T'inquiète on est deux, je lis (plus) rien à part des mangasses. Mon dernier livre, c'est le roman de La revanche des Siths [:petrus]
Moi j'ai le Procès de Kafka qui traîne depuis des mois et que j'ai eu la flemme de lire dans le métro.
Tiens, ça me fait penser qu'il faut que je termine le Paradis de Dante (qui traîne depuis trois ans) et le Second Faust de Goethe (qui traîne depuis six mois). Je dois également lire l'Iliade que j'ai achetée récemment.
Caim tu m'as donné envie avec Alcibiade ,je vais aller le prendre dés que je peux.
Idem pour moi, je cherche toujours la seconde moitié de Faust.
Sinon, j'aimerais bien trouver le Faust de Marlowe. Je suis énormément fan de la légende de Faust et apparemment, la version de Marlowe semble tout aussi intéressante que celle de Goethe mais avec une fin plus "conforme" à la tradition.
Et Méphistophélès rules.
Alors lis le Cycle de Pendragon de Stephen Lawhead :o .
Post Unique : Je trouve rien de bien a lire XD
Lis du lovecraft :o, moi j'aime bien.
Bon, maintenant j'espère que ma commande du Faust de Marlowe est arrivée.
OV, tu ne nous a pas parlé de Baudelaire... tu avais pas un avatar de lui sur PNR? ^^
Ayé, j'ai fini le Paradis de Dante
Bon je pose la question ici aussi j'aurai plus de chances d'avoir des réponses [:petrus]Pas lu terremer, mais j'ai lu plusieurs livres du cycle d'Elric: c'est très sombre, désespéré (c'est peu de le dire), mais c'est absolument superbe: sans spoiler, c'est presque plus l'histoire de son épée maudite qui se nourrit de l'âme de ses victimes...
Je voudrais avoir des avis sur le cycle Elric de Moorcock et pour ceux qui lisent beaucoup de fantasy, qu'est-ce-que vous en pensez par rapport à d'autres grands cycles connus. Si vous ne deviez en conseiller qu'un, lequel serait-ce? (le Seigneur des Anneaux exclu [:aloy] pas par snobisme ms tt simplement parce que je l'ai lu [:petrus])
Dans l'immédiat je crois que je vais commencer Terremer...
Pas lu Elric (pas que je ne veux pas, mais pas eu l'occasion de m'y mettre encore), par contre, de tout ce que j'ai lu, je conseille:
Et maintenant je m'attaque à la Ferme aux Animaux de George Orwell.
Maintenant, en bon maso, je commence La Divine Comédie de Dante.
Pour une raison inconnue j'ai surtout été emballé par l'enfer... Sinon, ce n'est pas du masochisme, c'est une véritable mine d'or dans laquelle chaque phrase mériterait des années de recherches historiques et religieuses...Maintenant, en bon maso, je commence La Divine Comédie de Dante.
C'est du bon et (surtout) du lourd. A ne pas lire d'un coup sous peine de disgusting. [:aloy]
Pour une raison inconnue j'ai surtout été emballé par l'enfer...
Et maintenant je m'attaque à la Ferme aux Animaux de George Orwell.
Fini hier (en cours parce que c'était vraiment trop c*iant :o ).
(http://www.meow.fr/IMG/upload/Image/Books/FermeAnimaux.jpg)Spoiler (click to show/hide)
(source du résumé, éditions Folio)
Pas grand-chose à dire dessus. C'était une fable dysoptique très sympathique qui mettait en avant les dangers du totalitarisme, stalinien en l'occurrence. De fait, les différents symboles du régime (Staline, services de propagande, Lénine, stakhanovisme, etc.) étaient très facilement identifiables. Forcément les enseignements à en tirer étaient plutôt clairs, le ton de l'œuvre très bien choisi et puis c'est à peu près tout.
Lisez-le c'est le bien =) . Et en plus c'est super court :o .
, Pour Dante j'ai lue que le voyage dans les enfers j'ai peurs de ne pas avoir saisie toute les subtilité mais c'était sympa a lire :DL'enfer est de toute façon la partie la plus sympa pour presque tous le monde. Quant aux subtilités pour toutes les saisir il faudrait un niveau universitaire que je n'ai même pas: donc c'est on ne peut plus normal si certains trucs te sont passé au dessus de la tête: c'est le cas pour tout le monde sauf quelques spécialistes
Ah noter qu'il y a un DA qui est tiré du Livre pas mal foutu mais un peux dérangeant vu que le graphisme est très proche des films de Disney [:aie]
Editions Flammarion oui.
La traduction me semble fidèle et les notes sont très bien documentées ce qui ajoute une grosse plus-value culture G à cette œuvre.
Et... Finance internationale [:chiyo1] ?
Ah tout compte comme livre même finances internationale :D, donc en ce moment je lis de front à différents horaires:
1) les parties des animaux d'Aristote
2) le tractatus logico philosophicus de Wittgenstein
3) je regarde des nonos dans guide des vertébrés fossiles (surtout le côté méthodologie: tout ce qui permet l'élaboration d'une science à partir d'êtres dont nous n'avons aucune expérience directe mais uniquement des traces)
4) de la philosophie de Michel Gourinat
5)Wittgenstein par Pierre Hadot
5)t comme il faut bien se détendre: le 5eme siècle grec d'Edouard Will [:petrus jar]
Euh, je n'ai lu que les premiers chapitres mais il me semble qu'au premier, il est fait allusion à une de ses expériences qui est de frapper des cadavres pour voir s'ils peuvent avoir des hématomes. C'est de ça dont tu parles ?
Mince Harsiesis, tu viens de m'ôter toute envie de lire Terremer [:???]. Ca a l'air bien barbant, dommage. Au fait, tu vas regarder le film, du coup?
Ben figure toi que je serais assez curieux de voir ce que ça donne en DA. Il me semble avoir lu que Le Guin n'a pas trop aimé le film, mais j'avoue que ça attise encore plus ma curiosité... j'ai tendance à penser que trahison ou pas, ça ne peut être que moins ennuyeux :D
Sinon sur terremer, il y a aussi un téléfilm avec Isabella Rosselini, mais je ne l'ai pas vu non plus. C'est ptet très con, mais quand j'ai vu la jaquette du DVD ça m'a un peu refroidi [:aie]
rien que de voir Kristin Kreuk au castingça vous refroiditdurçit son homme. [:bave]
Ah tiens, je l'avais repéré ce bouquin, mais j'ai lu ici et là qu'il y a une très grosse tendance marysuesque dedans
Ah tiens, je l'avais repéré ce bouquin, mais j'ai lu ici et là qu'il y a une très grosse tendance marysuesque dedans
Est-ce qu'un personnage à tendance Marysuesque peut être blessé ? Est-ce qu'il "normal" que plein de ses potes meurent à cause de ses décisions ?
Non, je demande ça parce qu'en fait, je suis pas totalement familier du terme (à part qu'en principe, ça veut dire que le héros est le reflet de son auteur et qu'il très souvent uber perfect).
En l'occurrence, tu as plusieurs types de Mary Sue: ici, d'après les échos que j'ai eus, l'héroïne est "crocro" belle et sexy en diable. Déjà, bon... Ensuite dans les différents types:
- La mary sue qui éclipse tous les autres personnages, tellement qu'elle est belle, intelligente, maligne, elle comprend tout avant tout le monde, bref, science infuse powa.
- La mary sue qui sauve le monde avec ses petits bras musclés, à elle toute seule.
- La mary sue "qu'elle a eu une vie crocro triste", violée par son père, battue par sa mère, eu une relation incestueuse avec son frère, se voit déchirée entre plusieurs amours (parce que, bien évidemment, tout le monde tombe amoureux de la mary sue), c'est toujours à elle qu'arrivent les pires malheurs quoi qu'elle fasse, ça c'est de la mary sue dite "emo", que tout le monde plaint.
Donc dans certains cas, la mary sue est le reflet de l'auteur tel qu'il est, mais elle est aussi - souvent - le reflet de l'auteur tel qu'il voudrait être.
Plus sérieusement, le piège suesque est est grand ouvert, et tout le monde finit par tomber dedans un jour ou l'autre (je l'ai fait, je sais de quoi je cause). Après, il suffit souvent de quelques ajustements ultérieurs, pour gommer les pires aspects mary sue, et rééquilibrer l'histoire.
Mais dans tous les cas, faut pas se leurrer: un héros créé de toutes pièces, super canon, super gentil, que tout le monde aime et respecte, qui a zéro défaut, qui a une personnalité top moumoute ou à l'inverse, trop badass, trop fort, trop "c'est à moi que tu parles?!", que tout le monde craint et admire en même temps, c'est un gary stu (ou une mary sue, en mode féminin).
Je dis pas que c'est mal, hein... Tout dépend de la dextérité de l'auteur à le faire passer auprès des lecteurs sans le leur imposer.
- La mary sue "qu'elle a eu une vie crocro triste", violée par son père, battue par sa mère, eu une relation incestueuse avec son frère, se voit déchirée entre plusieurs amours (parce que, bien évidemment, tout le monde tombe amoureux de la mary sue), c'est toujours à elle qu'arrivent les pires malheurs quoi qu'elle fasse, ça c'est de la mary sue dite "emo", que tout le monde plaint.
Pas encore lu, mais j'avais adoré crimes et châtiments, l'idiot, le joueur, et les frères Karamazov. Je retiens le titre, ce sera le prochain de cet auteur [:jap]
L'étrange cas du Dr. Jekyll et de Mr. Hyde terminé.
Un livre très intéressant qui se termine en apothéose. Le long monologue (enfin, la confession) de Jekyll qui fait office de dernier chapitre est vraiment fantastique. Le thème de "l'autre moi" est superbement développé et l'introspection du personnage est fascinante.
Bref, c'est du bon ! :D
Tiens à ce propos, as-tu vu la série anglaise Jekyll? (série récente) j'en ai entendu dire du bien, et ça m'intéressait aussi (mais quand c'est passé récemment sur Arte je l'ai ratée [:pfff]) parce que S. Moffat était à la barre (c'est l'auteur de beaucoup de très bons épisodes de Doctor Who ^^)...
Perso j'avais adoréTiens à ce propos, as-tu vu la série anglaise Jekyll? (série récente) j'en ai entendu dire du bien, et ça m'intéressait aussi (mais quand c'est passé récemment sur Arte je l'ai ratée [:pfff]) parce que S. Moffat était à la barre (c'est l'auteur de beaucoup de très bons épisodes de Doctor Who ^^)...
Tu viens de m'apprendre son existence. Il va falloir que je me penche sur le cas. [:fufufu]
Je viens de terminer le dernier recueil de nouvelles de Sherlock Holmes. Ainsi s'achèvent des mois de lecture en compagnie du plus formidable des détectives et de son inséparable compagnon. Bref, Sherlock Holmes est vraiment une oeuvre excellente et j'ai pris un rare plaisir à déguster toutes ses aventures (enfin, certaines plus que d'autres :D).
Aux côtés des nombreuses lectures exigées par la reprise de mes études, j'ai re commencé la guerre des juifs de Flavius Josèphe (j'avais jadis emprunté ce livre en bibli, et je viens de l'acheter)., qui décrit la colonisation romaine de la Judée, et décrit par le détail la grande révolte qui aboutira à la destruction de Jérusalem, de son temple, et à l'exil des juifs. C'est en grande partie une chronique, avec un style vraiment vivant: on croitrait voir les colonnes de l'armée romaines, qui s'étendent sur des kilomètres avec ses soldats en rang par deux, on a l'impression d'assister aux luttes des factions encerclées qui en arrivent à oublier leurs adversaires romains. J'adore ce bouquin.
A finir de lire" Rien que l'Acier", premier tome de Terre de Héros de Richard Morgan.
Pour un premier essai en heroïc-fantasy (il était plutôt orienté SF, auteur d'ailleurs du très bon "Black Man"), on peut dire que le bonhomme tape assez dur et brûle les codes établis.
Je recommande chaudement Notes d'un souterrain, de Dostoievski.
Un régal de bout en bout, la souffrance d'un homme cloisonné et tourmenté, à l'esprit aussi profond que son auteur (d'ailleurs parle t-il d'une facette de l'auteur dans ce livre semi-autobiographique), mais c'est avant tout une critique brillante de toute une couche populaire russe. L'hypocrisie n'est qu'un mot à travers son récit, l'esclavage une pratique que l'on fait à soi-même, et le dîner - scène principale du livre - avec des amis qu'il déteste par-dessus tout (et c'est réciproque) est un moment inoubliable.
"Créature bipède et ingrate", je crois qu'il a donné une très bonne définition dans son livre ^^
PS : à noter que selon l'édition, on retrouve ce livre sous le titre : "Les carnets du sous-sol".
Prochaine lecture : le Paradis Perdu de John Milton. [:aloy]
Présentation de l'éditeur
" Tout commença en décembre 1966, qui marqua le début d'une série extraordinaire d'événements dans ma vie. J'étais en troisième année à l'université de Californie à Berkeley. Un jour à trois heures vingt du matin, dans une station-service ouverte toute la nuit, je rencontrai pour la première fois Socrate. (Il ne me dit pas son vrai nom, mais après avoir passé un moment avec lui cette nuit-là, je l'appelai d'instinct comme l'ancien sage grec ; le nom lui plut et lui resta.) Cette rencontre fortuite, ainsi que les aventures qui ont suivi, allaient changer ma vie. " L'homme que l'auteur appelle Socrate a réellement existé. Agé de presque cent ans, Socrate révèle une formidable jeunesse d'esprit et un humour décapant. A son contact, Dan, un sportif de haut niveau en mal de vivre, voit ses croyances complètement bouleversées. Guidé par le vieux sorcier excentrique, Dan triomphe peu à peu de ses peurs et de ses illusions pour vivre comme un amoureux et un guerrier... pacifique
Sinon en ce moment je lis l'Ombre du Vent, qui était sorti il y a un ou deux ans je crois et qui apparemment a eu pas mal de succès. C'est une sorte d'enquête sur l'auteur d'un livre trouvé par un barcelonais après la guerre... pour l'instant je trouve que ça se lit bien et est assez vivant
Yep, merci du conseil [:jap]. Donc, si je pige bien, pas mal de romans d'Asimov sont liés au cycle de Fondation [:fufufu]. D'ailleurs, y aurait pas baleine sous gravillon avec une histoire qui se serait déroulé sur Terre, dans un autre roman, vu le nom du dernier tome? Et, surtout, le fait qu'un archéologue en parle dans le premier comme du monde mystérieux d'où aurait commencé la conquête spatiale.Bien vu.
C'est une porte ouverte parfaire pour une préquelle, ça.
Yep, merci du conseil [:jap]. Donc, si je pige bien, pas mal de romans d'Asimov sont liés au cycle de Fondation [:fufufu]. D'ailleurs, y aurait pas baleine sous gravillon avec une histoire qui se serait déroulé sur Terre, dans un autre roman, vu le nom du dernier tome? Et, surtout, le fait qu'un archéologue en parle dans le premier comme du monde mystérieux d'où aurait commencé la conquête spatiale.Bien vu.
C'est une porte ouverte parfaire pour une préquelle, ça.
Il y a en fait une réunion des cycles, celui des robots et celui de fondation par le biais des deux romans que je t'ai conseillé et le dernier volume de fondation, mais je ne t'en dis pas plus. [:jap]
Plutôt d'accord avec toi Harsi sur le final de fondation. Sinon le dernier grand cycle que j'ai lu était le cycle de la culture de Iain T Banks que j'ai adoré, tu connais?
Fondation, j'étais tombé dessus par hasard en me baladant dans les rayons de la Fnac. Je ne sais pas pourquoi ça a attiré mon regard, n'étant pas fan de SF, Asimov ne devrait pas m'intéresser. Toujours est-il que j'ai lu le texte du quatrième de couverture et ça m'a donné envie de l'acheter. Bien content de savoir que j'ai fait un bon achat. Ne reste plus qu'à le lire.
Ce commentaire fait référence à cette édition : World War Z: An Oral History of the Zombie War (Broché)
Max Brooks, fils de Mel, n'est pas un béotien quand le sujet à traiter est celui du fameux mort-vivant, le zombie. Déjà coupable d'un premier bouquin sur la survie après une infestation de mort-vivants (The Zombie Survival Guide: Complete Protection from the Living Dead), étrange parodie de guide de survie qui étonne par sa complétude et son sérieux, Max prolonge son oeuvre horrifique avec ce rapport sur la guerre mondiale Z.
Construit comme un rapport factuel commandé par l'UNPCR (la Commission d'Enquête d'Après-guerre des Nations Unies), le livre est une collection de témoignages sous la forme d'interview de personnages ayant participé de près ou de loin aux moments clés de la guerre mondiale Z. Il n'y a donc pas à proprement parler d'intrigue. L'Histoire avec un grand H se déroule lentement, chronologiquement, à travers les yeux de ces quelques survivants. L'approche est résolument réaliste, l'auteur s'attachant à traiter les aspects sociaux, économiques, militaires et politiques d'une menace à l'échelle planétaire différente de tout ce que l'Humanité ait jamais connu. Les zombies ne sont finalement qu'un prétexte pour mieux imaginer comment le monde réagirait après une telle gueule de bois.
Cela peut paraître aride au premier abord, c'est pourtant passionnant. Chaque histoire se dévore et les personnages sont attachants. Max égratigne au passage quelques travers de son Amérique natale, comme l'armée, le gouvernement ou la toute puissance des médias (il s'est d'ailleurs fait traiter de gauchiste pour ça.) Fort heureusement, le reste du monde n'est pas en reste et l'auteur s'est attaché à étudier autant que possible toutes les implications au niveau mondiale, du niveau micro au niveau macro.
En conclusion, je recommande chaudement ce divertissement intelligent.
Citation de: HarsiesisSinon en ce moment je lis l'Ombre du Vent, qui était sorti il y a un ou deux ans je crois et qui apparemment a eu pas mal de succès. C'est une sorte d'enquête sur l'auteur d'un livre trouvé par un barcelonais après la guerre... pour l'instant je trouve que ça se lit bien et est assez vivant
Lu il y a 3/4 ans, c'est de Zafòn. J'avais beaucoup aimé, à noter que c'est très représentatif de la littérature espagnole, dans le ton, dans l'atmosphère, dans l'attention portée aux personnages secondaires. Un très joli roman.
(Chrysos ne lit pas ce spoil ^^)Spoiler (click to show/hide)
Dites-donc, les prix goncourt et renaudot de cette année, je ne sais pas ce qu'ils valent sur le plan littéraire, mais alors l'un comme l'autre, quand je les entend à la radio, j'ai comme des envies d'autodafé.
pour le goncourt il suffit de lire wikipedia [:petrus]
Next target: le cycle d'Elric je pense...
CiterNext target: le cycle d'Elric je pense...
Lu le premier tome et j'ai tout à fait détesté :o
CiterNext target: le cycle d'Elric je pense...
Lu le premier tome et j'ai tout à fait détesté :o
Ca serait bien que tu nous en dises un peu plus histoire que des gens qui comme moi ne l'ont pas lu puissent se faire une meilleure idée :) quelles choses en particulier n'as-tu pas aimé?
Merci pour le topo du bouquin harsi'.
Ta signature m'intriguait depuis quelques temps et je pense au final que je vais me laisser tenter.
Oriente-toi vers le TdF [:dawa] .
Le truc qui m'a toujours fasciné avec Elric c'est qu'il est sensé être doté d'une, je cite " ironie fracassante", et, euh... oui, si on veut, on va dire que j'ai pas lu les bons volumes...Tout pareil. Mais très clairement, je pense que c'est dû au style. Tu compares à Kuru... c'est complètement ça. Elric fait "pfft" et ça fait rire. De pitié.
John Howe disait que les livres de Conan c'est un peu comme un mauvais ouvrage historique : même si le livre n'a pas d'intérêt vous sentez bien que le sujet est passionnant [:lol] Un peu comme ELric d'ailleurs : la toile de fond est chouette, mais ce qui se passe dedans est bôf.
Dans un genre largement plus light et commercial, j'avais bien aimé en son temps la Trilogie de L'elfe Noir (Drizzt, quoi) de Salvatore. Mais qu'en serait-il si le le relisais aujourd'hui ? ^^U
Sinon, je prends bonne note de Les royaumes d'épines et d'os, Greg Keyes. Là, je termine "carbone modifié" de Morgan (thriller futuriste), et je m'y mets^^
Prochaine lecture : Le Parfum de Patrick Süskind, en français malheureusement, mon allemand est beaucoup trop rouillé pour le lire en v.o :'(
Je lis Rage , dont une adaptation par Guillermo Del Toro est envisagé :D
Je lis Rage , dont une adaptation par Guillermo Del Toro est envisagé :D
Atta, Rage de Stephen King ?
Je l'avais lu par curiosité, parce que j'avais jamais lu de Stephen King et qu'on en faisait des tonnes à propos de lui... et bah, j'ai trouvé que y'avait pas de quoi se relever la nuit. Déjà, le bouquin n'a rien de flippant (pour un roi de l'horreur soit-disant, ça la fout mal ! XD) et ensuite, j'ai trouvé qu'il avait un style complètement bateau. Il est même assez grossier en fait et ça, je ne suis vraiment pas fan...
Je lis Rage , dont une adaptation par Guillermo Del Toro est envisagé :D
Atta, Rage de Stephen King ?
Je l'avais lu par curiosité, parce que j'avais jamais lu de Stephen King et qu'on en faisait des tonnes à propos de lui... et bah, j'ai trouvé que y'avait pas de quoi se relever la nuit. Déjà, le bouquin n'a rien de flippant (pour un roi de l'horreur soit-disant, ça la fout mal ! XD) et ensuite, j'ai trouvé qu'il avait un style complètement bateau. Il est même assez grossier en fait et ça, je ne suis vraiment pas fan...
Pas tout lu: le style est extraordinaire, c'est un must en psychologie et en finesse, MAIS, n le lire que si on est dans les dispositions requises pour goûter à tous ces riens qui froment cette œuvre, sinon ne peut dépasser la page 3
Quels romans à me conseiller de cet auteur par exemple [:dawa] ?
Encore une excellente nouvelle.
http://www.lagardedenuit.com/blog/2011/02/le-trone-de-fer-en-bd (http://www.lagardedenuit.com/blog/2011/02/le-trone-de-fer-en-bd)
Entre ça, la série à venir au printemps prochain et le tome 5 (dont la sortie coïncidera à mon avis avec la diffusion de la série HBO), ça va vraiment être une année faste pour la licence.
Sansa a sans doute aussi du potentiel vu la fin du tome, mais je n'en dirai pas plus.
Oui, elle peut potentiellement devenir le personnage le plus haïssable de la série, et haut la main encore!
Euh... Franchement, trop pas je trouve.
Tout dépend où tu en es en fait.
Sansa a sans doute aussi du potentiel vu la fin du tome, mais je n'en dirai pas plus.
Je disais ça parce que c'est un perso présenté comme idéaliste qui d'un coup se casse la gu..le, donc sans doute intéressant pour la suite. Mais sinon je ne vois pas trop ce qu'elle a de haïssable, même si elle fait un peu enfant gâté.
Etrangement, beaucoup adorent Aria, en ce qui me concerne, elle me laisse relativement indifférente. Disons que j'admire sa façon d'appréhender les choses, son courage et sa façon de se tirer des situations les plus critiques. Mais je n'accroche pas plus que ça.
Jean Sola (le traducteur des quatre premiers tomes et qui, à mon très grand regret, n'œuvrera pas sur le cinquième (http://forum.saintseiyapedia.com/Smileys/custom/rolleyes.gif) )
Lu dix petits nègres. J'aimerais que les amateurs de Dexter me disent si ils ont lu ce roman, si il s ne voient pas eux aussi quelques ressemblances...Je l'ai lu mais il y a plus de dix ans. J'avais adoré mais je me souviens toujours de la fin. J'espère un jour réussir à l'oublier pour me redécouvrir cette oeuvre.
Mais surtout le côté administratif du monde des immortels explique pas mal d'où vient le comportement d'Enma
Seul son univers est intéressant: j'avais lu pas mal de nouvelles étant jeune pour jouer à "l'appel de Chtulu" qui était le jeux de rôle préféré de pas mal de mes camarades, mais j'ai toujours trouvé ses textes assez franchement mal écrits, attendus, bref, sans grand intérêt. Bon bref: mauvais.
Dernièrement j'ai lu American Gods de Neil Gaiman.
Il a beau avoir eu le prix Hugo j'ai pas tellement accroché. Le pitch était pourtant prometteur: les anciens dieux sont plus ou moins perdus et sans repère aux Etats-Unis et se préparent à une confrontation avec les nouvelles idoles de l'Amérique commandée par un certain M. Monde.
Malheureusement ça part trop vite dans tous les sens et le quotidien des protagonistes n'est pas follement passionnant. Pourtant la fin est assez réussie, on sent que malgré tout il a plutôt bien mené sa barque, mais bon... l'impression de décousu reste un peu.
@ Chrysos
Pour le « Forgettable God » de Las Vegas, c’est normal que tu ne trouves rien de concret dans la mesure où Geiman a toujours refusé de révéler l’identité de cette divinité. D’après ce que j’ai pu lire dans une de ses interviews, ça fait partie de ces idées qu’il garde au chaud au cas où il souhaiterait les utiliser pour d’autres projets. Remarque, ça n’a pas empêché les fans de spéculer, l’une des théories les plus courantes étant Hades (personnellement, je suis pas vraiment convaincue).
D’après mes souvenirs, Hadès collerait assez bien à la description physique (costume sombre et cheveux noirs), pourrait éventuellement être à la recherche de Perséphone (qui n’étant après tout qu’une divinité secondaire aurait put disparaitre), est associé à l’oubli par l’intermédiaire du fleuve Léthé, a toujours été plein aux aces et n’était jamais nommé directement. On sait aussi qu’un de ses Juges semble avoir un faible pour le whiskey. Blagues à part, ça se tient. Par contre, il serait alors le seul représentant du panthéon grecque ou romain (si on part sur Pluton) dans le bouquin ce qui est tout de même un peu étrange. Pourquoi lui et pas ses frères ? Mais ce qui me fait tiquer, c’est sa fascination pour le mouvement de l’argent. C’est pas tant le fric qui l’attire mais la façon et la vitesse à laquelle il change de main. J’arrive pas à réconcilier ça avec Hadès.
L’idée d’un des fondateur de Las Végas est intéressante mais la ville en elle même date du début du 20ème siècle. Comment alors pourrait-il être à la recherche d’une femme (ou une divinité) qui n’a pas été vue depuis 200 ans ?
Pour ma part, j’ai toujours pensé que le but du personnage, c’était justement d’être insaisissable et que si un véritable Dieu Oublié existe, il serait illogique de pouvoir l’identifier avec certitude.
L'île au trésor. Bon petit classique qui se laisse lire facilement. Les personnages auraient gagné à avoir un peu plus de background, mais sinon c'est plaisant. Et puis quelle classe ce Long John Silver! De quoi donner envie de revisionner le vieux DA des années 80.
Il y a le roman Long John Silver de Bjorn Larsson qui est assez sympa si tu as aimé le personnage.
Récit à la première personne, permet de mieux connaître Long John, qui est quand même un sacré mec. C'est plus ou moins raconté en tranches de sa vie.
L'île au trésor. Bon petit classique qui se laisse lire facilement. Les personnages auraient gagné à avoir un peu plus de background, mais sinon c'est plaisant. Et puis quelle classe ce Long John Silver! De quoi donner envie de revisionner le vieux DA des années 80.
Harsi': Et De bons présages, t'en as pensé quoi?
Je te conseillerai de terminer par le roman de Wilde, histoire de garder le meilleur pour la fin =) .
(bonjour les pavés [:sweat])Roh, les deux se lisent facilement ;) (préférence pour Verne d'ailleurs, mais bon je préfère Coppola à Stoker...)
C'est bizarre, mais je garde un mauvais souvenir de Leroux, très bonne histoire, mais style très daté qui a mal vieilli, et qui m'a été très pénible de lire. Wells, c'est excellent par contre.
Roh, les deux se lisent facilement ;) (préférence pour Verne d'ailleurs, mais bon je préfère Coppola à Stocker...)
Tom Sawyer, c'est excellent (même si je me suis toujours demandée ce qu'il foutait chez les Gentlemen Extraordinaires), ça se lit avec plaisir.
Dis donc, tu découvres plein de classiques, c'est bien ! :)
Je plussoie pour les Trois Mousquetaires: c'est juste énorme, je l'ai relu des tas et des tas de fois, et Athos est mon personnage préféré. D'ailleurs, j'ai le souvenir d'avoir "shippé" Athos et Aramis dans ma petite tête de fangirl, et pas qu'une fois.... [:fufufu] Non, sérieux, ça me donne envie de le relire, tiens!
Le vicomte de Bragelonne, c'est le fils d'Athos, nan? Avec un père pareil, il arrive à être aussi pénible?Oui c'est le fils d'Athos et de
@OV : Déjà au tome deux :o
Pour les jeux ça va attendre un peu, passé le 22 novembre ça sera légèrement mieux.
Mais non, ce n'est pas du masochisme (ou alors juste un petit peu [:aie] ). Le vrai masochisme, ça aurait été de finir le dernier bouquin que je lisais avant Twilight, à savoir Plate-forme de Houellebecq.
Entre l'univers rose bonbon, mais amusant, de Twilight, et celui du tourisme sexuel cru, cynique et bien trop réalise de Plate-forme, y a pas photo.
Globalement, ça se lit bien en dépit des quantités de pages qui ne servent à rien, si ce n'est à placer des anecdotes sur la vie fluvial de l'époque.
M'enfin, ça change rien pour le troisième tome, qu'est tout pourri!!!
Je retiendrai tout de même le combat final Kantz/Reinecker, on sent vraiment que ça se fait à l'arraché.
le tome 2 du Trône de Fer
J'ai fait l'acquisition de "Rien que l'acier"
chopé un Lovecraft
et un Barjavel
"L'île"
De Huxley ?De Robert Merle :D
Ah, tu me diras ce que tu en penses, Lindir.C´est aussi mon ressenti. C´est bien mais il manque un truc. J´ai donc arrêté au quart du livre.
Je l'ai lu il y a près d'un an et demi et, j'avais bien aimé, sans pour autant être transcendé par le récit.
Ça se laisse lire, en somme, mais il manque quelque chose pour que ce soit une grande œuvre.
Les Piliers de la Terre sont sur ma (interminable) liste... pas la peine de se jeter dessus ?
Tout dépend de tes attentes. Si on t'as vendu ça comme un chef-d’œuvre, alors tu peux patienter, tu risques d'être déçue.Yeah merci des conseils ^_^
Après, comme ça a déjà été dit, ça se laisse lire, ce dont certains best-sellers ne peuvent se prévaloir — comme le Dan Vinci Code.
Mais dans le genre fiction moyenâgeuse, il y a mieux, bien mieux : l'incontournable Trône de fer, ou alors le Livre de Cendres qui, malgré ses défauts, promet de bons moments.
Je n'ai jamais compris non plus pourquoi c'était classé junior, c'est sombre, et ça y va fort dans la symbolique. ^^
Mais la Croisée des Mondes, whaou, quelle belle trilogie. :)Le genre qui me donne envie de me jeter contre les murs en m'arrachant hystériquement les cheveux "Pourkwaaaaaaa je n'ai jamais pensé à écrire Iorek et les daemons, mwaaaaaaaa"
ou alors le Livre de Cendres qui, malgré ses défauts, promet de bons moments.
Tiens au fait, tu en es où? Tu as terminé? Il ne me semble pas avoir vu passer ton avis, ou alors je l'ai loupé, c'est fort possible^^
Je suis bien contente que le Livre de Cendres t'ait plu [:jap] Je suis d'accord avec toi avec ce sentiment parfois un peu fouillis sur certains passages (à tel point qu'il m'est arrivée de parfois décrocher), faut suivre. Après, le détail que tu cites concernant la taille de Fernando et Rickard, je t'avoue que je suis complètement passée à côté :D Je dirais que l'ampleur de la saga est à ce point impressionnante que quelque part, je conçois que l'auteur ait pu se tirer une balle dans le pied à plusieurs reprises, même si clairement, ça ne devrait pas arriver. D'accord également avec le côté assez caricatural de l'équipe de Cendres.Spoiler (click to show/hide)
En tout, je partage entièrement ton analyse sur l'oeuvre et je trouve que tu la décris fort bien dans ses points faibles et ses points forts.
Par contre je n'ai jamais compris pourquoi c'est classé junior... y'a des éditeurs qu'ils feraient mieux de lire ce qu'ils éditent ::)
Maintenant, je m'attaque au Meilleur des mondes d'Huxley. [:aloy]
"Les rois du jeu vidéo" pour ma part. Un livre qui raconte l'histoire (vraie) de deux jeunes passionnés de jeux vidéos qiu montent leur propre boîte. Véritable pavé x)
Tome 5 d'Atalante (OV, si tu suis toujours la série...).
Une petite déclaration de George Martin.Voilà une nouvelle fort intéressante [:lol]
En cours de lecture : "Courir à trente ans" de Nicolas Rey.Ca c'est lu très vite, très bien.
Les histoires croisées de plusieurs trentenaires aux vies diffèrentes (enfants, tromperies, lassitude...).
Mes impressions sur ces tranches de vie très bientôt.
Je mets tout en spoil parce que bon... ça spoile dur quand même :pJ’étais sûr que la dernière partie allait te faire changer d’avis^^Spoiler (click to show/hide)
J'ai relu le SIlmarillion de qui vous savez
.... Je tiens à préciser que si je l'ai lu c'est à cause de Chrysos XD D'ailleurs, je l'ai acheté sur le chemin de retour de l'IRL!
J'ai relu le SIlmarillion
Si t'as une version française c'est forcément des erreurs de trad. [:kred]
Je viens d'acheter le seigneur des Anneaux en intégrale après avoir fini de lire le tome 4 de GoT (dont la suite est, pour ma part introuvable et ceci, dans quelques formats que se soit [:petrus])
Game of throne "le bûcher d'un roi" acheter, enfiiiiiiiiiin. [:onion tears] [:onion shy] [:onion no] [:onion love]
Bon va falloir recoller les wagons par contre sa fait un moment que j'ai fini le dernier tome. [:fufufu]
si non en ce moment je suis sur PHARAON de david gibbins.Qu'est-ce que tu en penses ?
Haruki Murakami.Quelques personnes ayant lu le triptyque 1Q84 m'ont dit que ces autres œuvres étaient moins intéressantes. As-tu comparé ou comptes-tu le lire après ?
Je lis des livres de psychologie pour mon travail de diplôme, mais une fois que ce sera terminé, je compte commencé La mythologie d'Edith Hamilton, même si aux premiers abords, il me rebute quelque peu de ne pas mentionner le conflit Poséidon/Athéna dans sa présentation des dieux. J'espère qu'une fois la mise en bouche achevée, il se révélera complet.Tiens je l'ai, il est bon à lire.. mais dans le désordre, tellement il est fouillis ^^
pour la 3ème fois.T'as été puni ? :D
Tout semble paisible à B Movie Hell, 3672 habitants. Jusqu’au jour où un tueur mystérieux portant un masque en forme de crâne, surmonté d’une crête iroquoise rouge, se mette à assassiner tranquillement certains des habitants de la ville. Le FBI confie l’affaire à un couple d’enquêteurs, Milena Fonseca et Jack Munson, surnommé le Fantôme, spécialiste des opérations clandestines. Bientôt de mystérieux liens apparaissent entre cette terrifiante série de meurtres et un projet top secret du Département d’Etat, l’opération Blackwash. Alors que la paranoïa s’empare de la ville, la collaboration entre le FBI et les autorités locales s’annonce difficile. Les habitants de B Movie Hell, bien décidés à garder leurs nombreux secrets, entendent en effet résoudre seuls et sans aide extérieure cette histoire aussi terrifiante qu’enigmatique.
Après sa tétralogie consacrée au Bourbon Kid, Anonyme nous offre un slasher jubilatoire en forme de clin d’oeil aux films de série B. Est-il possible d’y résister ?
Les musées sont devenus en une génération l'une des institutions culturelles les mieux considérées et les plus fréquentées à travers le monde. La préoccupation des publics. désormais centrale, illustre une politique de développement culturel, tandis que la multiplication des collections nourrit une redéfinition des patrimoines. L'organisation des établissements, davantage professionnelle, répond à des exigences politiques et sociales. mais aussi à des contraintes éthiques et communicationnelles inédites ; en particulier. les impératifs de la médiation et de l'exposition entraînent l'apparition de nouveaux métiers. L'analyse de l'institution s'inscrit au croisement de l'anthropologie de la culture. de la sociologie du travail ou des organisations, et de l'histoire des objets.L'auteur est un vrai sadique en cours/examens mais le bougre maîtrise super bien ce sujet :o
T'as été puni ? :D
Hérétique :oOh, si peu :o
et peuvent être suivis par 30 pages de descriptions sans absolument aucun intérêt. Ah ça, le type n'était pas à court de vocabulaire pour décrire les arbres ou le ciel ou les rochers là dans le fond... [:fufufu]Un peu comme Balzac et Zola. De vrais reporters pour t'immerger dans une taverne ou un salon (le Père Goriot m'a traumatisé en matière de descriptifs sans fin) mais bon, faut s'accrocher des fois pour pas fermer le bouquin.
Best-seller au Japon, cet essai a le grand mérite de penser - et non de juger - le phénomène Otaku. Les Otakus, ce sont ces jeunes fans de manga, de jeux vidéos ou de dessins animés, ne vivant qu'entre eux et que pour ces produits culturels dont ils ne cessent de créer et de consommer des dérivés: figurines, fanzines, romans tirés d'un dessin animé, dessins animés tirés d'une figurine, etc. Le phénomène, en perpétuelle croissance depuis les années 1980, représente aujourd'hui un marché colossal, et s'étend à l'étranger via le succès mondial du manga. Pourtant, ces adolescents en rupture ont toujours été considérés comme des autistes et personne, jusqu'à Hiroki Azuma, n'avait osé étudier sérieusement leurs oeuvres phares et leurs façons de les consommer. Son ouvrage révèle la troublante adéquation entre culture Otaku et postmodernité. Perte des repères, fin des grands récits, brouillage de la frontière entre auteur et consommateur, entre l'original et sa copie : la culture Otaku est la première culture postmoderne. La réduire au Japon serait donc une erreur, car elle a déjà commencé à séduire les jeunesses du mondeJe pense que ce sera plus introspectif que l'essai de Barral et celui de l'italienne (oublié son nom [:pfff]). En revanche, pourquoi définir un otaku comme un jeune, dès l'intant où l'on pointe la naissance du phénomène (1980s) ? J'espère que ça ne va pas s'étendre sur ce point car c'est clairement faux :o
Au Japon et en Occident actuellement, les mangas de la catégorie shôjo - qui signifie jeune fille, adolescente, jeune femme - sont très populaires. Généralement créés par des femmes, ils sont lus par des jeunes filles ou des jeunes femmes. Alors que les mangas pour garçons sont centrés sur l'action, les shôjo mettent l'accent sur les relations entre les personnages, parmi lesquels évoluent de nombreux androgynes. Ces mangas constituent un support et un espace de projections privilégiées pour les adolescentes ; ils traitent essentiellement de la vie affective et sexuelle : trouble du sentiment amoureux, questionnements et fantasmes autour de l'identité sexuée ou de l'interdit sexuel...
Par son approche des mangas pour jeunes filles, Joëlle Nouhet-Roseman livre ici une étude originale sur la féminité et sa fantasmatique à l'adolescence. Elle cherche à saisir la vérité du moment adolescent, là où se rencontrent le génital pubertaire et les ambiguïtés de la bisexualité psychique. Dans une perspective anthropologique et psychanalytique de la modernité, de l'évolution des représentations collectives du sexuel, elle montre comment les adolescentes se construisent progressivement, en explorant ce qu'il en est du masculin et du féminin, et rend sensible leur créativité.
Joëlle Nouhet-Roseman est psychologue clinicienne, psychanalyste, docteur en psychopathologie et psychanalyse, chargée de cours à l'université Paris 7-Denis Diderot.
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Extrait de la préface de François Richard
Joëlle Nouhet-Roseman explore avec audace et humour, à partir de l'exemple des mangas pour jeunes filles, les questions complexes des ambiguïtés sexuelles dans le monde contemporain. La psychanalyse permet d'y voir l'incidence de la sexualité infantile «perverse polymorphe» (Freud), mais le caractère de plus en plus baroque des bandes dessinées japonaises d'après-guerre puis d'aujourd'hui, imprégnant des comportements sociaux - par exemple ceux de ces jeunes hommes se féminisant délibérément tout en se revendiquant hétérosexuels -, pose de véritables questions sur les oppositions trop tranchées entre masculin et féminin. Ce livre constitue une avancée originale au sein du vaste champ des recherches anthropologiques sur les genres sexuels et sur la construction de la féminité.
La tradition japonaise a toujours lié l'érotisme et la mort. Dans de nombreux mangas, le caractère provocateur très sexualisé se mélange à des thèmes ludiques, et parfois tout à fait monstrueux. Un style particulier émerge ainsi, marqué du sceau de l'adolescence, entre jeu, plaisir, terreur et fantasme ; mais ici la dimension adolescente emblématise paradoxalement le triomphe de l'infantile sous le masque du déguisement ou du travestissement, et grâce au recours à une forme culturelle socialement reconnue.
La fiction (mangas, bandes dessinées, jeux vidéo et séries télévisées) donne accès à l'«inquiétante étrangeté» (Freud) induite par les éprouvés sexuels de type infantile dans ce moment singulier où le pubertaire s'en empare pour nourrir une possible sexualité féminine adulte. En lisant Joëlle Nouhet-Roseman, on comprend que l'adolescent, mais aussi la femme, se construit en partie par un jeu avec l'apparence portant les couleurs de la bisexualité psychique. L'esthétique de l'ambiguïté présidant aux cosplays, concours de déguisements où les participants prennent l'apparence des héros de mangas, exprime le retour du sexuel infantile sur la scène publique, dans un contexte culturel et social favorable à la multiplicité et au polymorphisme des identités. Ce qui ne va pas toujours sans angoisse ; ainsi la lolita aux allures de petite poupée très érotisée laisse apparaître le morcellement du corps, la perte menaçante d'un oeil ou des seins par exemple (Cinderalla) ; ainsi encore des adolescents se déforment en un tourbillon où l'image se troue (Spirale) et laisse surgir des figures archaïques (La femme défigurée).
Les adolescentes contemporaines ici dépeintes sont admirables parce qu'elles inventent et créent un mode d'accès original à la complexité des pulsions, par le truchement de l'image, du vêtement, mais aussi d'un travail sur le langage. Les mangas font la part belle aux onomatopées, dans une coexistence subtile de la tradition et de la pop culture la plus kitsch, au service de ce qu'il faut considérer comme un plaisir à l'état pur, celui de l'auto-érotisme de la psyché dans ses processus d'appropriation subjective (d'introjection) du sexuel, qui sont aussi des processus de pensée (les «théories sexuelles» dont parle Freud).
Alors en ce moment :
- Jurassic Park de Michael Crichton
Tu risques d'avoir quelques surprises si t'as vu le film (il y a des groooooosses différences, et puis des passages qui correspondent aux autres films en fait). :D
Sinon, j'ai terminé La révolution des fourmis de monsieur Weber.
Grosse déception pour ma part. J'adore les fourmis, j'attendais pas mal de choses de l'histoire et au final, j'ai trouvé ça long, ch*ant, interminable.
- La Horde du Contrevent d'Alain DamasioAh, mon livre préféré sur les 10 dernières années ! [:bave]
l'effet de surprise du premier tome tourne très vite au réchauffé.Comme il doit faire une surprise dans tous ces bouquins - on le devine vite - ça ne le devient plus. Seule la poésie de la chute peut sauver, c'est ce qui s'est passé dans le "Papillon des étoiles" pour moi le meilleur. A contrario, la chute et la surprise de "Le Père de nos pères" était si [:facepalm] - ce qui précédait était intéressant ; notamment les deux histoires en parallèle - qu'elle m'a fait décrocher du bouquin, je l'ai refermé sans finir. La suite "L'ultime secret" s'en sort mieux.
Comme il doit faire une surprise dans tous ces bouquins - on le devine vite - ça ne le devient plus.
Je me lève et je confirme: je l'ai lu il y a de nombreuses années maintenant mais je me rappelle très bien avoir été très déçue, notamment au regard du 1er (et du 2ème dans une moindre mesure déjà) qui m'avait enthousiasmée. C'est effectivement très long, ça tourne en rond et l'effet de surprise du premier tome tourne très vite au réchauffé. D'ailleurs, globalement, c'est représentatif de la production globale de Weber. Il a de très bonnes idées mais son gros défaut est de ne pas savoir quand s'arrêter et passer à autre chose. Une foi qu'il tire sur un fil, il déroule toute la pelote et c'est juste pénible (surtout que stylistiquement, bon.... voilà, quoi :o ).
Même dans Amour gloire et beauté, ils n'en voudraient pas.Personne ne peut égaler Ridge et Brooke [:lol]
ce qui m'agace le plus, c'est que ces héros sont tous nuls [:tsss]. Et les méchants sont à peine mieux.Le véritable héros de Werber c'est Werber : les personnages ne sont là que pour servir les idées de l'auteur, pour que son imagination puisse s'épanouir. Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg ne sont pas plus charismatiques.
Je plussoie Alaiya, Werber faut en lire un bouquin, grand max. Sinon ça nuit à la santé.Le recueil "l'Arbre des possibles" donne une assez bonne idée de ce qu'il est capable de faire.
Certes, mais justement: pourquoi tirer sur la corde? Le premier tome des Fourmis a ceci de génial que c'était nouveau et tout à fait addictif. Il aurait dû s'arrêter là.Heureusement qu'il n'y a pas de suite au papillon des étoiles... quand on s'imagine les "après" possibles alors oui il serait probablement tombé dans cet écueil. Avec toutes les interviews qu'il a donné la raison du tirage de corde a dû être évoqué quelque part. Peut-être a-t-il voulu profiter de son succès, surfer dessus quitte à en faire trop et là on tombe sur un grand classique que l'on retrouve un peu partout dès qu'on parle de commerce et de notoriété. C'est un peu comme Serge le Lama [:petrus]
et là patatras, je tombe sur un "voire même" en fin du chapitre 1!A l'époque ce n'était pas encore une bêtise, ils avaient le droit
C'est de la SF contemplative très longue et parfois très lente dans la progression de la narration mais j'ai malgré tout réussi à m'enfiler la saga en un mois et demi. Et j'ai adoré.
Je ne connais pas ton livre Damien, mais ça m'a l'air d'être intéressant. [:fufufu]Vu qu'on ne m'a pas répondu, je l'ai mis de côté pour lire des choses vachement moins "it's showtime for another adventure" :o
J'ai fini le 1er tome de la Fondation d'Asimov, c'est du bonheur en barre.Félicitations ! [:jump]
Je vais rendre le bouquin à son propriétaire et me commander l'intégrale :o
Al' : je ne connais pas l'auteur. Répulsif ?
J'ai fini le 1er tome de la Fondation d'Asimov, c'est du bonheur en barre.
Je vais rendre le bouquin à son propriétaire et me commander l'intégrale :o
Cacaman, si tu tiens jusqu'au tome 5, je suis curieux de lire ton avis [:fufufu].
Soixante-six ans après sa disparition, Hitler se réveille dans un terrain vague de Berlin. Et il n'est pas content : comment, plus personne ne fait le salut nazi ? L'Allemagne ne rayonne plus sur l'Europe ? Depuis quand tous ces Turcs ont-ils pignon sur rue ? Et, surtout, c'est une FEMME qui dirige le pays ?
Il est temps d'agir. Le Führer est de retour et va remettre le pays dans le droit chemin. Et pour cela, il lui faut une tribune. Ça tombe bien, une équipe de télé, par l'odeur du bon client alléchée, est toute prête à lui en fournir une.
La machine médiatique s'emballe, et bientôt le pays ne parle plus que de ça. Pensez-vous, cet homme ne dit pas que des âneries ! En voilà un au moins qui ne mâche pas ses mots. Et ça fait du bien, en ces temps de crise...
Hitler est ravi, qui n'en demandait pas tant. Il le sent, le pays est prêt. Reste à porter l'estocade qui lui permettra d'achever enfin ce qu'il avait commencé...
@M31: tu te baladais, tu as vu de la lumière et tu es entré? :D
Si je dérange, je peux sortir.
Elle conclue en anticipant sur un procès en délégitimation de la littérature jeunesse: il ne s'agit pas de dire que les bouquins destinés aux ados sont mauvais, parfois même au contraire. Mais la limite d'âge n'est pas là en vain, et tant qu'à faire, elle n'est pas à sens unique.Au cours de ma vie, j'ai allègrement franchi la limite d'âge dans les deux sens, et je ne regrette absolument pas [:kred]
Qu'est-ce que vous en pensez? Lisez-vous des romans pour jeunes adultes, bien après la limite conseillée, et pourquoi?
Quand je lis une histoire, j'ai envie de me sentir un minimum concernée, ce qui n'est pas le cas quand les personnages sont trop jeunes. D'ailleurs, un exemple tout bête, Aria dans le TdF: j'ai commencé à lire les livres il y a dix ans pourtant et malgré tout, autant j'admire beaucoup le personnage, autant je ne me suis jamais attachée à elle (hérésie, oui, je sais).
J'ai ouvert, une fois, un tome de Harry Potter (le premier) en VF et j'ai vite refermé. Je ne sais pas si c'est mal écrit ou mal traduit (ou les deux), mais ça ne m'a vraiment vraiment pas donné envie.
Ah, mon livre préféré sur les 10 dernières années ! [:bave]
Une expérience vraiment unique ! :)
Le seul bouquin où le marque-page est presque indispensable à la bonne compréhension au début :)
le 31 octobre 1889, un grand bouleversement a mis sens dessus dessous les rapports de force entre Louis-Napoléon et le reste du monde: une nef extra-terrestre atterrit à la clôture de l'exposition universelle. Les Ishkiss étaient venus en France et Napoléon III en a profité pour faire de lui le seul porte-parole de l'humanité. Les gains technologiques ont été considérables. Pendant dix ans, la France et l'Europe ont prospéré en adaptant la maîtrise biologique des extra-terrestres au savoir-faire mécanique des humains. Des vaisseaux hybrides ont été construits et la lune a déjà été foulée. Une base s'y est développée, abritant en sus un pénitentiaire qui fournit la main d'oeuvre pour construire les futurs engins qui iront coloniser les autres mondes. Louis Napoléon voit grand et cela inquiète...C'est le seul synopsis qui évite de se prendre un spoiler quant à l'identité du personnage principal.
Prévoyant la catastrophe, Franx a convaincu les siens de fortifier le Feu de Dieu, une ferme du Périgord, conçue pour une autonomie totale de plusieurs années. Mais le cataclysme le surprend à Paris et, pour rejoindre sa famille, il entreprend une impossible odyssée, à pied dans des ténèbres perpétuelles en compagnie d'une autre survivante, une petite fille muette. Pendant ce temps, dans l'arche transformée en bunker, sa femme et leurs deux enfants se retrouvent sous la menace d'un dangereux paranoïaque qui a pris possession des lieux...Classique dans son contexte et son déroulement, peu de surprise. Pas le meilleur titre de l'auteur mais ça se laisse lire parce que c'est du Bordage :o
Ancienne journaliste et ex-junkie, Zinzi habite Zoo City, un quartier de Johannesburg peuplé de criminels obligés de vivre avec un animal à leur charge. Si l'animal meurt, son propriétaire aussi. « Animalée » après la mort de son frère dont elle se sent responsable, Zinzi est affublée d'un paresseux symbiotique qui a élu domicile sur son dos. Elle survit grâce à des arnaques Internet et à son talent pour retrouver les choses perdues – mais également les personnes disparues, une activité fort lucrative qu'elle déteste pourtant.Pitch original.
J'aie mis mes "Vikings de Novgorod" entre parenthèses, pour lire "Le Cercle Pouchkine", de Simon Montefiore.
De mémoire, j'ai adoré sa trilogie Le Juge d'Egypte.
D's©
Quant à moi, j'avais bien aimé sa tétralogie sur "Les Mystères d'Osiris" [:dawa].
Christian Jacq.Je suis plutôt d'accord, pas sur cet ouvrage mais plutôt sur ses œuvres. J'ai l'impression d'en avoir fait le tour, je n'ai plus envie d'en lire d'autres pour l'instant. C'est répétitif d'un livre à l'autre avec toujours l'animal domestique voire le chien, la description du visage (nez, menton, sourcils etc.) et du corps (grand, gros, maigre etc.) des personnages quelque peu caricaturaux... La rigueur du scientifique transparait trop. Il a une façon de tuer/faire disparaître ses personnages dès fois assez brutale, surprenante voire dispensable car le rôle est de suite repris par un autre personnage comme s'ils étaient interchangeables.
Eh bien, je ne pensais pas dire ça un jour d'un bouquin du monsieur, mais celui-ci était relativement barbant. Il ne se passe rien. Y'a bien deux, trois petits croche-pieds en cours de route mais, globalement, c'est calme plat pendant toute l'histoire jusqu'aux trois derniers chapitres. Beaucoup de personnages dont aucun n'est véritablement attachant. Du coup, c'est un peu rébarbatif à lire.
Michelangelo Merisi, dit Caravage, est l'une des figures majeures de l'art occidental. L'une des plus singulières aussi. D'abord par sa peinture qui fascine à travers sa technique, son utilisation dramatique de l'éclairage et de la couleur, et la force d'émotion qui s'en dégage. Ensuite par sa vie tumultueuse et sa personnalité hors du commun, dans cette période si tourmentée de la Réforme catholique et de la naissance de l'art baroque. Laurent Bolard nous raconte cette vie pittoresque et tourmentée, éminemment romanesque. Il s'attache à suivre pas à pas le parcours chaotique de l'artiste dans ses différents lieux de séjour et d'exil - Milan, Rome, Naples, Malte, la Sicile - et propose une passionnante lecture des peintures à travers les hypothèses et les analyses les plus récentes.Je l'ai démarré ce matin. On n'en sait pas plus sur sa jeunesse sauf que sa mère s'occupait bien de lui et que ses premières dettes n'ont jamais été dues à des séjours au cachot, contrairement à ce qui a souvent été dit dans les ouvrages généralistes.
Fin du XXIe siècle : après une guerre nucléaire dévastatrice, le monde s’est reconfiguré.
Deux univers coexistent : d’un côté, les mégapoles ultra sécurisées, pseudo perfection
de « civilisation » baptisées les « Cités Unifiées »; de l’autre « Le Pays Horcite », une jungle hostile ruinée par
le réchauffement climatique, les déchets radioactifs et de violents affrontements.
Chaque univers est régi par ses règles et ses codes, ainsi va le nouveau monde...
Jusqu’au jour où une nouvelle menace surgit : des centaines de meurtres
sont perpétrés en quelques minutes à New-York, Londres et Paris...
Des assassins invisibles frappent sans laisser aucune trace identifiable! La nouvelle humanité est déjà en péril.
Ganesh, enquêteur d’élite de la cité unifiée NyLoPa est chargé de résoudre l’énigme.
Sa quête nous mènera à explorer et découvrir les dessous fétides de ces deux univers hors du commun...
Le Magicien d'Oz raconte l'histoire de Dorothy, une petite fille qui vit au Kansas chez son oncle et sa tante. Emportée par un cyclone avec son chien Toto, elle se retrouve dans un étrange pays où, avec l'aide de compagnons un peu bizarres – un épouvantail, un homme en fer-blanc et un lion froussard –, elle va affronter non seulement une sorcière particulièrement cruelle, mais aussi des tigres, des singes volants, des loups affamés, une araignée géante...
Le Merveilleux Pays d'Oz est la suite du Magicien d'Oz. Le lecteur y fait la rencontre de Tip, un jeune garçon contraint de servir la sorcière Mombi et qui finit par s'échapper avec Jack, un drôle de bonhomme en bois à tête de citrouille. Ensemble, ils vont s'aventurer dans une contrée merveilleuse et affronter de nombreuses épreuves.
Tout le monde connaît Le Magicien d'Oz, d'abord par le roman de L. Frank Baum paru en 1900, puis par le film de Victor Fleming (1939). En revanche, on sait moins que Baum donna une suite aux aventures de Dorothy et de ses compagnons – et quelle suite ! Plus de dix volumes parus entre 1900 et 1919, dont nous commençons la publication inédite et intégrale, illustrée par Stéphane Levallois.
Dans Ozma du Pays d'Oz, Dorothy, en compagnie de la poule Billina, est projetée par-dessus bord alors qu'elle se rendait en Australie. Elle échoue sur les mystérieuses rives du pays d'Ev où elle fera la connaissance de Tik-Tok, le sympathique Homme mécanique, mais aussi celle des Nomes, une tribu d'êtres disgracieux qui lui donneront bien du fil à retordre. Heureusement, la princesse Ozma et les trois légendaires compagnons de Dorothy viendront au secours de la fillette et de la famille royale d'Ev...
Dans Dorothy et le Magicien au Pays d'Oz, un tremblement de terre empêche Dorothy d'arriver à destination et la précipite dans l'étrange contrée des Mangaboos... celle des hommes-légumes ! C'est là qu'elle reverra son cher Magicien, épaulé par une armée de porcelets. On ne vous dira rien en revanche sur les gargouilles de bois et les invisibles habitants de la Vallée de Voe...
J'en ai entendu énormément de bien, aussi j'ai décidé de m'y mettre. C'est un peu ardu au début avec tous les noms des protagonistes remplacés par des symboles, les incessants changements de narrateur, et les nombreux néologismes, mais on s'y fait toutefois assez rapidement.
(http://www.gallimard.fr/var/storage/images/product/b56/product_9782070458257_195x320.jpg)
C'est très très bon ! Et oui, heureusement qu'il existe le listing de départ car on s'y perdrait à coup sûr :oIl y a tjs une carte avec les symboles des différents perso jetées dans les éditions récentes ?
D's©
Il y a tjs une carte avec les symboles des différents perso jetées dans les éditions récentes ?
Je plussoie vivement pour la Horde du Contrevent, c'est magique et indiscutablement ma plus belle découverte de cette année.Content de voir que tu l'as lu et que cela t'a plu aussi :)
Le Demi-Monde est une simulation informatique créée pour entraîner les soldats à la guérilla urbaine. Ce monde virtuel est bloqué dans une guerre civile éternelle. Ses trente millions d'habitants numériques sont dirigés par les avatars des plus cruels tyrans de l'Histoire : Heydrich, l'architecte de l'Holocauste ; Beria, le bourreau de Staline ; Torquemada, l'Inquisiteur sans pitié ; Robespierre, le visage de la Terreur… Mais quelque chose s'est détraqué à l'intérieur même du Demi-Monde, et la fille du Président des États-Unis y est restée coincée. Il incombe à l'agent Ella Thomas d'aller la récupérer, mais, une fois sur place, la jeune femme se rend compte que rien n'est à sa place.Le pitch est sacrément fumé !
Pire, les murs virtuels peinent à contenir le mal insidieux qui semble pervertir toute chose… Le monde réel pourrait bien courir un danger que nul n'a encore osé imaginer !
En fait, encore mieux que les vampires chez Anne Rice, tu as les sorcières!!...
par contre, elle aurait bossé avec un(e) mangaka pour adapter le premier roman de la série!!...
Je me suis lancée dans "les chroniques des vampires" d'Anne Rice
Paris, 1818. Les expériences révolutionnaires et napoléoniennes ont vécu. Dans un pays en pleine confusion politique, les Bourbons, en la personne de Louis XVIII, sont de retour sur le trône. C'est dans ce contexte politique et social trouble qu'Hector Carpentier, un jeune étudiant en médecine, est soupçonné du meurtre d'un inconnu. Mais le directeur de la Sûreté nationale, François Eugène Vidocq, doute de la culpabilité d'Hector.
Personnage mystérieux, féru d'investigations scientifiques et d'espionnage, Vidocq doit mettre tous ses talents en œuvre lorsqu'il comprend que l'affaire est liée à la disparition du Dauphin, Louis XVII, officiellement mort en 1795 à l'âge de dix ans à la prison du Temple, construite cinq siècles plus tôt par les Templiers. Alors qu'un tueur mystérieux continue à sévir dans les rues de Paris, commence pour Vidocq, secondé d'Hector, une enquête passionnante.
Le commandant Gray Pierce, chef de l'unité spéciale Sigma Force, est chargé d'élucider d'étranges meurtres ayant un point commun : une croix celtique gravée sur les victimes. Dans le même temps, son équipe fait une découverte encore plus terrifiante qui menace de compromettre les réserves alimentaires de la planète. S'il n'y a plus assez de vivres pour tous, l'humanité risque de sombrer dans l'Apocalypse... La prophétie de saint Malachie disait peut-être vrai. Et si la fin du monde était pour demain ?C'est un auteur Berry-like qui a pondu des titres très prenants comme Amazonia et la Bible de Darwin.
Des ruines d'une abbaye médiévale aux tombeaux oubliés de rois irlandais, l'équipe Sigma Force met tout en oeuvre pour trouver la clé qui sauvera la Terre...ou la détruira à jamais !
"Janua Vera" : perso, j'ai adoré quasiment tout, avec un léger bémol sur la ou les nouvelles concernant un perso masculin qui est voleur je crois. Un perso un peu trop "trop" qui sent le Gary Stu à des kilomètres. Et quand j'ai voulu m'intéresser aux travaux au long cours de l'auteur, et bien il se trouve que ce même perso est le héros de la saga et du coup, je n'ai pas sauté le pas. Quoi qu'il est soit, c'est merveilleusement bien écrit et ça file du baume au coeur de voir des auteurs français avec une telle plume [:onion tears]Essaie Pierre Pevel alors, ça penche plus du côté Dumas de l'écriture mais très bon. En tout cas pour les Lames du Cardinal, ou les aventures d'agents secrets de Richelieu dans une uchronie avec des dragons pour déjouer un complot contre le roi.
Essaie Pierre Pevel alors, ça penche plus du côté Dumas de l'écriture mais très bon.
Le Moyen Age est souvent considéré comme une période durant laquelle règnent la violence et la peur. Qu'en est-il réellement ? Peut-on à ce point généraliser ? En tentant de répondre à cette question et d'apporter quelques nuances à ce tableau, l'auteur propose une approche originale de cette période dont les préoccupations nous sembleront, parfois, étrangement familières.
Sinon, ça faisait une éternité que je n'avais pas lu de Bernard Werber et là, je tombe sur le tout récent Demain les Chats.
Y a toujours ce côté leçon de choses moralisateur
Je trouvais qu'avec les Thanatonautes et l'Empire des Anges, il arrivait à créer un univers original, avec cette sensation de découverte progressive.
Mais à partir de Nous les Dieux, disparue l'originalité, l'inédit, place à de la repompe feignasse de mythologie grecque, et au lieu d'avoir des protagonistes censés évoluer à un niveau supérieur, on a plus l'impression qu'ils régressent......
Sinon, c'est quoi Demain les Chiens ?
Je trouvais qu'avec les Thanatonautes et l'Empire des Anges, il arrivait à créer un univers original, avec cette sensation de découverte progressive.
Il arrive souvent que des auteurs de thrillers/polars fabriquent un ou des personnages qui vivent des aventures sur plusieurs livres. Comme Mc Kenzie chez Loevenbruck. Comme Painter Crowe chez Rollins.
Grangé s'y met enfin. Non pas avec une équipe de flics mais avec une famille hors-norme : les Morvan. Des bretons peu fréquentables et suffisamment puissants pour te déglinguer la vie politico-économique d'un petit pays d'Afrique.
Le père est le premier flic de France. Le fils aîné bosse à la Crime. Le cadet règne sur les marchés financiers. La petite sœur tapine dans les palaces.
On les découvre dans Lontano, on les retrouve dans Congo Requiem. Un diptyque pour exhumer le passé crasseux d'une famille pétrie de violence et de haine.
(https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/I/51adIE5p9FL._SX347_BO1,204,203,200_.jpg)(https://media.senscritique.com/media/000015350211/source_big/Congo_requiem.jpg)
Pour le reste, c'est du Grangé pur sucre : malsain, poisseux, diabolique, intense, tordu. Très difficile de lâcher la lecture, même après 2h du matin et des valises de 50 kgs qui ne demandent qu'à se fermer.
D's©
Je suis d'accord. N'en ayant pas lu pendant 2-3 ans, eh ben ça passe tranquille.Toutafé.
Kaiken est le seul que je n'ai pas encore lu.
Après, Grangé fait du Grangé comme Jacq fait du Jacq ou Ravenne/Giacometti font du Ravenne/Giacometti etc... , on va pas se mentir :o
D's©
Après vingt-quatre heures dans le coma, une jeune femme se lance à la rechercher d'un homme qui, contre toute attente, ne semble pas exister. Alors que la police de Montréal se concentre sur une étonnante affaire de meurtres dont les victimes sont retrouvées dans des conditions similaires et déroutantes, un chasseur sans merci a choisi d'appliquer sa propre justice, celle ou chacun doit payer chèrement pour ses fautes. Une recherche de la vérité qui révélera trois vies aux destins inattendus et entremêlés. Suivez Victor Lessard, un enquêteur de la police de Montréal tourmenté et rebelle, dans une affaire aux rebondissements troublants.
Dites, vous conseilleriez quoi comme thriller ? Un truc bien prenant, avec un style direct et efficace ?
C'est pour un cadeau :o
Dites, vous conseilleriez quoi comme thriller ? Un truc bien prenant, avec un style direct et efficace ?(http://idata.over-blog.com/4/20/40/34/hommesdepaille.jpg)
C'est pour un cadeau :o
Mercredi 30 octobre 1991, à 12h53, dans un fast-food de Palmerston, Pennsylvanie, une femme hurle. Deux hommes, jeunes, vêtus de longs manteaux et armés de fusils semi-automatique, abattent soixante-huit personnes. Avant de prendre la fuite, ils écrivent en lettres de sang : " Les Hommes de Paille ". Onze ans plus tard, à Santa Monica, Californie, une adolescente , Sarah Becker, est kidnappée. Le serial killer que le FBI a surnommé l'Homme Debout a encore frappé. A Dyersburg, dans le Montana, Donald et Beth Hopkins trouvent la mort dans un accident de voiture. Ward, leur fils, est incapable d'envisager la réalité de leur disparition. D'autant qu'il découvre un message caché dans le fauteuil de son père : " Nous ne sommes pas morts. "
Trois faits divers, trois énigmes dont la clé est enfouie sous une chape de plomb.
"Breslau, août 1945"
Dans les décombres du IIIe Reich agonisant, un physicien allemand porteur des résultats de recherches ultrasecrètes menées pour Heinrich Himmler, le tout-puissant chef de l'ordre noir SS, fuit l'avancée soviétique.
"Aujourd'hui, quelque part dans l'Himalaya"
Au Népal, les moines d'un monastère bouddhiste ont été décimés par un mal inconnu. Sur place, Lisa Cummings, médecin, et Painter Crowe, agent de la Sigma Force, découvrent un pur cauchemar : les moines semblent avoir sombré dans la folie, le meurtre, et le cannibalisme.
"Au même moment, à Copenhague"
L'exemplaire de la Bible ayant appartenu à Charles Darwin doit être mis aux enchères et déchaîne une lutte meurtrière pour sa possession. Quel secret recèlent ces pages soigneusement annotées ? Et quel lien peut-il y avoir entre Darwin et un laboratoire troglodyte en Pologne, oublié depuis 1945 ?
Soixante ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les monstres dont rêvaient d'accoucher les maîtres du IIIe Reich sont sur le point de voir le jour…
Il y a quatre ans, une expédition scientifique partait en pleine forêt amazonienne étudier le savoir des chamans, avant de disparaître.
Nathan Rand, le fils du savant qui la dirigeait, n'a jamais perdu l'espoir de les retrouver vivants.
Un espoir relancé par le Dr Kelly O'Brien qui l'invite à rejoindre l'équipe de secours organisée par le gouvernement des États-Unis.
Mais au plus profond de la jungle, une nature livrée aux mutations les plus folles les attend...
Tournois, croisades, table ronde et amour courtois… le monde des chevaliers fascine et intrigue. Quelle est la part entre l’imaginaire et l’histoire ?
De Roland à Lancelot, en passant par Bayard et le roi Arthur, Alain Demurger ressuscite les grandes figues de la chevalerie, explique les codes et les coutumes, les idéaux et les exploits. C’est la vie quotidienne et rêvée des chevaliers, des seigneurs et de leurs dames, des guerriers et de leurs légendes qui est ainsi contée.
Ceux qui ont autrefois joué aux chevaliers et ceux qui y jouent encore trouveront là un guide du Moyen Age épique et étonnant.
Juillet 1096 : il fait chaud sous les murailles de Nicée. A l'ombre des figuiers, dans les jardins fleuris, circulent d'inquiétantes nouvelles : une troupe formée de chevaliers, de fantassins, mais aussi de femmes et d'enfants, marche sur Constantinople. On raconte qu'ils portent, cousues sur le dos, des bandes de tissu en forme de croix. Ils clament qu'ils viennent exterminer les musulmans jusqu'à Jérusalem, et déferlent par milliers. Ce sont les " Franj ". Ils resteront deux siècles en Terre sainte, pillant et massacrant pour la gloire de leur dieu. Cette incursion barbare de l'Occident au cœur du monde musulman marque le début d'une longue période de décadence et d'obscurantisme. Elle est ressentie aujourd'hui encore, en terre d'islam, comme un viol.
Ah bah @Weldar arrêtera de se prendre le roi ArthurJe pense que Weldar peut se prendre qui il veut, ça ne regarde que lui. :o
Après la Révolution, l’île de Montréal est assiégée — ses ponts bloqués par l’armée fédérale. Partout dans les rues se déchirent les partisans de l’ancien monde libéral et ceux qui aspirent à une société anarchiste, transformant le paysage urbain en un champ de ruines festif où survivent des communautés humaines en pleine recomposition.
Au cœur de ce chaos, Nikki Chanson bosse dans un vidéo-club. Paumée mais pleine de talents cachés, elle partage son temps entre la refourgue de mauvais films aux mauvaises personnes, les enquêtes sur des faits divers sordides et les soirées film en compagnie de Kim, coureuse de bois virtuels.
Mais entre ses hallucinations en VHS et ses rêves de forêts détruites, le quotidien de Nikki menace de s’engouffrer dans une conspiration meurtrière à laquelle elle ne pourra échapper que grâce au soutien de sa copine et d’une marionnette d’un show pour enfants qui n’est autre qu’un chien mort.
À la fois portrait drôle et poétique d’une société contemporaine qui part en capilotade, thriller antispéciste et déclaration d’amour aux nanars d’horreur, Toxoplasma emporte le lecteur à l’orée d’un monde fantastique, qui pourtant est bel et bien le nôtre.
Enfin si j'ai une critique à faire c'est surtout aux éditions Libretto : leurs livres sont beaux, mais il serait judicieux de rendre leur couverture un peu plus solides. La maniaque que je suis est obligée de les couvrir pour ne pas les voir se détériorer à vitesse grand V!
Sur ce, je reste dans le médiéval et vais me plonger dans le lecture d'Ivanhoé de Walter Scott.
Je trouve ces livres magnifiques. Tu as toute la collection dans cette édition?Oui, j'ai tout Pratchett, notamment tout le Disque-Monde paru chez L'Atalante (couvertures originales de Kirby et Kidby, je suis pas maso au point de racheter les nouvelles éditions où les mêmes occupent tout l'espace, pareil pour les éditions Pocket illustrées par Simonetti). Ceci dit j'aurais absolument rien contre un beau livre qui rassemblerait tout ça en grand format. [:miam] Et pis j'ai tout le reste : Longue Terre, Gnomes, cartes et plans, one-shots divers, recueils de nouvelles, etc.
Quo Vadis? C'est un des grands classiques que je prévois de lire également! J'aimerais bien avoir ton avis là dessus.
J'ai presque fini Ivanhoé (un peu plus de 100 pages à lire) et tu as raison, j'ai savouré l'histoire et jusqu'à présent je ne suis pas déçue! C'était un peu long au début (avec le tournoi) mais après le gros morceau arrive! Gros coup de coeur pour Wamba, j'adore ce genre de personnage qui s'avère aussi courageux, voire plus, qu'un chevalier face au danger.
Par contre, niveau lecture, j'étais souvent coupée dans mon élan à cause des notes de bas de page qui sectionnent carrément le texte d'une page à l'autre dans ma version Poche. Un peu pénible.
Que serait un été sans lire des auteurs de thriller français ?
On débute avec un Chattam : la Patience du Diable.
Manque de pot, je suis tombé sur le moins bon dans le sens où on devine assez vite le coupable ainsi que l'issue des derniers chapitres :o
D's©
mais ça n'a ni le style d'un GrangéGrangé a un style, c'est clair et c'est la raison principale pour laquelle ses opus constituent mon minimum syndical annuel en terme de polar. Toutefois, il a quelques défauts dont 1/ l'étalage artificiel de connaissances spécifiquement acquises pour l'écriture de l'ouvrage concerné : ça se voit trop et je lève les yeux au ciel à chaque fois 2/ le message personnel ou "la minute moralisatrice de tonton Grangé" qui m'insupporte également au plus haut point d'autant que ça n'a pas la moindre utilité dans le récit et 3/ sa passion pour la ville de Paris, le tout cumulé qui au bout du compte impliquent que j'acquiers moi-même une super connaissance du plafond.
Ils sont vingt-trois, forment la trente-quatrième Horde du Contrevent et ont entre vingt-sept et quarante-trois ans. Dans un monde balayé par les vents, ils ont été formés depuis l'enfance dans un seul but : parcourir le monde, d'ouest en est, de l'Aval vers l'Amont, à contre-courant face au vent, à travers la plaine, l'eau et les pics glacés, pour atteindre le mythique Extrême-Amont, la source de tous les vents.
Tous différents mais tous unis, ils forment une horde autonome et solidaire, qui avance dans un seul objectif, luttant constamment contre le vent. Profitant du savoir et de l'expérience de huit siècles d'échecs, on la dit la meilleure et l'ultime Horde, celle qui atteindra enfin l’Extrême-Amont.
Le problème, c'est que la "clé" pour savoir quel signe correspond à quel perso n'est pas dans le livre.Même problème chez nous, je crois. Les matériels d'accompagnement ont hélas tendance à disparaître. Et tu ne peux pas les facturer même si, dans un cas comme ça, ça flingue la lecture. Le titre a récemment été adapté en BD, aussi.
Wiki vient de m'apprendre que cette clé est, théoriquement, sur le marque-page vendu/fourni avec le livre. Marque-page bien entendu absent de cet exemplaire emprunté... ::)
Et le dernier "la Terre des Morts", ne cassait vraiment pas trois pattes à un canard :o
PAL : pile à lireJe ne pratique pas la pile d'attente. :haha: Perso dès qu'un bouquin est acheté il va à sa place sur l'étagère, attendant bien sagement que je vienne me repaître de lui. [:miam] Je gère l'approvisionnement en bon professionnel : veille via Électre (hors des horaires de travail parce que sinon vu le peu d'accès qu'on a ça gueulerait vite [:aie]) ou ailleurs, liste d'achat dans un brouillon de mail (pour le boulot y en a trop donc j'utilise Feedly) puis commande via le libraire ou amazon pour les titres étrangers. :o
Rincevent, 59 ans, à la rue :o
Avec ce voyage inoubliable en terre inconnue, Johanna Sinisalo retrouve le style rythmé et la délicate touche de fantastique qui ont fait le succès de Jamais avant le coucher du soleil. Alternativement, Heidi et Jyrki, les deux narrateurs, nous racontent les péripéties d’une randonnée au coeur des régions les plus sauvages d’Australie et de Nouvelle-Zélande, pays de l’oiseau Kéa. Cet animal mythique, surnommé “le clown des montagnes”, saura-t-il imposer sa loi aux visiteurs qui ont fait intrusion dans son univers ? Ce roman d’un retour à la nature permet à Johanna Sinisalo d’exprimer une nouvelle fois son désir de tourner le dos à la société de consommation, de voir au-delà du factice et de livrer ses personnages à la nature sauvage, cadre dans lequel ils perdent tous leurs repères et renouent avec leurs instincts primitifs : haine, violence, angoisse et croyances archaïques...
Bon, je me suis farci Beren et Luthien de Tolkien, récemment publié chez Christian Bourgois, mais j'ai été un peu déçu. Je m'attendais à une version plus longue de leur histoire telle qu'elle apparait dans le Silmarillion et en réalité ce titre nous en présente la genèse et les différentes phases successives, que ce soit en prose ou en vers. C'est pas inintéressant mais clairement pas ce que j'espérais.J'ai acheté La chute de Gondolin, dans la même veine que le bouquin précédent. Y a moins de variété car pas d'éléments WTF originels comme les chats, mais c'est étonnant de voir comment le premier jet de l'histoire comprend une description très détaillée de la ville, de ses habitants et de sa chute. Les variations portent surtout sur la généalogie du héros Tuor, la façon dont il rencontre l'elfe qui l'amènera à Gondolin, son trajet et ses interactions avec le Valar Ulmo. Quasiment pas de passages versifiés ni de chansons et heureusement, parce que ça me saoule. De belles illustrations au passage.
Lu l'intégrale des Rois Maudits de Maurice Druon.
Moralité, c'est une épopée à découvrir d'urgence, pour ceux qui ne connaîtraient pas.
@Chrysos, mais il faut le lire...ou l'éviter? :D
Puisque cela se passe à Londres est-ce qu'une ambiance particulière s'en dégage, d'autant plus que nous sommes plongés dans le genre policier voire film noir ?
C'est la mode des consultants pour la Police plus futés que les policiers eux-mêmes. Enfin une mode qui dure depuis pas mal d'années pour être honnête.
Sherlock en est le parfait exemple, mais lui est déjà hors norme de toute façon. Ou toutes les séries policières US avec le profiler de service.
Et, puisque tu parles de Sherlock et autre profiler, c'est différent. Dans un Sherlock, version livre, le héros s'efface souvent pour permettre au lecteur de découvrir l'intrigue du moment et dénoue juste le mystère à la fin. De mémoire tu ne vois que très rarement Sherlock empiéter sur le récit avec sa vie privé, ses amours, ses espoirs, son vague à l'âme, la jalousie éventuelle d'autres personnages, bref toutes ses choses qui alourdissent considérablement Sombre mardi [:haha pfff].
Et heu...pourquoi sombre mardi au fait ? Un meurtre a été commis ce jour-là ? Un jour où elle serait plus désagréable que les autres jours ?
Les Particules Élémentaires est bien meilleur.Ah. Je note ! [:jap]
Le passage sur le second degré relève du génie.
@Bouloche Le Foufounet : question ! Si le livre de Houellebecq que tu viens de lire était d'un auteur parfaitement inconnu, d'un quidam lambda, l'aurais-tu apprécié ? L'aurais-tu lu, seulement ?Difficile de répondre !
Tu as pris la nouvelle traduction, si j'en crois le titre que tu donnes.Alors là, je ne saurais te dire... [:what]
Ancienne traduction : La Communauté de l'AnneauLe titre est bien La Fraternité de l'Anneau, donc "nouvelle traduction" si j'en crois tes dires (et, en tant que professionnel, je ne peux que te faire confiance là-dessus).
Nouvelle traduction : La Fraternité de l'Anneau. [:aloy]
J'ai fini le tome 1, puis j'ai lâché y'a bien six mois... faudrait que je reprenne, mais du coup, est-ce qu'on comprend quand même si on n'a que les souvenirs du film ? [:lol]Oui et vu que les films ont zappé pas mal de passages, tu peux considérer ça comme une version supra-longue. :o [:lol]
Alors, comme on me l'avait annoncé, il n'y a vraiment pas photo : Ca va vachement plus vite, c'est moins "contemplatif" !On en reparlera dans le tome 3 :o
C'est quand même bizarre, comme parti pris artistique, d'avoir laissé tous les noms en minuscules, pour la couverture.Tu seras heureux d'apprendre que l'éditeur a "rattrapé le coup" en écrivant le tout (auteur et titre) entièrement en majuscules sur le dos du livre ! ;) [:lol]
Qu'ont en commun le quotidien sentimental d'une femme dans le métro, la liste secrète d'un homme, une revanche sur le passé ainsi qu'une série de poèmes ? Le sentiment universel qui les lie: l'amour.
Un soir d'hiver à l'Elgin Theatre de Toronto, le célèbre acteur Arthur Leander s'écroule sur scène, en pleine représentation du Roi Lear. Plus rien ne sera jamais comme avant.
Dans un monde où la civilisation s'est effondrée, une troupe itinérante d'acteurs et de musiciens parcourt la région du lac Michigan et tente de préserver l'espoir en jouant du Shakespeare et du Beethoven. Ceux qui ont connu l'ancien monde l'évoquent avec nostalgie, alors que la nouvelle génération peine à se le représenter. De l'humanité ne subsistent plus que l'art et le souvenir. Peut-être l'essentiel.
Patty Berglund est-elle la femme idéale ? Pour Walter, son mari, la réponse ne fait aucun doute : c’est oui. Épouse aimante, mère parfaite, Patty a tout bon. Mais qu’en pense-t-elle ? En renonçant àWalterRichard, ce " bad boy " dont elle était amoureuse – et qui se trouve être le meilleur ami de Walter –, Patty a peut-être commis l’erreur de sa vie. Freedom raconte l’histoire de ce trio et capture le climat émotionnel, moral et politique des États-Unis entre 1970 et 2010 avec une incroyable virtuosité.
Y a deux Walter ?Arf, assurément une faute dans le texte que j'ai copié-collé. C'est Richard, le meilleur ami.
Voyons, quand est apparu le DVD ? Dans les années 2000 ? [:fufufu]C'était en 1995. [:aloy]
En plus des points relevés dans mon post de l'époque, le truc qui m'avait vraiment dérouté, c'est tout l'aspect "règles physiques du monde".
En gros, le monde du livre ne "fonctionne" pas selon les mêmes lois physiques que le nôtre. Tout est basé sur les formes de vent.
Et, du coup, l'auteur se lance souvent dans de longs discours scientifiques, mais, forcément, avec des théories physiques inventées de toutes pièces. C'est très intéressant, mais c'est parfois réellement difficile à appréhender.
ST, lui, montre surtout à quel point il est vain de se moquer d'une histoire déjà bien en lui enlevant ce qui faisait sa qualité. Étoiles, Garde à Vous a toujours été victime d'un malentendu, je trouve.@The Endoktrinator
Soixante-six ans après sa disparition, Hitler se réveille dans un terrain vague de Berlin. Et il n'est pas content : quoi, plus personne ne fait le salut nazi ? L'Allemagne ne rayonne plus sur l'Europe ? Tous ces Turcs qui ont pignon sur rue sont venus de leur plein gré ? Et, surtout, c'est une FEMME qui dirige le pays ?
Il est temps d'agir. Le Führer est de retour et va remettre le pays dans le droit chemin. Et pour ça, il lui faut une tribune. Ça tombe bien, une équipe de télé, par l'odeur du bon filon alléchée, est toute prête à lui en fournir une.
La machine médiatique s'emballe et bientôt, le pays ne parle plus que de ça. Pensez-vous, cet homme ne dit pas que des âneries ! En voilà un au moins qui ne mâche pas ses mots. Et ça fait du bien, en ces temps de crise…
Hitler est ravi qui n'en demandait pas tant. Il le sent, le pays est prêt. Reste pour lui à porter l'estocade qui lui permettra d'achever enfin ce qu'il avait commencé…
Les livres de genre deviennent vraiment trop prévisibles [img alt=[:mouaisok]]http://forum.saintseiyapedia.com/Smileys/custom/mouaisok.gif.
Maxwell Sim est un loser de quarante-huit ans. Voué à l’échec dès sa naissance (qui ne fut pas désirée), poursuivi par l’échec à l’âge adulte (sa femme le quitte, sa fille rit doucement de lui), il s’accepte tel qu’il est et trouve même certaine satisfaction à son état.
Mais voilà qu’une proposition inattendue lui fait traverser l’Angleterre au volant d’une Toyota hybride, nantie d’un GPS à la voix bouleversante dont, à force de solitude, il va tomber amoureux. Son équipée de commis-voyageur, représentant en brosses à dents dernier cri, le ramène parmi les paysages et les visages de son enfance, notamment auprès de son père sur lequel il fait d’étranges découvertes : le roman est aussi un jeu de piste relancé par la réapparition de lettres, journaux, manuscrits qui introduisent autant d’éléments nouveaux à verser au dossier du passé. Et toujours Max pense à la femme chinoise et à sa fille, aperçues dans un restaurant en Australie, dont l’entente et le bonheur d’être ensemble l’ont tant fasciné. Va-t-il les retrouver ? Et pour quelle nouvelle aventure ?
Je me tâte à acheter deux bouquins d'un dénommé Jacques Lacroix, Les frontières des peuples gaulois, qui semble spécialiste de la langue gauloiseBon, une collègue docteure en histoire antique m'ayant confirmé que c'était pas un branquignol, je me les suis commandé. Meh. J’ai un petit peu déchanté. En amateur d’atlas historiques, je m’attendais à des ouvrages présentant et commentant lesdites frontières des peuples gaulois. Mais non, ou en tous cas pas comme je l’attendais, car ces volumes sont en fait une étude toponymique portant sur 1500 noms de lieux. Certes elle est très intéressante au niveau linguistique. Mais l’essentiel des volumes consiste en une longue liste de noms de lieux. L'auteur nous présente et discute donc, en plusieurs sections, des termes gaulois qui ont marqué et marquent encore notre territoire. Ceux qu’il a choisi sont, bien entendu, ceux qui tournent autour de la notion de limite, de frontière. Certains avaient visiblement été repérés de longue date mais d’autres ont pu échapper à l’attention des chercheurs dans cette acception. Notons qu’il remet en cause certains points de vue de la recherche qui pour lui relèvent plutôt de la facilité à chaque fois que certains chercheurs ne pouvaient expliquer l’origine d’un toponyme, à savoir la volonté de voir des origines pré-indo-européennes ou des noms de personnes un peu partout. Intéressant mais pas non plus ce que j'attendais. [:petrus bah]
@Bouloche Le Foufounet : si le sujet t'intéresse et que tu veux aller plus loin, je te recommande "Apocalypse cognitive" de Gérald Bronner. Edifiant [:sweat] (et passionnant au passage)@Alaiya :
J'ai bien aimé le huitième livre, par contre [:dawa]. Les rejetons d'Harry et Drago ont un caractère bien différent de leurs géniteurs et bien qu'un peu bancale, l'histoire se suit sans déplaisir.
Les contes de Beedle le barde, c'est plus anecdotique. Hormis celui des trois reliques, aucun conte ne sort vraiment du lot.
D'un point de vue global, on peut dire que c'est une saga qui se tient bien. A nouveau, l'auteure avait bien tout calculé depuis le début et ça se sent sur pleins de petits détails de ci de là.
Bref, je suis quand même content d'avoir lu les livres après avoir vu les films [:poutpout]. Dans l'autre sens, ça peut se comprendre que les fans soient déçu que tout ne soit pas apparu dans les films.
Le sixième est, pour moi, celui qui est le plus dur à lire. Il a un côté glauque et poisseux qui me débecte toujours.
J'ai plus de reproches à faire sur le 7.2 qui évite soigneusement de trop égratigner Dumbledore. :o
Je l'ai détesté. Il y a tellement de passages où les personnages sont OOC, tellement d'incohérences, tellement de moment où t'as juste envie de te prendre le visage dans les mains. J'ai eu l'impression de lire une très mauvaise fanfic. [:aie]
La saga d'origine a vraiment été travaillée à fond. Sur Internet, on peut trouver encore des extraits de Pottermore où Rowling avait ajouté des arbres généalogiques, des notes sur ce que devenaient les personnages ensuite, etc. Après, l'appât du gain a fait que c'est parti un petit peu beaucoup en cacahouète et que Rowling a décidé de pousser la cohérence à la poubelle.
Jusqu'au film 3, je n'avais pas lu les livres et j'ai passé de très bons moments. Ensuite, j'ai lu les tomes et là, j'ai commencé à grincer des dents. [:lol] Ceci-dit, hormis le film 6 où je trouve qu'ils sont passés totalement à côté du propos du bouquin, ça reste de très bonnes adaptations, surtout compte tenu de la densité du matériel d'origine.
Je ne connais LAF que par les films mais ce que j'en retiens, c'est que Dumbledore semble lié à Grindelwald uniquement par son histoire d'amour, et non par une vision partagée de la société et de la politique.
Ah ça, si tu ne lis pas le livre, tu passes à côté de tout l'aspect peu reluisant du personnage, notamment sur son adhésion initiale à l'idéologie de Grindewald. D'ailleurs, c'est un sujet que le dernier film des Animaux fantastiques prend bien soin d'éviter aussi :o.
On dirait que c'est un avis assez généralisé concernant le huitième livre et, honnêtement, ça m'étonne beaucoup [:what]. Quels personnages sont OOC ? Harry est relou avec son fils (qui le lui rend bien) mais la saga a déjà montré que sa personnalité n'était pas mono-facette. Hermione a des idées crétines et indigne de sa prudence légendaire (une épreuve pour cacher le retourneur de temps, sérieux [:???]) mais elle a 40 ans désormais et n'a pas connu de réels dangers depuis des années, donc pourquoi pas... Reste Drago qui est.. gentil à sa manière. C'est déjà plus étrange qu'on lui pardonne son comportement raciste avec les moldus mais là aussi, les erreurs de jeunesse ça peut arriver. Pas vrai, Dumbi :haha:!?
D'accord pour les adaptations de qualité [:sarko]. Ce serait vraiment dur d'imaginer quelqu'un d'autre qu'Alan Rickman dans le rôle de Rogue. Bon courage au comédien qui devra reprendre le rôle quand la saga sera rebootée.
Je ne connais LAF que par les films mais ce que j'en retiens, c'est que Dumbledore semble lié à Grindewald uniquement par son histoire d'amour, et non par une vision partagée de la société et de la politique.
J'avais un peu plus détaillé dans ma critique ici : Locomotor mortis (https://www.senscritique.com/livre/harry_potter_et_l_enfant_maudit/critique/166720586)
Merci à vous deux. Les films semblent être des pâtisseries 0% en regard du contenu des livres.
D'accord pour les adaptations de qualité [:sarko]. Ce serait vraiment dur d'imaginer quelqu'un d'autre qu'Alan Rickman dans le rôle de Rogue. Bon courage au comédien qui devra reprendre le rôle quand la saga sera rebootée.
Je trouve qu'Adam Driver ferait un excellent Snape, du moins physiquement. C'est d'ailleurs tout ce que j'ai retenu de la postlogie Star Wars : chaque fois qu'il y avait Kylo Ren à l'écran, je me disais "bon sang, on dirait Snape jeune !".
Concernant l'accès à internet, il faut parfois s'en servir pour trouver une réponse (exemple taper une adresse qui renvoie à une vidéo).La fausse bonne idée qui, dans vingt ans, marchera plus. Comme pour certains vieux jeux américains où il fallait appeler un numéro fourni pour avoir un indice, mais que le numéro n'existe plus ou a été racheté par des services olé olé [:aie]
Revenant de vacances, j'ai commencé (à nouveau, car lu il y a 12 ans) les cantos d'Hypérion de Dan Simmons.Avec ce post, tu avais éveillé ma curiosité. Par conséquent, j'ai emprunté Hyperion à la médiathèque.
J'ai également vu quelque part que Bradley Cooper veut adapter cette saga, qui, ceci dit au passage, pourrait avoir un potentiel comme le fut la Communauté de l'Anneau il y a plus de vingt ans.
A chaque fois, j'ai envie de lui dire "Ok, sois dépressif. Mais tout seul, merci."Oh mais ça, ça marche avec n'importe quelle émotion : "OK, t'es heureux ! Mais t'étais pas obligé d'en faire un bouquin et de saouler tout le monde !!!" [:lol]
Oh mais ça, ça marche avec n'importe quelle émotion : "OK, t'es heureux ! Mais t'étais pas obligé d'en faire un bouquin et de saouler tout le monde !!!" [:lol]
On peut très bien envisager un style léger sur un fonds horrible. :o Je sais pas, genre une comédie romantique un peu loufoque qui narrerait la vie amoureuse d'un camp de concentration. Quoi ? Non ? [:???] [:what]Merveilleux ! J'achète ! [:aloy] Il suffit juste d'épicer un petit peu Papa Schultz et voilà.
On m'a présenté ça comme un classique : "Tu as aimé la Roue du Temps, il FAUT que tu lises ça !"
et pourtant, je suis allée au bout (13 ou 14 tomes, tudieu !).Je commence à peine le 1er tome (qui est une recueil des 3 premiers romans : L'Apprenti assassin, L'Assassin du roi et La Nef du crépuscule) et c'est un sacré beau bébé de plus de 1100 pages !
Je commence à peine le 1er tome (qui est une recueil des 3 premiers romans : L'Apprenti assassin, L'Assassin du roi et La Nef du crépuscule) et c'est un sacré beau bébé de plus de 1100 pages !
Et, si j'ai tout suivi, il y en a 4 des comme ça !
Autant dire que (si je lis tout), j'en ai pour un moment ! [:sweat]
(https://media1.tenor.com/m/-5B-JLo2q1cAAAAC/eminem-now-this-looks-like-a-job-for-me.gif)
Me voilà de nouveau désoeuvré. Je n'ai aucune idée de ce que je pourrai bien lire maintenant... [:what]
Me voilà de nouveau désoeuvré. Je n'ai aucune idée de ce que je pourrai bien lire maintenant... [img alt=[:what]]http://forum.saintseiyapedia.com/Smileys/custom/bigwhitetelephone.gif
Eh bien ma foi, si tu ne l'as pas déjà lue, je te recommande très vivement la trilogie de "La Mer Éclatée" de Joe Abercrombie, que j'ai vraiment adorée ! Franchement, ça faisait longtemps que je n'avais pas autant pris goût à ma lecture, j'ai dévoré les 3 tomes très rapidement (et en plus, ce sont des tomes de taille raisonnable, à savoir 400 pages en moyenne). Rythmée, avec de belles surprises et de chouettes personnages très bien caractérisés. L'univers med-fan est plutôt classique mais assez robuste. Le worldbuilding est globalement sans surprise (et ce qui est censé l'être ne l'est pas tant que ça quand on a lu beaucoup de fantasy :D ) mais ça se lit bien.
Et en plus, c'est bien écrit avec des dialogues aux petits oignons, ce qui ne gâche rien :o
Le tome 1 est très bien, le tome 2 est génial (le meilleur des trois), et le tome 3 est plutôt pas mal même si je me suis un peu moins attachée aux persos principaux du tome en question.