô Gen Ma Ken, qui devait à  l’origine modifier les souvenirs d’un adversaire à  la guise d’Ikki. Finalement, introduire un loup solitaire dans la bande ne déplut pas à  Kurumada, qui en fit même le frère du délicat Shun pour accentuer la diversité et la complémentarité de son groupe de héros.    

Dès le début, Kurumada voulait que ses personnages portent des protections (zenka, ou habits parfaits). En bouquinant ses livres d’art antique, il s’aperçut que toutes les statues n’Étaient revêtues que d’étoles blanches. Il baptisa donc dans un premier temps ses protections Seinaru Komoro puis finalement Cloth.

Certaines idées déjà  présentes dans ses précédentes oeuvres vont l'aider à  parfaire son univers. On citera parmi celles-ci:
Dans Ring ni Kakero : présence d’une Équipe de Grèce représentée par OrphÉe, Ulysse, Icare, Thésée et Apollon (les 4 derniers seront présents dans le Tenkai-hen!). Vient ensuite l’Équipe des dieux olympiens : Zeus, Cassandre, Créüse, Artémis, Orion, Prométhée, Méduse, Narcisse, Pégase, Vénus, Poséidon et Hadès. Le manga fait également mention d’une arme secrète provenant de la cité légendaire d’Atlantis : le Kaiser Knuckle. Le don du Misopethamenos apparaît Également dans ce manga. Ce manga, peu connu en France, recèle d'autres embryons de thèmes développés dans Saint Seiya : Kiku se fait enlever par des oiseaux, un domaine sacré où les héros doivent franchir plusieurs portes protégées chacune par un gardien, etc...
Dans Fuma no Kojiro, les héros détiennent chacun une épée sacrée dont seul le détenteur peut se servir sans problème. Il est également fait référence à  un « territoire sacré », source de tous les conflits et où les héros savent devoir lutter un jour. On nous y présente également la notion de Cosmo (Ordre en grec) ainsi que le concept opposé, celui de Chaos.    
Dans Otokozaka, est évoquée l’idée que chaque combattant a une étoile dans le ciel qui le guide dans sa destinée. Certains sont nés sous une bonne Étoile, d’autres sous une mauvaise Étoile…   

L’idée du Cosmos provient donc d’une reprise de FnK, mais aussi des phrases cultes de ses films de karaté favoris, comme "Ki ga takamaru" (avec une réplique qui doit vous rappeler quelque chose : «Incroyable… son Qi est en train d’augmenter ! »), auquel s’ajoute le visionnage d’un documentaire décrivant chaque corps humain comme un Shoûchû (Microcosme, monde intérieur).

Les Gold Saints    
L’idée de faire apparaître les 12 Gold Saints était validée dès la mise en chantier du manga, mais souhaitant se les réserver comme ennemis ultimes, Kurumada s’occupa des autres constellations en premier et créa l’ordre intermédiaire des Silver Saints pour entre autres se donner du temps pour réfléchir à  ses 12 « gros Bills » : au tout départ, il n’avait pas d'idée précise de qui serait quoi parmi l’ordre des Gold Saints mais s’était laissé plusieurs portes de sortie !



Au Japon, le Bélier, en tant que signe du printemps, est considéré comme féminin. C’est donc l'androgyne Mû qui se vit affecter ce signe.

Roshi/Dohko
Situation dégoupillée toute seule, l’idée de l’appeler Dohko viendra en même temps ainsi que l’utilisation du Misopethamenos.

Aiolia
Il n’était censé intervenir dans les premiers chapitres que comme bonne conscience du Sanctuaire et modèle de vertu pour Seiya. Puis, le signe du Lion s’est imposé comme étant le reflet de celui du Petit Lion (la constellation initialement prévue pour Seiya !). Finalement, l’idée de Marin (dont le nom fait écho à Rin, nom initialement prévu pour le héros) s’est décantée avec tous les mystères autour de son identité et le background familial avec Aiolos s’est imposé au fur et à mesure dans l’esprit de l’auteur.

Milo/Camus
Milo, Gold Saint du Scorpion, devait se révéler être le maître de Hyôga. Mais Kurumada opta plutôt pour le Verseau car l’eau et la glace devaient être logiquement associés.

Saga
L’identité du Pope fut toujours le Saint des Gémeaux, et ce depuis le début de la saga (mon dieu, quel jeu de mots minable!). En revanche, il mit beaucoup de temps à  décider si ce protagoniste devait souffrir d’un dédoublement de personnalité ou avoir un frère jumeau, avant de se décider pour…les deux ! De même, son nom devait initialement être Shura (en référence aux Ashura), mais jugeant le nom trop guerrier, il préféra l’attribuer au Saint responsable de la mort d’Aiolos.


Shaka
De temps en temps, les mangaka reçoivent une commande de yomikiri (c’est à  dire d’histoire one-shot basée sur leur série mais pouvant se dérouler en parallèle). Pour la première commande de ce type sur Saint Seiya (la seconde n’est autre que la Cygnus Story), Kurumada souhaitait revenir sur le passé d’Ikki sur Death Queen Island et faire intervenir un Gold Saint. Ainsi fut créé Shaka, dont le nom s’est imposé à  l’auteur avant même de déterminer sa constellation.

Poséidon
Le chapitre Poséidon a toujours été pensé comme une simple transition entre le chapitre Sanctuaire et le chapitre Hadès. Les idées initiales sont aussi très loin de ce que nous connaissons : Thétis briguait le poste de Général du Dragon des Mers et tramait en coulisses la guerre entre les deux camps et le personnage de Kanon ne devait apparaître que dans le chapitre Hadès ! Les Scales devaient également être teintées de bleu afin de souligner leur appartenance marine mais à la suite d’un sondage réalisé à l’initiative des responsables de l’anime, il s’avérait que le public de l’anime souhaitait revoir une opposition à  nos héros qui ressemblât le plus possible aux Gold Saints.

28 novembre 2012 à 11:42:54
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Re : La cafet' [LIRE LE 1er POST !] Cette fois, tu es vaincu.  [:kred]
(Combien m'offres-tu pour que je te libère?)

05 juin 2015 à 17:39:44
1
Re : [Soul of Gold] Episode 5 Salut,

Bon, épisode vu. C'est vrai que l'épisode collectionne les trucs qui donnent envie de hurler, mais je crois que c'est l'épisode qui m'a le plus "plu" pour l'instant (ajoutez encore quelques guillemets supplémentaires sur le "plu"  :D).

Ce que j'ai aimé :

- la rancune d'Aiolia envers Shura. De mémoire, ça n'avait jamais été abordé dans la série (corrigez moi si je dis une connerie), et ça y a sa place. Le flashback était sympa, et j'ai presque retrouvé la sensation de danger familière durant le combat Aiolia/ombre shuresque (faut dire qu'on a vu un peu de sang ;) , et que l'attaque de Shura, par nature, a pas besoin de grands effets pour être impressionnante, c'est ce qui sauve cette séquence je trouve). Problème : trop court, beaucoup trop court, comme tout dans cette série. Faire combattre Aiolia contre la matérialisation d'une rancœur contre laquelle il ne peut pas grand-chose, c'est très bien et ça pourrait vraiment créer une bonne tension. Mais comme le dilemme est réglé est deux minutes, ben ça fait une bonne idée gâchée supplémentaire. Ce truc, Shura, Aiolia, et le passé non réglé, ça aurait mérité un épisode entier exclusivement consacré à eux, et avec les moyens qui vont avec.

- un plan bien précis. Je trouve tout l'épisode moche à part quelques plans dans le flashback, mais y a un plan, un seul que je trouve sublime (attention, je risque d'en faire hurler certains  [:dawa]), c'est le petit Shura casqué agenouillé devant le grand pope. Il est superbe ce plan, Shura est magnifique, et avec ses grands yeux innocents, toute l'absurdité d'une vie de saint te frappe à la gueule : "quoi, c'est ce p'tit gars tout mignon en armure qu'on envoie assassiner un de ses copains ?????? Nooooooonnnnnnnnn, faites pas çaaaaaaaa !!!!!!".

Ce qui m'a saoulé :

- les larmes, j'ai rien contre le principe. Autant que je sache, y a pas d'ADN dans les larmes, mais rien n'indique que le pouvoir divin devrait être localisé dans l'ADN, spécifiquement. Le souci, c'est que ça flingue toute la cohérence des précédentes séries, en tout cas d'Hadès, de la scène du mur, et ce qui a suivi. Ça c'est pas pardonnable. Faire une suite à Saint Seiya, même pourrie, c'est pas un souci : mais qu'on laisse en paix ce qui tenait pas trop mal debout dans le passé. Je déteste cette tendance des scénaristes, quel que soit le support, à revenir sur le passé et à fracasser des trucs qui tenaient pas trop mal la route, sans même le savoir j'imagine, juste pour faire le lien entre ancien et nouveau matériau. Et accessoirement, ça flingue autre chose : l'espoir que laissait la série de voir émerger une vraie raison à l'apparition des god cloth, que ce soit par la volonté d'Athéna, ou autre chose. Là non, c'est juste... le hasard.

- l'éveil des god cloth : c'est un détail, mais c'est agaçant qu'ils parlent tous de brûler leur cosmos "à son extrême limite" pour éveiller le pouvoir divin. Quand Saori parle à Seiya à Elysion, elle lui demande de brûler sa force plus qu'il ne l'a jamais fait, à l'infini. Perso, la scène avec Seiya, je la comprends pas comme "Seiya vient d'atteindre un nouveau plafond", mais plutôt "Le cosmos de Seiya ne cesse d'augmenter, encore, et encore, et encore, et encore, sans plafond, sans limite". A l'infini quoi. Mais bref, détail.

- les bronze : pas gêné par leur présence, mais tout ça pour ça...

- le visuel, et en particulier ceux des trois god cloth finales. C'est moche. Alors que ça devrait être sublime pour mettre en appétit les collectionneurs.

Je continue à suivre malgré tout car c'est gratuit et que le vrai plaisir, c'est de lire vos réactions et de partager nos avis, mais je souhaite vivement que les ventes de dvd/blu ray de Soul of gold fassent un bide terrible, et j'espère encore plus que les collectionneurs, pour le principe, vont résister à ces nouvelles myth cloth, parce que le foutage de gueule est quand même total. Les anciens fans ne sont pas respectés par la production d'une série moche qui ne se donne même pas la peine d'être raccord avec le matériau d'origine ; et les collectionneurs, cible principal, sont considérés comme des pigeons sans intelligence  puisque même les quelques plans qui devraient être les moteurs d'achat de figurines ne sont pas soignés du tout.

06 juin 2015 à 14:27:56
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Re : Re : [Soul of Gold] Episode 5
Pour être clair je ne conteste pas que ce passage avec Aphro soit intéressant (c'était le seul truc sauvable de l'épisode en fait) c'est juste que chez moi la conception d'un combat c'est la confrontation de deux individus, donc à la base vu que Fafner ne fait rien, on est effectivement pas dans le combat mais dans l'exposition (basiquement ça sert à faire avancer l'intrigue via une information)

Donc non pour l'instant personne n'a eu de combat intéressant (ce qui, si Will, était bien le sujet dont moi je parlais à l'origine) [:petrus]

Après c'est sûr que le pauvre Milo s'est fait sortir de façon bien vilaine et bien commode.  [:aie]

(j'espère toujours un 13 épisodes pour avoir une belle fin rushée à mort, mais ça va être dur, j'ai l'impression qu'on a à peine commencé XD)
Non, le combat d'Aphro etait aussi interessant dans son déroulement, il ne se contente pas de ressortir les mêmême truc vu 100 fois. Aphro qui repère son adversaire en communiquant avec les plantes, c'est interessant et nouveau, l'utilisation des roses rouge pour clouer son adversaire au mur et lire en lui, c'est nouveau et interessant.
Je doute que le public s'attendait à un combat pareil pour aphro (on ne s'attendait même pas à avoir aphro se battant dans cet ep)

06 juin 2015 à 19:33:25
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Re : [Soul of Gold] Episode 6 Quelqu'un qui n'aurait jamais vu SoG, on pourrait lui faire croire que c'est potable en terme de dessins en lui résumant les épisodes comme ceci :





20 juin 2015 à 11:26:19
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Re : Les interviews des auteurs/scénaristes etc (MAJ: 2014/01/26 page 39) Traduction de l'interview de Jouji Furuta (series director de soul of gold) postée aujourd'hui sur Bandai Channel

http://www.saintseiyapedia.com/wiki/Interviews/Bandai_Channel_Jouji_Furuta

25 juin 2015 à 17:28:23
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Re : Poseidon's supreme and divine vector monumental art gallery Salut, je m'appelle Bob Dos-d'âne. Je suis aussi les Crazy Animals et notre chanson s'appelle: Hypnose! C'est parti, laissez-vous hypnotiser!



05 juillet 2015 à 09:08:33
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Re : [Soul of Gold] Episode 7 Loooooooooooooooooooooooooooooooooooooool ! C'est tout ce que je peux dire pour toi.
08 juillet 2015 à 17:42:14
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Re : Re : FanBD en couleurs: Saint Seiya - Eole Chapter. MAJs: tous les dimanche 8h00 La suite:
http://www.amilova.com/fr/BD-manga/16048/saint-seiya---eole-chapter/chapitre-6/page-10.html

Poséidon va surement se réveiller ... [:???]
Julian n'est qu'un humain au final. Alors qu'Eole est un dieu en pleine possession de ses moyens.

12 juillet 2015 à 13:59:50
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Re : FanBD en couleurs: Saint Seiya - Eole Chapter. MAJs: tous les dimanche 8h00 La suite:

http://www.amilova.com/fr/BD-manga/16048/saint-seiya---eole-chapter/chapitre-6/page-11.html

Bonne lecture!

19 juillet 2015 à 02:29:07
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