- J'ai ri quand Long aveugle tends sa main pour que Seiya l'attrape dans l'hélico [:lol]
- Comment Graad a fait pour changer de corpulence ? C'est pas vraiment expliquer faut assumer que ça doit être le cosmos qui l'a fait grossir.
- Il n'y a personne qui a checké et qui s'est dit qu'il y avait peut-être un problème d'échelle pour la taille de la texture au sol ? [:lol]
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- Episode plutôt ennuyeux et on peut regretter que Sienna soit la demoiselle en détresse et n'ait pas son moment de gloire en bottant le cul de filler man.
Nous voici dans la dernière ligne droite de cette S1. Apothéose ou abyme ? La réponse ci-dessous pour cet épisode.
Je ferai un véritable avis général sur la S1 dans le sujet dédié, si possible après avoir revu la saison en intégralité et sans coupure-commentaire live.
- " Bravo pour les SFX Saori ! ", semble dire Seiya. [:lol]
- Purée, j'ai l'impression qu'à chaque nouveau plan on s'enfonce dans la caricature de film de superhéros ou de vieux James Bond.
- Les Chevaliers de Carton se font latter comme prévu et on un jeu digne de leur niveau.
- Si les Bronzes ont du mal ici, ça présage mal la suite...
- Si la caméra pouvait arrêter de trembler pour rien...
- Hyoga qui lâche comme ça " cet idiot de Seiya " et ne se découvre que maintenant comme ami des autres ?!
- Shiryu qui a tout son temps pour expliquer sa situation avant chaque attaque, tandis que ses adversaires le regardent. Un thé avec ça ? :o
- Tatsumi dévoile ses origines nippono-suisses (il arrive pile à l'heure).
- Le recyclage des attaques se poursuit.
- Saori en proie au doute suite à son erreur de prédiction quant au sort de son grand-père.
Au passage, elle retrouve un peu de jeunesse dans la voix.
- L'hélico dans le ciel peint, ce n'est pas très alléchant.
- Un défaut historique de Saint Seiya : les crashs d'aéronefs sont aussi dangereux que des collisions d'auto-tamponneuses. Tout le monde se sort de la carcasse en miettes et en flammes sans une égratignure.
- C'est l'heure du duel contre le boss de niveau ! Il est plus gros pour bien qu'on remarque que c'est lui le chef. Même ses attques sont de plus grosses boules roses. [:tsss]
- Shuna n'a pas appris de sa dernière rencontre avec les nouveaux Chevaliers Noirs. Quelle obstination à vouloir faire des coups-du-lapin...
- Un peu de variété avec les attaques de Hyoga et Shiryu. Comme ce n'est pas Seiya, ni Shuna, ils termineront vite au tapis pour le restant de l'épisode.
Même Saori s'implique ! Enfin une bonne nouvelle.
- Un peu de psychologie dans ce monde de brut avec un mélange de " C'est mon choix " et " Confessions intimes". [:delarue2]
- Bien entendu, Seiya arrive lorsque le poing massif est à quelques centimètres de sa cible divine.
Seiya est toujours increvable, c'est bien lui ! Il résiste mieux qu'Athéna elle-même !
- Notons que les dégâts sont bien rendus une fois portés.
- Oh, le flash-back/recyclage inattendu de l'épisode 1 ! [:shinobu1]
- Le discours de Seiya est mal placé ici et sonne creux alors que c'était une force de la série et du manga des années 80.
- Saori gamine nous est étrangement montrée bien plus sympathique dans ce flash-back que lors du passage dans l'épisode 1, où elle est dominatrice.
Au passage, on ramène la sœur de Seiya dans l'intrigue et les motivations.
- La sortie des ailes de Pégase est assez bien amenée par contre. On a notre Seiya-7ème sens !
- Note : veiller à ne pas surcharger la batterie. [:lol]
- La fin du combat contre Grad est plus intéressante que le début. Dommage pour les camarades à Yaya. Les voilà qui reviennent juste quand c'est fini : " on était planqués derrière un rocher mais on a tout vu " ! Et quelle attitude suiveuse...
Seiya qui en profite pour passer en mode tactile avec Saori. Avec cette dernière en robe blanche et l'agenouillement, on s'attend à ce qu'il sorte une bague et fasse sa demande en mariage. [:love]
- Oh, une flèche d'or à la toute fin de l'épisode ! Sans cela on aurait pu arrêter toute la série ici sans qu'il ne semble manquer une suite.
C'était nécessaire le trou noir/portail de l'Emissaire subspatial (Super Smash Bros Brawl) ?
Conclusion : l'impression de caricature de film Marvel se confirme, avec tous les clichés cochés un à un. La réalisation aurait-elle été confiée à Michael Bay ? Tout explose. Ajoutons-y une touche Star Wars tiens, avec des ennemis qui ont le niveau d'un Stormtrooper (précision comprise), ainsi que de Metroid pour les boules d'énergie. Il y a tout de même quelques " coups spéciaux " pour apporter un peu de variété.
S'il y a de l'effet graphique, les armures et corps abîmés rendant très bien, le scénario est plus prévisible que s'il s'affichait dans la Coupe. Seiya est un sac à PV increvable (ça c'est le canon). Les autres Bronzes " principaux " sont des figurants de luxe. Les discours tombent à côté pour certains, alors qu'ils sont au cœur de l’œuvre. Niveau sentiments, seule la relation Seiya-Saori s'en sort ici. L'ambiance sonore reste sur sa lancée.
L'apparition des ailes de Pégase (7ème sens débloqué ?) et ce qui suit s'en sort un peu mieux.
On peut sentir que la fin était prévue pour être tronquée de quelques dizaines de secondes, afin d'en rester là niveau scénario, si la S2 avait été annulée.
L'intrigue Grad se termine en eau de boudin. Elle n'a finalement pas mené à grand-chose de révolutionnaire jusqu'ici : c'est une variante dérivée expresse de la progression initiale des héros dans le manganime. La véritable nouveauté reste la prophétie qui peut changer des motivations, donc des combats et discours, au Sanctuaire. Reste à voir si ses impacts se poursuivront et s'amélioreront dans l'arc Sanctuaire de la S2, ou bien si elle est jetée aux oubliettes au profit d'un marquage à la culotte du manganime.
On sent à la fin de cet épisode et dans quelques autres auparavant qu'il y a de quoi bien faire pour la suite prévisible au Sanctuaire avec un scénario plus développé et mieux amené, des rôles plus équilibrés, des animations de qualité et variées (notamment les attaques). Cela d'autant qu'on retombe sur une partie déjà bien défrichée par le film de 2015.
Pour le moment c'est encore un peu brouillon. Le 7ème sens est atteint mais non maîtrisé.
Note : 2,5/5, " nippon ni mauvais ", dans la continuité de l'épisode précédent.