La dynamique entre Obi-Wan et Leia fonctionne à merveille. Tellement qu'il s'emmêle lui-même les pinceaux. C'est vraiment le gros point fort de la série pour l'instant. Au passage, c'est chouette d'en apprendre davantage sur ses origines. Du moins c'est mon cas, vu que je me limite uniquement aux films et maintenant séries live.
On nous avait teasé un Dark Vador encore plus impitoyable que dans Rogue One, et force est de constater que c'est bien le cas, avec le retour vocal de James Earl Jones et le visage ravagé d'Anakin en prime
A une époque de bisounoursification de méchants emblématiques, ça fait bien plaisir de le voir en mode turboconnard tuant tout ou presque ce qui bouge et voulant faire subir à Obi-Wan ce qu'il a lui-même subi sur Mustafar. Je suis quand même un peu triste de voir une telle différence de puissance et un Obi-Wan aussi affaibli (plus mentalement que physiquement, certes), à voir si on le retrouvera en mode fullJedi pour un nouveau duel au sommet qui mettrait Vador plus à mal. N'en déplaise à beaucoup, je ne vois pas comment on pourrait y échapper, tout comme je ne vois pas comment on pourrait échapper à Qui-Gon en ghost. On parle beaucoup trop de lui pour qu'il n'apparaisse pas à un moment où à un autre pour botter le cul de son padawan.
Pas beaucoup de Reva dans cet épisode. Néanmoins, on sent toujours qu'elle cache son jeu et que sa quête de pouvoir cache un noble idéal. Un peu comme quand Anakin ne pensait qu'à sauver Padmé de la mort.