dans le genre, la politique de la Fondation Hergé n'est pas mal, non plus....
C'est hallucinant, les liens que tu as postés, Rincevent : du coup, en gros, c'est même plus possible pour tout un chacun de faire genre une critique de film/série/whatever étayée par des extraitsOui, ce que les anglophones appellent le "fair use" n'est pas reconnu en France et est même combattu comme la peste par les sociétés de droits d'auteurs françaises. Il y a même un auteur de vidéo qui, pour avoir utilisé dix secondes de vidéo protégée (sur une vidéo de 10 minutes), a vu sa vidéo monétisée... pour le compte total de l'ayant droit des dix secondes, et bien sûr, l'auteur de la vidéo n'a plus aucun droit sur la dite vidéo (il ne peut pas la supprimer, la modifier, etc.).
De toute façon, faudrait revoir de fond en comble le système des droits d'auteur parce que c'est juste devenu n'importe quoi: on en arrive à des extrémités du genre une école primaire qui s'était pris une amende parce qu'elle avait fait chanter à ses élèves je ne sais plus quelle chanson sous copyright sans reverser son obole à la Sacem [:facepalm] ( si si )
C'était "Adieux monsieur le professeur" et c'était à l'occasion du départ à la retraite d'un instit.Et Hugues Aufray avait d'ailleurs pris la défense de l'école et avait payé lui même l'amende.
C'est bien pour ça que je disais plus haut qu'il faudrait sérieusement revoir tout ce qui a trait au droit d'auteur. Notamment en rajoutant, par exemple, une clause qui stipulerait que l'artiste concerné doive forcément être consulté au préalable, puisque c'est quand même SON oeuvre à la base.Oui mais non. Surveiller ses droits c'est une très lourde tâche que ne pourraient supporter l'immense majorité des créateurs sans nuire à leur temps de création. C'est justement pour ça qu'existent les sociétés de perception de droits, pour gérer ce très lourd aspect administratif. Et dès lors qu'un artiste confie la protection de ses droits à une telle société, celle-ci n'a pas besoin de le consulter. Le problème c'est l'approche agressive du droit d'auteur et les atteintes constantes aux exceptions.
"Pourtant ça fait partie des nouveaux usages de l'Internet
Bientôt on va en arriver à ne plus pouvoir fredonner un air ou faire une imitation d'un acteur dans un film sans se faire agresser par un avocat à cheveux bleus et ses deux gorilles [:aie]Je te cite un intervenant qu'on a eu une fois : "Avec une œuvre, quelle qu'elle soit, c'est simple : par principe tout est interdit sauf très rares exceptions comme consulter des œuvres dans le cadre familial (mais pas avec des amis ou au boulot ni chanter au point qu'on puisse t'entendre de la rue), faire une courte citation, parodier. En dehors de ça vous n'avez le droit de rien faire."
Enfin, Saint Seiya ne risque pas d'être concerné par le domaine public avant longtemps.À supposer que Kurumada nous quitte cette année, il faudrait attendre 2086. [:petrus jar]
À supposer que Kurumada nous quitte cette année, il faudrait attendre 2086. [:petrus jar]
Du coup quand tu fais une soirée karaoké avec tes potes chez toi, c'est illégal ?Oui. Les chances d'avoir des ennuis sont quasi nulles mais c'est illégal.
Les AMVs sont clairement illégalesOui, aussi.
Interdire tout systématiquement, c'est vraiment abusé, par moments. S'ils ne peuvent pas faire des lois adaptées à chaque situation, autant faire des lois réalistes.Ah ça... Ils préfèrent faire des lois qui rapportent.
ça ne serait pas possible que chacun écrive (avec assistance d'une personne bien renseignée) une licence (similaire aux licences logicielles ou la Creative Commons ou je ne sais quoi d'autre) où il pourrait clairement préciser ce qui le gêne et ce qui ne le gêne pas. En clair, ils défendent ses droits un minimum selon son point de vue ?Pour te donner un exemple, il y a des auteurs étrangers qui avaient délibérément placés certaines de leurs œuvres dans le domaine public, et à leur mort leurs héritiers ont fait casser sans sans problème car le droit d'auteur ou copyright prenait le pas sur ces décisions.
il devait toucher combien de l'amende lui-même ? )Honnêtement j'en ai aucune idée. Pas grand chose, sans doute.
Le domaine du copyright c'est quand même un terrain[:aloy]envahibâti pas les hyènes ...
Sinon pour ta soirée entre amis ça va Mai : tant que ce n'est pas pour une manifestation, une école ou une commercialisation au grand public, c'est de l'ordre du privé, on peut diffuser.Non. Techniquement c'est restreint au cadre familial. Ou alors faut lâcher du pognon pour les droits. Après personne ne viendra l'emmerder, mais elle reste hors-la-loi.
Ou alors faut lâcher du pognon pour les droits.
J'imagine toutefois qu'ils en sont conscients, ils doivent juste gagner plus d'argents des procès avec leurs lois que de la manière conventionnelle (ventes).Non, ça ne va probablement pas jusque-là. Mais pour toutes les ventes qu'ils ne font pas à cause du piratage, les tipiakeurs de masse sur lesquels ils peuvent mettre la main prennent cher. Et tant pis pour les petits tipiakeurs et ceux qui ne veulent qu'illustrer leurs propos pour parler d'une œuvre, qui en subissent alors le contrecoup puisqu'eux non plus ne leurs auraient rien rapporté. Les youtubeurs, célèbres ou non, sont sans doute vus comme des parasites qui se font du blé grâce au travail des autres, d'où sanction.
Et vive les projets de loi qui servent à... RIEN (http://img15.hostingpics.net/pics/563456rien.jpg)
http://www.nextinpact.com/news/95230-loi-creation-fleur-pellerin-ne-veut-pas-definition-positive-domaine-public.htm (http://www.nextinpact.com/news/95230-loi-creation-fleur-pellerin-ne-veut-pas-definition-positive-domaine-public.htm)
Dans le même genre, j'avais dit plus haut qu'on n'avait pas le droit en France de photographier les bâtiments, mais c'est aussi le cas des œuvres de nos musées nationaux (aussi à l'étranger) qui tentent d'appliquer un copyright sur les œuvres qu'ils détiennent. Du coup, tu veux faire un article sur un tableau, tu demandes la permission.Spoiler (click to show/hide)
EDIT : tiens ! La dernière vidéo d'Usul a été bloquée par France Télévisions ! [:paraevil] [:rage]Mais elle est toujours sur Dailymo :
http://youtu.be/yMOlTGHpZKg (http://youtu.be/yMOlTGHpZKg)
Hum ... Bon, je me considère pas comme auteur tant que je n'ai pas publié un livre mais hum ... Mes textes, c'est pas 60 pages techniques mais environ 300-400 ... Y en a bientôt cinq volumes.Je ne suis pas auteur non plus, et j'ignore si certains le sont ici en dehors de la bd qui a des contraintes particulières en termes de temps et de travail (maintenant le dessinateur doit scanner lui-même ses pages en plusieurs fois en qualité professionnelle pour les envoyer à l'éditeur, me semble-t-il).
Est-ce que ça serait vraiment la meilleure idée, etc ?
Enfin, je demandes ça car je m'y connais pas forcément trop. ^^
La Fondation Hergé c'est encore pire ... qui fait des procès à tour de bras dès lors qu'on ose ne serait-ce que citer Tintin quelque part
Voilà qui vient mettre une épine dans leur pied :Parfois, un petit smiley vaut mieux qu'un long discours...
http://www.rtbf.be/info/medias/detail_moulinsart-perd-son-proces-contre-un-fan-club-neerlandais-de-tintin?id=9000908
La Fondation Hergé c'est encore pire [...] qui fait des procès à tour de bras dès lors qu'on ose ne serait-ce que citer Tintin quelque partD'ailleurs, par ta faute, pour avoir cité Tintin sans autorisation, la Fondation Hergé vient d'intenter une procédure en justice contre le forum ! ;)
Voilà qui vient mettre une épine dans leur pied :
http://www.rtbf.be/info/medias/detail_moulinsart-perd-son-proces-contre-un-fan-club-neerlandais-de-tintin?id=9000908
c'est bien fait pour leur gueule.
Voilà qui pourrait susciter l'envie chez tous ceux qui ont payé pour l'utilisation de vignettes d'en réclamer le remboursement à Moulinsart. C'est ce qu'explique un spécialiste d'Hergé et professeur de publicité à l'IHECS, Jean-Claude Jouret, au micro de la RTBF:
"Ceux qui ont payé, effectivement, des droits pour l’utilisation de l’image de Tintin à la Société Moulinsart seront probablement amenés à récupérer ces droits, ou en tout cas à revendiquer la récupération de ces droits et, dorénavant, effectivement, c’est auprès de l’éditeur Casterman que ces demandes devront être adressées. Le tout est de voir maintenant le délai qui va s’écouler entre les demandes et les applications de ces différents jugements".
Ah le gros parasite ! Mais dans la mesure où il pioche des fanfics et qu'il les commercialise telles quelles, il risque malgré tout des ennuis.Tu m'ôtes les mots de la bouche :
Surtout que rien qu'avec les titres on peut voir que ça lui aurait rien couté (ni temps, ni argent, ni migraine à force de réflexion) d'écrire les siennes.
Mais toi Alaiya, il t'en a volé?
Une récente décision de justice a en effet estimé que les musiques sous licence libre sont bien soumises à la redevance appelée « rémunération équitable » instaurée pour compenser les titulaires de droits voisins pour la diffusion publique de musique enregistrée. Cela veut dire que même si un artiste veut autoriser complètement librement la réutilisation de sa musique (et ils sont nombreux à le faire, notamment ici), y compris à des fins commerciales, il ne le peut plus en France. Des sociétés de gestion collective (SACEM, SPRE) vont pouvoir prélever une dîme au passage, ce qui signe l’impossibilité juridique de mettre en partage sa création.
Une idée comme celle de la licence de panorama n’est au fond qu’une forme de résurgence des visées que poursuivent aujourd’hui les maximalistes les plus acharnés du droit d’auteur pour atteindre les intermédiaires techniques. Ils cherchent à faire peser des menaces sur des acteurs comme Youtube pour les transformer peu à peu en une « police privée du droit d’auteur ». Et aujourd’hui, même des acteurs comme Wikipédia ne sont plus à l’abri, que l’on voudrait soumettre au nom du droit d’auteur à une sorte de « gabelle numérique »…
Ah ouais, pas mal... [:sweat]Pour reprendre une quote de DTC que j'ai linkée dans les conneries du Net, il faudrait plutôt parler de "filsdeputerie" que de cynisme. [:aloy]
On atteint un beau niveau de cynisme, là...
je croirais volontiers à une mauvaise blague d'un gamin pour cette affaire <w<
Se prêter des livres entre particuliers, c'est maaaaaaaaaaaaaaal (http://www.simpsonspark.com/framegrabs/3f03/thumbs/frame065.jpg)@AZB : Un article très intéressant analyse l'histoire :
https://www.actualitte.com/article/monde-edition/la-start-up-booxup-visee-par-une-enquete-de-la-brigade-de-repression-des-fraudes/60403
Quelqu'un sait si Vive le vent/Jingle Bell est sous copyright ? (Ceci est une question sérieuse).Pour Vive le vent, la version française donc, c'est Francis "touche pas au grisbi salope" Blanche qui l'a enregistré en 1948. Blanche est mort en 1974, donc les droits s'éteindront normalement au premier janvier 2045.
Oui, sauf qu'on ne parle pas d'un bouquin lambda. C'est quand même LE livre qui a posé les bases du pire crime de toute l'Histoire de l'Humanité. Et l'annonce de sa prochaine réédition, même si c'est une édition commentée, génère déjà des polémiques.Les polémiques viennent justement du fait qu'on s'excite pour un rien. Si les médias et les intellectuels arrêtaient de se sentir obligés de l'ouvrir sur des sujets comme ça, ça permettrait peut-être d'aborder certaines questions sans passer pou un connard. J'ai le manifeste du Parti Communiste chez moi, ça ne fait pas de moi un communiste, donc je ne vois pas en quoi poser les yeux sur un exemplaire de Mein Kampf transformerait automatiquement quelqu'un en suppôt de l'enfer.
D'accord avec Le Passant. De plus, je persiste et signe : tape "Mein Kampf français" sur google. Tu vas trouver des trads juste après le premier lien wikipédia. Quiconque veut le lire déjà n'a pas à se fouler, et ce depuis des années. Ca ne va pas changer grand chose qu'il soit édité de façon officielle, à part comme je l'ai dit, qu'au moins on aura des trads avec commentaires.+1
Après, entièrement d'accord avec Walker et Rincevent. Surtout qu'on ne peut pas être influencé par un livre à moins d'être prêt à l'être.
Et puis même s'il y a des gens bien intentionnés qui en feront des éditions commentées sérieuses, il y a aussi le risque de voir paraître des éditions plus douteuses quant à la sincérité de leurs intentions.
Et puis même s'il y a des gens bien intentionnés qui en feront des éditions commentées sérieuses, il y a aussi le risque de voir paraître des éditions plus douteuses quant à la sincérité de leurs intentions.Ca c'est un autre problème, un risque réel malheureusement.
Pour donner un exemple célèbre, les manuscrits de la Mer Morte ont longtemps été considérés par le public (et les médias...) comme "la vérité que l'Eglise veut cacher" car les textes n'étaient pas disponibles. En réalité, ces textes n'avaient rien de secret, ils étaient juste toujours en cours d'études par les différents instituts chargés de leur traduction. Mais comme rien ne venait, c'est devenu un mythe complotiste.Soit dit en passant, certaines personnes ont involontairement contribué à la construction de ce mythe en faisant intervenir les fameux manuscrits dans leurs œuvres de fiction. [:aie]
J'ai le manifeste du Parti Communiste chez moi, ça ne fait pas de moi un communiste, donc je ne vois pas en quoi poser les yeux sur un exemplaire de Mein Kampf transformerait automatiquement quelqu'un en suppôt de l'enfer.
(je ne retrouve pas l'article)
They called my publicist about some bullshit ass story. It's just sad. Now I'm letting y'all know it's bullshit!
Savoir si Chris Brown lui-même avait connaissance du plagiat n'est vraiment pas la question.
Il est même probable, comme l'a souligné SSK, qu'il ne connaissait pas l'image d'origine et qu'il a juste validé une image préparée par un mec payé pour ça.
Le soucis est bel et bien le mépris affiché.
Hey, mec, même si tu ne savais pas, même si tu t'en fous du manga, même si ce n'est pas toi directement qui a plagié l'image, même si tu t'en tapes monumentalement, même même même, c'est TON nom qui est sur la pochette. Donc, à un moment ou un autre, c'est de TA responsabilité que les mecs qui bossent pour TOI fasse leur job correctement et dans le respect des lois.
C'est certes plat, mais plus respectueux et professionnel que sa réaction ^^Pourtant, Chris Brown est connu pour son professionnalisme et son respect, c'est curieux ! ;) [:aie]
Problème, parmi ces BGM figure le fameux morceaux "Ulysse terrasse le cyclope", qui n'est en fait qu'une reprise légèrement modifiée du remix disco/funk de "Battle in the Snow", lui-même tiré d'une compo de Williams pour Star Wars~The Empire Strikes Back.
Vladimir Cosma aussi est pas mal, dans le genre. Ils ont halluciné chez Loga-rythme, quand ils l'ont contacté pour récupérer les musiques des Mondes Engloutis..."alors tel morceau, c'est sur la B.O de 'La Chèvre', tel morceau sur celle du 'Grand blond avec une chaussure noire'...." :DAu hasard des rebonds sur youtube, je tombe sur le film servant de pilote à la série She-Ra (la frangine de Musclor) et commence à regarder ce monument kitchissime. Au bout d'un moment, mon oreille réagit. La bande-son comprend des morceaux tirés des Merveilleuses cités d'or (Les souterrains, La tempête, accélérée, peut-être d'autres) !
Je n'arrive pas à mettre un nom sur la chanson pompée, mais oui ça me dit quelque chose, en effet.
En l'occurrence là ça vient pas du gouvernement mais d'une société de gestion des droits.Certes, ça ne "vient" pas du gouvernement... mais il brille par son silence ! :o
Mouais... [:tsss]Pas si "cohérent" que ça... ils profitent d'un énorme flou juridique là où il devrait y avoir une distinction entre une manifestation avec droit d'entrée pour le public et rémunération des artistes, et une manifestation totalement gratuite où le ou les intervenants sont bénévoles. Mais on est d'accord sur le reste, c'est immoral. Heureusement un simple amendement devrait suffire pour rendre cette loi plus juste et sortir les bibliothèques de cet intolérable porte-à-faux.
"Juridiquement" cohérent... mais moralement et "culturellement" abject...
Eh ben ça va être bien, ces futurs jeux dont on n'aura pas le droit de prononcer le nom pour des histoires de droits.
https://scinfolex.com/2017/10/09/les-jeux-olympiques-de-paris-sombreront-ils-dans-la-folie-de-la-propriete-intellectuelle/
Ben il l'avaient déjà fait à Londres donc ils vont pas se gêner pour Paris, je pense.Et c'est déjà le cas aussi depuis bien longtemps pour la coupe du monde de football, ou personne/aucun commerce à part les sponsors officiels ne pas utiliser le logo, le design du ballon, etc.
http://www.lemonde.fr/jeux-olympiques/article/2012/07/24/a-londres-le-cio-joue-a-big-brother-au-service-de-ses-sponsors_1735959_1616891.html
Elle a pas aussi dit que les véhicules à moteur disparaîtraient de Paris dans quelques années ? Ca va être pratique pour le transport de marchandises.Si les véhicules n'ont pas de moteur, ils avancent comment ? Voitures à pédales ? [:aie]
Il habite bien sûr au centre-ville. :DBien entendu ! [:lol]
Elle a pas aussi dit que les véhicules à moteur disparaîtraient de Paris dans quelques années ? Ca va être pratique pour le transport de marchandises.Oui mais Paris retrouvera certainement son lustre d'antan avec tous ces chevaux qui en déambulleront dans les rues dès potron-minet. Prévoir des bottes et faire gaffe au crottin. [:aie]
Le cas s'était présenté avec le Nyctalope, qui s'il a bien figuré dans la Brigade Chimérique, a dû changer de nom (et de surnom) pour la reprise suivante qui est devenu l'Oeil de la Nuit. Vu l'âge du personnage, il était probablement dans le domaine public, donc je ne vois pas d'autres explication à un tel changement brusque.En fait, je suis allé regarder, et du coup le droit d'auteur c'est 70 ans après la mort de l'auteur. Sachant que l'auteur du Nyctalope est mort en 1956, ce n'était donc pas encore dans le domaine publique.
En fait, je suis allé regarder, et du coup le droit d'auteur c'est 70 ans après la mort de l'auteur. Sachant que l'auteur du Nyctalope est mort en 1956, ce n'était donc pas encore dans le domaine publique.Ah merci pour l'info, ce qui explique que les ayant-droits ait pu bloquer la réutilisation du personnage pour une œuvre et pas l'autre, alors que sur le fond il n'y a pas de différence notable dans le traitement et que les auteurs sont les mêmes.
Ces durées sont vraiment trop longues...
Heureusement que ces gens ne sortent jamais de leur pays
Heureusement que ces gens ne sortent jamais de leur pays, la vision des restaurants asiatiques, africains, moyen-orientaux à tous les coins de rue en France les rendrait sûrement fous.Pas que chez nous. Il me semble que c'est encore pire chez les Britanniques (j'imagine mal les communautés indo-pakistanaises refouler les clients blancs, ça serait se tirer une balle dans le pied). Ceci dit je pense que dans ce sens-là il ne doit pas y avoir de problème vu que c'est toujours du pognon qui rentre, ce qui gêne c'est de penser qu'on mange comme un blanc. Après je peux tout-à-fait comprendre les problèmes de revenus, qu'il est possible éventuellement de remplacer des légumes "de blanc" [ ::)] par des équivalents plus "community friendly". Mais ça reste débile d'attribuer une ethnie à de la bouffe. C'est du même tonneau que certains qui parlaient d'art nègre (j'ai utilisé le mot interdit !)...
Mais dans ce cas, faudrait-il par exemple interdire les productions artistiques (alsaciennes en autre) fortement inspirées de l'art japonais mais qui pourtant remontent à la fin du XIX° siècle ?C'est là que ça commence à devenir glissant, n'est-ce pas ? C'est pour ça que je suis en faveur d'une restriction de la durée de droit d'auteur dans le temps, des commons, etc. Pour éviter ce genre de situations ubuesques.
L'idée de protéger des motifs ou des techniques, c'est une chose, mais interdire l'inspiration ou la ressemblance...
Je crois qu'AZB faisait allusion à l'article linké par Sergorn, Rincette. [:aloy]Mais lui-même peut aussi se rattacher au sujet : des afro-américains rejettent la diététique car perçue comme étant culturellement blanche. Ce qui est débile. Même si la gastronomie est éminemment culturelle, la diététique ne l'est pas.
Je n'arrive pas à me faire une opinion sur cette approche de ce qui n'est, au fond, qu'une relecture. D'un côté, oui effectivement signaler à l'auteur qu'il met les pieds dans le plat et peut donc s'attirer les foudres d'une partie de son lectorat ça peut être bien, d'un autre ça me met mal à l'aise qu'on instaure un filtre moral (ou plutôt un détecteur d'emmerdes à SJW ?) pour les livres en cours d'écriture :
https://www.actualitte.com/article/monde-edition/les-sensitivity-readers-nouvelle-censure-ou-gage-de-respect/93919
Si un "œil" extérieur permet de signaler de manière neutre à l'auteur qu'il met les pieds sur un terrain miné, qu'il risque de choquer et qu'il devrait peut-être proposer une approche différente, pourquoi pas.Les meilleurs auteurs sont ceux qui ont choqué leur époque ! C'est justement en mettant les pieds dans un plat que tout un chacun s'ingénie à contourner en minaudant que les esprits sont bousculés et qu'il en reste quelque chose au final.
Pour Marjorie Ingall, la haine que peut attiser ce nouveau métier émane principalement d'hommes blancs, non issus de minorités, qui ne peuvent pas comprendre qu’un passage puisse toucher et offusquer un certain public.
Il est quand même bien pratique ce white-cis male, s'il n'existait pas, il faudrait l'inventer !Ce que j'aime bien avec cet argument, c'est qu'il écarte immédiatement la possibilité qu'un blanc puisse se sentir gêné, pour une raison ou pour une autre, par un passage qui décrirait sa "communauté". C'est pratique, ça évite d'avoir à se justifier le jour où un néo-nazi, par exemple porte plainte qu'on pointe méchamment du doigt son idéologie minoritaire.
Les meilleurs auteurs sont ceux qui ont choqué leur époque ! C'est justement en mettant les pieds dans un plat que tout un chacun s'ingénie à contourner en minaudant que les esprits sont bousculés et qu'il en reste quelque chose au final.Oui oui. Je me suis mal exprimé.
Je n'arrive pas à me faire une opinion sur cette approche de ce qui n'est, au fond, qu'une relecture. D'un côté, oui effectivement signaler à l'auteur qu'il met les pieds dans le plat et peut donc s'attirer les foudres d'une partie de son lectorat ça peut être bien, d'un autre ça me met mal à l'aise qu'on instaure un filtre moral (ou plutôt un détecteur d'emmerdes à SJW ?) pour les livres en cours d'écriture :
https://www.actualitte.com/article/monde-edition/les-sensitivity-readers-nouvelle-censure-ou-gage-de-respect/93919
Il est de toute manière absolument utopique de vouloir ménager la susceptibilité de 7 milliards d'êtres humains :oMénager la susceptibilité, c'est absolument bien résumé. Exemple récent : ne plus étudier Huckleberry Finn parce qu'il y a le mot nègre dedans. Le fond de l'histoire ? On s'en fout que ça parle d'un gamin blanc et pauvre qui apprend progressivement à respecter un esclave noir en rejetant les préceptes de son époque. Y a le mot nègre, qu'on vous dit ! Et c'est tellement pas bien qu'il faut bannir cette œuvre impie ! [:kred] ::)
Après, ça vient des États-Unis où le niveau de pudibonderie est particulièrement intense au point que les établissements scolaires (secondaires et particulièrement primaires) ainsi que les bibliothèques font l'objet de harcèlement de la part de citoyens multipliant les initiatives pour faire disparaître tout ce qui a trait à la trinité diabolique : homosexualité (et même sexualité tout court), dérèglement climatique, critique de la religion. On pourrait donc se dire que le problème est très localisé mais non, ça arrive aussi parfois par chez nous.
Aujourd'hui, le même mot a pris une connotation d'injure raciale, et sa lecture dans les salles de classe aurait des effets néfastes, assurent Verlina Reynolds-Jackson et Jamel Holley, deux membres démocrates de l'Assemblée générale. « L’utilisation par le roman d’une insulte raciale et sa description d’attitudes racistes peuvent amener les élèves à se sentir bouleversés, marginalisés ou humiliés et peuvent créer une atmosphère inconfortable en classe »,D'où l'importance de la mise en contexte...mais je crois que c'est une notion dépassée de nos jours.
ça me donne envie d'insulter tout le monde ces conneries.D'accord mais n'emploie rien de pire que "saperlipopette", sinon tu vas choquer la sensibilité des gens.
D'accord mais n'emploie rien de pire que "saperlipopette", sinon tu vas choquer la sensibilité des gens.Cornebidouille ! (http://alloveralbany.com/images/Angry%20kid.jpg)
Tain, ils commencent tous à me gaver avec leurs susceptibilités diverses et avariées, ça me donne envie d'insulter tout le monde ces conneries.
Une société où tout un chacun ne veut plus voir que ce qui lui plaît : le filtre qu'on crée sur les réseaux sociaux s'étend progressivement à la vie réelle pour laquelle on ne tolère plus qu'elle ne soit pas conforme à ce qu'on attend. Du coup tout le monde a sa définition de ce qui est vrai ou faux et ne tient aucun compte de l'opinion des autres puisque, de toute façon, ils ont tort.C'est e-xac-te-ment ça. Merci de l'avoir synthétisé de la sorte. Et plus encore que ce constat ainsi que l'exemple de Tom Sawyer, ce qui m'inquiète c'est le fait que dans nos contrées, certains aient la tentation de s'engouffrer dans cette voie vers la facilité qui nous vient des USA. Et franchement... je ne veux pas ! [:onion no]
J'ai déjà vue des gens sur tumblr devenir hystérique si quelqu'un utilisait le mot niger dans une conversation pour expliquer pourquoi c'est offensant pour les noirs américains.Attends, les gens s'énervent contre celui qui explique pourquoi ils s'énervent ? A ce niveau il n'y a plus ni reflexion ni compréhension, c'est juste pavlovien.
C'est à se demander si [insérer n'importe quelle matière] de leur pays leur est enseignée *snip* ?Corrigé. :o
On peut comprendre leurs problèmes sociaux, c'est pas la question, mais on n'est pas peut-être pas de se croire obligé de les dupliquer, non ? Si ?On en revient à cette étrange habitude de copier ce qui se fait là-bas. Que les gens vomissent les States ou les admirent (parfois sans vouloir l'avouer) le résultat est de même : ils font un truc, ça semble marcher et tout le monde s'y met, par contagion.
C'est à se demander si l'histoire de leur pays leur est enseignée pour de bon ?
A l'époque où j'étais allé aux États-Unis, j'avais vu des bouquins scolaires et c'est exactement ce que dit Megrez.
Je ne sais pas si ça a changé mais je l'espère. :o
Critiquer, même légèrement, les Etats-Unis c'était courir le risque de se voir accuser d'anti-patriotisme.
Pour ça que ce genre de généralisation est assez malvenue au final.Tu as raison. Toutefois, le fait est que les généralisations c'est comme la fumée : c'est qu'il y a un feu quelque part :o Une généralisation ou un stéréotype ne surgit pas comme ça, pouf, de nulle part. L'expérience montre qu'une généralisation naît bien souvent de quelque chose qui est tellement visible que cette visibilité l'emporte sur tout ce qui ne l'est pas mais qui n'existe pas moins.
Le parlement européen a adopté la nouvelle directive. On peut s'attendre à un recadrage brutal de la part des plates-formes comme youtube, qui filtreront à mort plutôt que de risquer de devoir rémunérer. [:fufufu] Enfin bon on verra bien sur le long terme comment ça va se passer. [:petrus bah]
https://www.archimag.com/vie-numerique/2019/03/26/parlement-europ%C3%A9en-adopte-nouvelle-directive-droit-auteur
https://www.actualitte.com/article/lecture-numerique/europe-le-parlement-de-strasbourg-adopte-la-directive-sur-le-droit-d-auteur/94028
Perso je serais d'avis de supprimer le droit d'auteur. Mais complètement.
Ça veut surtout dire que les tous les youtubeurs qui utilisaient des bouts de musique, de films, des images (etc.) ne leur appartenant pas verront les revenus de leurs vidéos aller directement aux ayants-droits légitimes ou se faire bloquer. Même si c'est juste un morceau de cinq secondes, c'est toute la vidéo qui sera démonétisée. Du coup les youtubeurs pro, pour rester sur cet exemple, vont soit s'auto-censurer soit diffuser de la pub pour compenser le manque à gagner (cf JdG). Et là les plate-formes ne vont pas s'emmerder à faire du cas par cas, à vérifier que ça c'est autorisé par la loi française comme le dit ce youtubeur français ou ça c'est légal en Suède, ils vont juste faire tomber le couperet et tant pis pour le créateur. De mon point de vue, ça n'est ni bien ni mal, ça va juste être chiant pour les chaînes youtube qui utilisent beaucoup d'éléments créés par d'autres ou qui parlent de sujets qui fâchent (politique, violence, sexualité et religion).
Vrai qu'on pense au JdG qui a bossé des semaines et avec des investissements colossaux sur sa vidéo Harry Potter... qui s'est fait ENTIÈREMENT démonétisée pour quelques secondes de l'OST du film. Pire ! Je crois que c'est les grosses maisons d'édition qui récoltent la totalité des fruits de son labeur...
Ouais enfin si l'Europe savait être un peu efficace pour ces questions-là, ça se saurait [:dawa]Le fait est que l'Europe fait beaucoup de choses, mais comme c'est lourd, compliqué et illisible car la majorité du temps ultra-juridique, ça n'intéresse pas grand monde. Toujours est-il que sans elle, on serait probablement soumis à la règlementation anglo-saxonne sur beaucoup de points (du moins plus qu'actuellement), et je suis pas sûr qu'on y gagnerait.
Perso ce qui m'énerve, c'est ceux qui considèrent qu'ils doivent automatiquement palper pour la moindre utilisation même partielle qui est faite de leur œuvre. Ben non.Ben si, justement. Parce que si tu considères que "oh ça va, c'est juste un générique de trente secondes sur une chanson de plus de deux minutes", ben au final l'ayant-droit, quel qu'il soit, perd ses revenus. Après, sur le principe, je ne suis pas choqué non plus que les youtubeurs pro doivent verser un petit quelque chose pour un truc qu'ils repompent. Là où ça me dérange nettement plus c'est quand ils perdent TOUT pour un seul effet sonore ou visuel détecté.
y'a un droit à la citation dans le droit Français il me semble, non?Mais ils s'en cognent du droit français, du droit de citation comme du droit de caricature, justement. Nous youtube, nous Californiens, loi californienne s'appliquer. Toi Européen, toi aller te faire foutre.
Ben si, justement. Parce que si tu considères que "oh ça va, c'est juste un générique de trente secondes sur une chanson de plus de deux minutes", ben au final l'ayant-droit, quel qu'il soit, perd ses revenus.
Ouais enfin quand il s'agit d'un truc qu'a été rentabilisé depuis belle lurette, c'est un peu déplacé de réclamer encore du pognon [:fufufu] Logiquement c'est pas censé être une rente à vie, non plus ::)Et si ! [:happy1] Dis-toi même qu'en plus c'est une rente qui continue pour tes héritiers, pendant soixante-dix ans ! [:jump] [:smogl]
La situation est tellement ridicule que je ne comprends pas pourquoi les artistes ne demandent pas une réforme :/Ah mais il n'arrêtent pas, ils ne cessent de la réclamer au ministère de la culture, à Macron, etc.
C'est des absurdités comme ne pas pouvoir utiliser ce que tu as acheté de la façon qui t'arrange, de ne pas pouvoir regarder un film que tu as acheté sur le matériel de ton choix, ou de le regarder avec des amis. C'est de ne pas pouvoir imprimer un livre que tu as acheté en version électronique pour pouvoir le lire sur ton lit le soir avant de dormir. C'est de ne pas pouvoir citer le livre d'un tel (tout en respectant sa propriété intellectuelle, lui attribuer la référence comme il se doit), ou illustrer ton propos par l'œuvre d'un autre (ce qui peut lui faire de la publicité, ce n'est pas forcément que de parodie qu'on parle). C'est toutes ces interdictions irrationnelles des plus simples formes d'utilisation. L'art est une communication, on crée rarement pour que les gens regardent et passent à autre chose; l'art est censé générer des discussions et des interactions.
Avec attentat à la pudeur en prime [:shinobu1] [:trollface]Dis que tu filmais un clip. Après toutes les Beyoncé et autres pouffes qui tortillent du popotin, pourquoi pas toi ? :o
C'est de ne pas pouvoir citer le livre d'un tel (tout en respectant sa propriété intellectuelle, lui attribuer la référence comme il se doit), ou illustrer ton propos par l'œuvre d'un autre (ce qui peut lui faire de la publicité, ce n'est pas forcément que de parodie qu'on parle).Légèrement HS, mais une personne que je connais qui prépare sa thèse d'histoire me raconte régulièrement à quel point le monde universitaire est puant. Je le savais aussi par divers articles lus ici et là, mais l'autre jour elle me racontait que sa directrice lui interdisait carrément de citer certains auteurs. Juste parce qu'elle ne les aime pas. [:petrus] [:petrus yes]
Je comprends mieux les histoire de sensitivity reader quand je lis... ça.
https://www.liberation.fr/sexe/2019/04/02/trigger-warnings-des-avertissements-sans-dangers_1718807
Attention, cet article peut potentiellement choquer le petit être émotionnellement fragile que vous êtes en remettant en cause vos conceptions. Si vous n'êtes pas prêt à penser par vous-même, ne cliquez pas. :oSpoiler (click to show/hide)
«je ne [voulais] pas débattre; je [voulais] parler de ma souffrance».
«étudier les arts est une expérience émotionnellement éreintante»
«Comme tant de textes du canon occidental, [ce livre] est constitué d’un contenu qui offense et déclenche [sic], et qui marginalise les identités des étudiant.e.s dans la salle de cours.»
en 2015, lors d’une fête de Halloween censée être «stigma-free» (sic), deux enseignants de Yale font aux étudiants la recommandation suivante : «si vous voyez quelqu’un porter un costume qui vous déplaît [si un garçon blanc se travestit en femme noire, par exemple], dites-lui que vous désapprouvez son attitude (au lieu d’appeler la police ou de chercher à interrompre la soirée).» Leur conseil cause un scandale tel que les professeurs finissent par démissionner.Appeler la police à cause d'un costume ? [:aie] [:aie] [:aie]
De toute façon, si quelqu'un avait chouiné, le prof (qui était du genre Severus Snape) leur aurait balancé un cinglant "if that offends you, go back to 6e. I only deal with adults in my class".Aujourd'hui il serait contraint à démissionner, comme les deux profs qui ont eu l'outrecuidance de suggérer d'aborder la personne pour évoquer son malaise. [:petrus]
(https://i.imgur.com/9MzCXFO.gif)Mieux, on le jette dans la Fosse des Mariannes, endroit le plus profond des océans, et on y jette avec eux ces cons de pseudo psys qui ont provoqué cette situation absurde avec leurs recommandations à la noix de coco. Oui, tous ceux qui disent qu'il ne faut pas punir un enfant et qu'il faut lui cacher la réalité pour le "préserver". [:poutpout]
Mais qu'on les enferme dans un safe-space en béton et qu'on les jette au milieu du Pacifique...
Aujourd'hui il serait contraint à démissionner, comme les deux profs qui ont eu l'outrecuidance de suggérer d'aborder la personne pour évoquer son malaise. [:petrus]
Et le pire, c'est que 1995 = les stagiaires qu'on prend depuis 2 ans et, donc, les nouveaux embauchés. Dès qu'il y en a un qui manifeste ne serait ce que du bout des lèvres ce genre de "réflexions", je le stoppe net dans son élan. Mais ce que je vois sur le net depuis quelques années ne m'incite guère à l'optimisme et je crains qu'à terme nous ne soyons obligés de subir en masse des comportements qui nous feront regretter le napalm et ses effets si merveilleusement définitifs :o@Alaiya , sérieux, tu as des stagiaires qui osent se permettre de sortir des choses comme ça en milieu professionnel ? [:lol]
«L’argument est toujours le même : les professeurs devraient avertir leurs élèves de la présence de déclencheurs potentiels dans les œuvres ou les idées qu’ils vont enseigner, ce qui permettrait à qui le souhaite de ne pas ouvrir le livre, ni voir le film, ni contempler le tableau, etc. La demande de mise en garde n’est pas d’abord une préparation des esprits à un contenu «perturbant» mais comprend un droit de s’abstenir, par avance et principe, de toute étude jugée possiblement non conforme à son identité.» Si un étudiant afro-américain, par exemple, estime que des photos d’esclaves pourraient le choquer, il est en droit de ne pas assister aux cours d’histoire. Plus grave : si une femme estime qu’un tableau est offensant (Thérèse rêvant, de Balthus, par exemple), il faut que ce tableau soit retiré du Musée.
@Alaiya , sérieux, tu as des stagiaires qui osent se permettre de sortir des choses comme ça en milieu professionnel ? [:lol]On était en train de discuter sur je ne sais plus quel sujet, il a dit un truc et j'ai entendu le mot "stéréotype" : ni une ni deux, en mode pseudo déconne, je lui ai rappelé qu'il était au milieu de vieux cons et qu'il allait devoir faire avec [:lol]
Oui, j'ai été un chouïa traumatisée. D'ailleurs, j'aurais du mieux lire les avertissements de @Rincevent parce que je suis toute tourneboulée maintenantOui j'aurais dû me souvenir que tu est émotionnellement très fragile et inapte à encaisser de tels chocs, je suis vraiment impardonnable pour avoir oublié ça. :o Là, là, pense à DM qui nettoie l'épée de Shura, ça ira mieux. ^^
Vraiment, ce monde aseptisé où tout le monde il est beau tout le monde il est gentil que cette génération de DÉBILES veut nous imposer de force, j'en peux plus [:aku4]Au delà de ça, je vois un autre problème : s'ils refusent catégoriquement de ne serait-ce que voir, lire, entendre, visionner une source qui traite d'un sujet qu'ils n'aiment pas : comment peuvent-ils avoir la MOINDRE information dessus ? Pour connaître un événement, un texte, un concept, il faut s'y confronter. On ne peut pas rejeter d'office quelque chose qu'on appréhende pas. C'est la définition même de l'intolérance et de l'obscurantisme.
On était en train de discuter sur je ne sais plus quel sujet, il a dit un truc et j'ai entendu le mot "stéréotype" : ni une ni deux, en mode pseudo déconne, je lui ai rappelé qu'il était au milieu de vieux cons et qu'il allait devoir faire avec [:lol]
La diversité est une richesse. Je propose de créer "La semaine de la Diversité" ou celle-ci sera célébrée à l'image de "Strasbourg mon Amour" : séances photos, conférences pluridisciplinaires (ex: comprendre la coloration noire de la peau d'un point de vue évolutif et biologique, histoire de la communauté LGBT, discriminations et maladies mentales,etc...), réunion des élus pour faire un point sur le respect de la diversité au sein de l'UNISTRA. Si vous avez d'autres suggestions sur le contenu de cette semaine spéciale, n'hésitez pas! :)J'avoue ne pas comprendre. Intégrer les gens en les pointant du doigt ? Ce serait pas plus intelligent de se fondre dans la masse ?
Au delà de ça, je vois un autre problème : s'ils refusent catégoriquement de ne serait-ce que voir, lire, entendre, visionner une source qui traite d'un sujet qu'ils n'aiment pas : comment peuvent-ils avoir la MOINDRE information dessus ? Pour connaître un événement, un texte, un concept, il faut s'y confronter. On ne peut pas rejeter d'office quelque chose qu'on appréhende pas. C'est la définition même de l'intolérance et de l'obscurantisme.
Plus grave : si une femme estime qu’un tableau est offensant (Thérèse rêvant, de Balthus, par exemple), il faut que ce tableau soit retiré du Musée.
En droit français, le mot « plagiat » n'existe pas en tant que tel. Il serait vain de le chercher dans les textes12. Le terme légal exact est la contrefaçon, définie par L. 335-3 du Code de la propriété intellectuelle comme « toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d’une œuvre de l’esprit en violation des droits de l’auteur, tels qu’ils sont définis et réglementés par la loi ». En clair, toute utilisation d'une œuvre sans autorisation de l'auteur ou ses ayants droit constitue une contrefaçon et peut être punie. Sachant que juridiquement, la notion d’œuvre est très large : toute création originale constitue une œuvre, il ne s'agit pas seulement des « œuvres d'art ». La beauté n'est d'ailleurs pas un critère de la protection de l’œuvre. En revanche, la propriété intellectuelle ne porte que sur la création de forme originale, pas sur la simple idée ou concept qui l'a guidée.https://fr.wikipedia.org/wiki/Plagiat#En_droit
La limite entre la contrefaçon et la simple inspiration ou l'hommage est parfois difficile à déterminer. Il existe des limites au délit de contrefaçon, notamment le droit de citation, qui permet de reproduire un court extrait d'une œuvre sans autorisation de l'auteur, à condition que celui-ci soit crédité. Cependant, cette exception n'est pas généralisable : il ne suffit pas pour le plagiaire de citer l'auteur original pour échapper à l'accusation de contrefaçon. Si c'était le cas, les droits de propriété intellectuelle seraient impossible à faire respecter en pratique.
Mmm, méfiance poussin ! Si quelqu'un y retrouve son œuvre ça peut bien être considéré comme du plagiat, il me semble. La frontière est floue entre la réutilisation de thèmes et le plagiat. Je dirais même que dans certains cas cela dépend de la personne qui examine le sujet. Réutiliser des idées ne pose pas de problème, à moins de réutiliser exactement le même concept qu'un autre, dans les mêmes circonstances, etc. Par contre il faut s'arranger pour que ça se fasse par petites touches et surtout que ça se marie bien à ta propre création.https://fr.wikipedia.org/wiki/Plagiat#En_droitEt encore, même les concepts ne sont pas protégés s'il s'agit d'idées. Exemple: un enfant va être envoyé bébé dans un vaisseau pour arriver sur la planète de l'histoire, sa planète ayant été détruite à son insu. En grandissant il va devenir le plus grand héros et défenseur de sa planète d'adoption. Est-ce l'histoire de Superman ou de Dragon Ball ? [:petrus jar]
Surtout quand on se fait condamner une première fois, quoi. [:petrus]Oui, et ses propos ne montrent aucun regret, sauf celui de s'être fait attraper, je trouve.
en 2053. « J’aurai 93 ans et j’en aurai terminé avec le dessin. En revanche, je laisserai les fichiers à ma fille pour qu’elle en tire des affiches. »
Par principe, tout ce qui touche au fanzine est bénévole. La vente du fanzine n’a pour but que de permettre de financer l’impression et de garantir la parution d’un nouveau numéro.http://neuviemeart.citebd.org/spip.php?article1168
Le fanzine étant une entreprise accompagnant des activités d’adolescents ou de jeunes adultes généralement non professionnalisés, la fonction économique n’est pas intégrée dans l’activité. Nombre de fanzines (et notamment les primo fanzines) démarrent leur activité sans statut légal, dans une clandestinité factuelle plus que volontaire. La vente des fanzines, en particulier à travers le dépôt chez les disquaires, nécessite très vite une mise aux normes de fonctionnement du marché économique : l’établissement de factures devient par exemple un impératif pour récupérer le produit des ventes ou tout simplement pour pouvoir insérer de la publicité payante (le client ayant besoin de justificatifs comptables). La solution la plus simple est la constitution d’une association loi 1901. Pour les activistes les plus radicaux, il s’agit d’une concession faite à l’État qu’il semble nécessaire de justifier auprès des lecteurs : suite au passage en association loi 1901, l’éditorialiste du fanzine toulousain Unhurt écrit, en décembre 2002 : « les quelques gens d’UNHURT ont décidé non pas, de simplement se mettre dans le rang de la loi, pour être ainsi en règle, mais plutôt d’essayer de faire valoir et d’user de ce droit légitime qu’est la liberté d’association, la liberté d’exister en tant que groupe et d’essayer de véhiculer des idées au sein de notre société et de sa complexité. »https://journals.openedition.org/volume/2303#tocto2n11
Ce qui me fait penser, l'équipe de DBM n'a jamais eu de problèmes ?Non .
Il me semble que des illustrations et des goodies sont vendus en convention, et ce j'imagine sans l'accord de Toriyama-Bird Studio/Shûeisha/Tôei/AB/Glénat....Il y a eu une descente des douanes l'année dernière à la JEX accompagnés d'ayant-droits et ils ont tapé exactement ceux qui vendaient du merchandising avec du contenu non-original(donc volé). Les auteurs de fanart (donc du contenu créé par leurs soins) n'ont pas été inquiétés.
Cet enchaînement. On pourrait presque croire que DBM c'est du Hentai. [:aie]La nature des dragon Ball n'a jamais été étudiée en détail. :o
Tu sais qu’il y a des tas et des tas de doujin complètement safe, hein, rassure moi?
Les dōjinshi font partie du genre plus vaste des dōjin, incluant aussi des illustrations, des anime hentai et des jeux vidéo.
Je m'étonne plus que le groupe AB laisse couler. Par le passé, ils avaient attaqué la société de VPC One Way qui vendait des goodies DBZ sans leur accord (menant à la fermeture de la boîte) et ils avaient même intimidé des fanartistes qui voulaient se retourner contre eux pour avoir utilisé des illustrations amateur glanées sur le net pour leurs DVD Saint Seiya.
AB leur a vite rappelé que les droits leur appartenaient et que c'étaient les fanartistes qui, légalement, étaient dans leur tort vu qu'ils exploitaient une œuvre licenciée, et ce même à but non lucratif, sans l'accord des ayants-droit.
Ouais alors eux, comment dire... Quand on est trop cheapos pour utiliser autre chose que des fanarts récupérés sur le net pour illustrer les menus d'un produit officiel, et quand on met mille ans à balancer une édition DVD acceptable, on est juste autorisé à fermer sa grande gueule, en fait [:^^]Que tu dises cela sur le ton de la blague ou non, légalement, ils ont le droit de récupérer des fanarts, de mettre milla ans à faire un coffret DVD et c'est très bien ainsi.
C'est fort possible.
Je m'étonne plus que le groupe AB laisse couler. Par le passé, ils avaient attaqué la société de VPC One Way qui vendait des goodies DBZ sans leur accord (menant à la fermeture de la boîte) et ils avaient même intimidé des fanartistes qui voulaient se retourner contre eux pour avoir utilisé des illustrations amateur glanées sur le net pour leurs DVD Saint Seiya.
AB leur a vite rappelé que les droits leur appartenaient et que c'étaient les fanartistes qui, légalement, étaient dans leur tort vu qu'ils exploitaient une œuvre licenciée, et ce même à but non lucratif, sans l'accord des ayants-droit.
chaque fois que vous pouvez acheter ailleurs que chez Amazon, n’hésitez pas.C'est exactement ce que je fais...
Même Fnac.com, c’est mieux.
Dans la série "SACEM et crevardise":Petites explications techniques ici :
https://www.nextinpact.com/news/108542-la-cour-cassation-confirme-redevance-sur-musiques-libres-diffusees-dans-magasins.htm
En réalité, c’est d’abord l’ambiguïté de Jamendo dans sa manière de présenter son service qui ne facilite pas l’interprétation de la décision de la Cour de Cassation. La société présente en effet son offre de sonorisation comme constituée par « 220 000 titres libres de droits« . Or cette expression est toujours très délicate à manier et même souvent trompeuse. Par « libre de droits », Jamendo entend « libre de rémunération équitable à payer » et c’était ce qui faisait tout l’intérêt du service offert aux magasins. Mais cela ne voulait pas dire pour autant que cette offre était gratuite, par Jamendo pratiquait bien un tarif, sans doute inférieur à celui de la SACEM pour que son offre soit attractive. Il ne s’agissait donc pas de musique « sous licence libre » à proprement parler et encore moins de musique « libre de droits », si l’on entend par là des oeuvres appartenant au domaine public.
Quel est alors le statut juridique exact des enregistrements musicaux figurant dans le catalogue de Jamendo Licensing ? En réalité, la plateforme propose aux artistes recourant à ses services pour se diffuser de choisir par les six licences Creatives Commons possibles qui, comme on le sait, sont plus ou moins ouvertes par le biais d’un système d’options. Or parmi ces licences, seules certaine sont des licences « libres » au sens propre du terme (CC-BY, CC BY-SA, CC0), mais toutes les autres licences – celles comportant des clauses NC (pas d’usage commercial) ou ND (pas de modification) – ne sont pas des licences libres au sens de la définition établie par la Free Software Foundation. Il s’agit de licences dites « de libre diffusion« , qui permettent certes des usages plus étendus que l’application par défaut du droit d’auteur, mais tout en maintenant certaines restrictions (c’est d’ailleurs tout le sens du slogan des Creative Commons « Some Rights Reserved » par rapport au classique « All Rights Reserved »).
Or par définition, pour pouvoir participer au service Jamendo Licensing, les artistes doivent nécessairement choisir une licence avec une clause NC (Pas d’usage commercial). Cela leur permet de continuer à réserver le droit patrimonial d’exploitation commerciale sur leur musique et de l’utiliser pour conclure un contrat avec Jamendo en vue de conférer à cet intermédiaire la faculté de proposer des tarifs pour la sonorisation des espaces de magasins.
Au final, l’effet le plus probable de l’arrêt de la Cour est que les artistes qui passaient par Jamendo ne verront jamais la couleur de cet argent qui leur est pourtant légitimement dû et ces sommes finiront dans ce que les sociétés de gestion collective appellent leurs « irrépartissables » pour aller gonfler les budgets qu’elles consacrent à leurs actions propres (y compris d’ailleurs le lobbying assidu qu’elles exercent pour inciter constamment le législateur à renforcer le droit d’auteur…).
Je n'ai aucune affection pour les pratiques d'Amazon mais il y a un deux poids deux mesure indéniable.Comme le souligne l'un des commentaires de l'article, Amazon ne vend pas que des livres, contrairement à un libraire traditionnel. Ces libraires traditionnels auxquels Amazon fait une concurrence plutôt déloyale. De plus, Amazon ne paie pas d'impôts en France. Mieux vaut donc acheter ses livres auprès d'une entreprise bien française, même si elle n'est pas parfaite. [:aloy]
-Sergorn
Je n'ai aucune affection pour les pratiques d'Amazon mais il y a un deux poids deux mesure indéniable.
Ces libraires traditionnels auxquels Amazon fait une concurrence plutôt déloyale.
décolonisation de la British Library(https://nsa40.casimages.com/img/2020/08/31/200831065036484389.jpg)
Ça le fait aussi pour le "pays du soleil levant" ? Les USA ont également une côte Est. :oSi tu vas par là, nous aussi on a une côte Est. [:trollface]
vers les personnes BAMEExcusez mon ignorance, mais c'est quoi une personne BAME ???
Gogol est ton ami :Hmmm, oki !
https://www.ladn.eu/entreprises-innovantes/bame-le-nouvel-acronyme-pour-parler-des-minorites-ethniques/
De toute façon, si tu es métis / sang-mêlé ou n'a pas la peau assez foncée et / ou vient d'un peuple à passé esclavagiste (genre, tous les musulmans qui achetaient de l'Africain, du Caucasien ou autre) c'est grillé. :o Problème résolu, donc. [:aloy]
Je te raconterai l'histoire du SJW qui a fait une crise d'apopléxie et un scandale en entendant les genre du "negro" partout lord d'un voyage en amérique latine (il a fini par comprendre que ça voulait tout simplement dire "noir" en espagnol [:aloy])Ca me fait penser à ça :
Auteurs, vous croyiez avoir cotisé pour votre retraite ? Ben non, la sécurité sociale des auteurs a oublié de prélever les cotisations.
https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/retraite/video-pendant-40-ans-la-securite-sociale-des-auteurs-a-oublie-de-prelever-les-cotisations-retraite_3806259.html?fbclid=IwAR3f5TL2cP1NSCQ56uYZZe0iWWK0gH9W3k5r9fOTcwsVhnkPWVqGsMBTKEQ
(On se serai bien passé des bruitages de cartoon durant le reportage).
Pff... ::)Sérieusement ? Ils n'ont rien de mieux, de plus constructif, à faire ?
https://www.courrierinternational.com/article/elementaire-enola-homes-sur-netflix-sherlock-t-il-le-droit-deprouver-des-emotions
Quand un jeune crache sur la France, en vrai il pleure sur les promesses qu'on lui a faites, auxquelles il a cru et qu'on a pas tenues (...) c'est pas la haine de la République, c'est le fossé qu'il y a entre les droits qu'elle promet à tous et ceux qu'elle n'accorde qu'à une poignée.
[:lol]"Si vous appréciez cette série de japanimation, vous êtes un putain de futur tueur en série qui va massacrer ses camarades de classe.
"Si vous appréciez certaines séquences du programme qui va suivre,vous êtes un putain de raciste. A bientôt dans le monde merveilleux de Disney !"
Attention, les petits nienfants, c'est des dessins animés qui vont vous faire hurler sur les rézocio parce qu'ils ne sont pas woke du tout ! On vous le dit pour que le choc émotionnel de la confrontation aux conceptions démodées risque de vous être fatale ! [:shinobu1] Regardez ces dessins animés à vos propres risques ! [:boh]
https://www.lemonde.fr/cinema/article/2020/10/20/peter-pan-les-aristochats-disney-met-en-garde-contre-des-cliches-racistes-dans-certains-classiques_6056640_3476.html
Non certes mais c'est quand-même navrant d'en arriver là, quoi.Je pense qu'on ne reviendra pas en arrière si bien que cette solution est la moins pire, en effet. Et utilisée à titre préventif, ça coupe l'herbe sous le pied des justiciers en tout genre.
Honnêtement je vois rien de mal à ce genre de cartons.Le problème n'est pas apparu avec les zérosociaux. Déjà au Moyen Age, les auteurs, notamment clercs, réécrivaient les œuvres littéraires pour les faire coller à la morale chrétienne, et ça n'a jamais arrêté depuis (rien que toutes les variantes de Robin des Bois, :D).
C'est tres bien de recontextualiser une œuvre et justement l'un des gros problème actuel de toute l'incapacité à toute cette génération de débiles nourris aux réseaux sociaux de contextualiser quoi que ce soit
.-Sergorn
C'est vraie que ... j'ai revue Peter Pan dernièrement et sa jupe à clochette est super courte. En comparaison dans les films plus récent sur clochette et ses amies la jupe est plus longue. [:lol]
Pour Peter Pan le "problème" c'est surtout la représentation jugée très caricaturales des indiens.
Dans l'histoire originelle, je crois que Peter Pan tue également les Enfants Perdus quand ceux-ci grandissent.Comment ça se fait qu'il n'y ait pas encore eu d'adaptation dark side ? :o
Comment ça se fait qu'il n'y ait pas encore eu d'adaptation dark side ? :o
Dans once upon a time Peter Pan est une ordure de première si je me souviens bien.Ce qui est plus cohérent avec ce qu'il est sensé être. [:aloy]
Comment ça se fait qu'il n'y ait pas encore eu d'adaptation dark side ? :oJ'imagine que c'est pour la même raison qu'on n'édite plus la version originelle du Petit Chaperon Rouge (le loup dévore la fillette après Mère-Grand, point final) ou celle de la Belle au Bois Dormant (le prince ne se contente pas d'un baiser, va beaucoup beaucoup plus loin, et selon les versions, soit ce sont les douleurs de l'accouchement qui réveillent la Belle, soit c'est un de ses jumeaux nouveaux-nés qui retire l'aiguille du fuseau planté dans le doigt de la Belle en lui tétant le doigt). [:beuh]
Ces contes "classiques" devaient viser un public plus adulte à l'époque. La vie devait aussi rendre mature plus vite.Certains pensent également (mais c'est une interprétation loin de faire l'unanimité) que les contes sont en fait des mythes anciens très mal connus et qui ont évolué pendant toute l'Antiquité et le Moyen Âge avant d'accéder au statut d'œuvre littéraire, ce qui les a plus ou moins codifiés et fixés par la mise à l'écrit. Et bon, on sait tous que les mythes antiques ont leur dose de scènes et d'événements pas classés tout public (coucou Oedipe, Daphné, les Atrides, les coucougnettes à Ouranos, le sac de Troie....)
Dans once upon a time Peter Pan est une ordure de première si je me souviens bien.
Ces contes "classiques" devaient viser un public plus adulte à l'époque. La vie devait aussi rendre mature plus vite.
Mais sinon ça va, l'ambiance est détendue. [:petrus jar][:sarko2]
https://actualitte.com/article/97942/bibliotheque/paris-la-bibliotheque-goutte-d-or-degradee-reste-fermee
Moralité : Hadopi mérite juste un Hadoken dans la tronche ! :D
Elle a dû emprunter de l’argent à la banque pour pouvoir partir au ski à MegèveLa pov' chouchoute !
Le temps passe et toujours rien sur nos comptes. Plus personne ne répond à nos appels : Prods, mari de la productrice, gros prod, agent. Le Silence.
La fils-de-puterie dans toute sa splendeur !
Mon passage préféré :CiterElle a dû emprunter de l’argent à la banque pour pouvoir partir au ski à Megève
La pov' chouchoute !
Et puis les deux scénaristes spoliées qui sont au RSA, probablement obligées de bouffer des pâtes à tous les repas, comme des étudiants, et dont l'une a un cancer. Alors la prod qui ne s'inquiète que de son séjour au ski et de ses lardons, moi je demande où est le rapport avec la choucroute ! :o
Y'a des gens qui galèrent à payer une seule garde d'enfants, et elle elle a pas assez pour en avoir deux, pauvre chatte va... comme disait ma défunte grand-mère, si j'avais le temps j'me coucherais pour la plaindre [:lol]
Accessoirement, avec moi comment elle se serait pris dans les dents que je m'en sur-BATS LES BURNES de ses chiards, sérieux [:haha pfff]
Les procès, cela se gagne avant la signature du contrat.Hélas, tout le monde n'a pas eu la chance de bénéficier de ce genre de conseils dans ce milieu. [:petrus]
Cela me rappelle mon tout premier conseil par un auteur de BD qui m'avait pris sous son aile : il envoyait son avocat signer ses contrats avec les éditeurs à sa place !
les éditeurs le détestaient pour cela, mais ainsi, cela les éditeurs pouvaient pas l'entuber d'un centime [:lol]
Euh du coup, est-ce qu'il faut aussi se payer un avocat quand on veut publier un roman ?Pas si tu es avocat ^^
Hélas, tout le monde n'a pas eu la chance de bénéficier de ce genre de conseils dans ce milieu. [:petrus]Ce n'est pas un milieu different des autres. Si tu signes un contrat qui t'entube, c'est ta faute, pas celle de celui qui t'arnaque.
C'est sûr, ça refroidit [:lol]Non l'avocat, il fait juste son métier.
Ouais du coup, faudra passer par la case avocat... en espérant de pas se faire avoir par l'avocat après [:aie]
Mais il me semble que @Iris-Ardell a fini par trouvé un bon éditeur, après ses déboires avec Edilivre.
Wow c'est tout un cycle ! J'espère que ça narre les aventures friponnes de toutes les monster girls qui existent, au moins !
Je vous surtout une mairie qui semble vouloir se trouver une meilleure excuse foireuse que la première, après avoir exercé une rétorsion contre un titre ayant publié un article dérangeant.D'accord avec le Télescope :
Les décisions échappant toujours au chef de service ou directeur de bibliothèque sont faciles à dénombrer : la fixation du budget et son exécution (sauf parfois une délégation de signature des bons de commande jusqu'à un certain montant), les effectifs (création et transformation de postes, décision de pourvoir un poste vacant), les tarifs, les horaires. Tous domaines où son rôle relève de l'aide à la décision. Rien d'autre n'est fixé par aucun texte.http://www.abf.asso.fr/fichiers/file/ABF/textes_reference/vademecum_se_positionner_collectivite.pdf
L'intervention directe des élus dans les acquisitions documentaires est généralement considérée comme illégitime, mais aucun texte contraignant ne définit ni ne protège cette situation. Seule la persuasion locale, et parfois le débat public quand il survient, peut conduire à ce que cette frontière soit respectée. Quand elle survient, elle peut porter sur des retraits d'ouvrages ou la suppression de titre sur une liste de commande (on peut alors parler de censure) ou l'imposition de titres.
C'est pas raciste vu que le racisme ani blanc n'existe pas :o Faut tout vous apprendre [:trollface]C'est encore moins raciste quand c'est un blanc dont le pays a eu des colonies. :o
Bah tu sais c'est le même genre de blocage que quand on leur explique que l'esclavage était commun en Afrique avant même que les blancs n'y arrivent et que beaucoup d'esclaves étaietn vendu aux esclavagites blanc par d'autres tibus qui se débarassaient ainsi d'ennemis [:moule_bite]Ca c'est parce qu'ils ont dû trop lire Tintin au Congo, où tous les Noirs sont gentils entre eux et où les Blancs sont les méchants. [:trollface] (Oui, il y a aussi un méchant Noir, mais il est le complice d'un méchant Blanc.) Ils se croient chez les bisounours. [:trollface]
Mais bon c'est plus simple d'imaginer un monde tout blanc et tout noir où tout ce qui est blanc de peau est LE MAL.
(N'essayez pas non plus de leur expliquer le concept de racisme entre noir entre tribus/ethnies d'Afriques et tout les horreurs que ça a créé.)
-Sergorn
C'est pas raciste vu que le racisme ani blanc n'existe pas :o Faut tout vous apprendre [:trollface]
-Sergorn
ActuaLitté : Le 2 mars, journée nationale de la lecture aux États-Unis, six ouvrages sont supprimés de la vente, qu’en pensez-vous ?
Stephen Carrière : Cela m’effraie.
L'écriture inclusive me paraît être une arme de destruction massive de notre plus beau bien commun, notre langage – une prédatrice de toute aspiration à vivre ensemble.
Question à 12$ :Eh bien le sujet progresse tous les jours, maintenant c'est évidemment le tour de... allez, faites un petit effort ! :o (https://actualitte.com/article/99278/droit-justice/culture-du-viol-prejuges-racistes-les-personnages-de-cartoons-denonces)
Si dessiner un Chinois avec des baguettes, c'est raciste, est-ce que dessiner (https://jack35.files.wordpress.com/2012/08/french.png) ou (https://e7.pngegg.com/pngimages/37/1002/png-clipart-la-petite-alsacienne-alsatian-choucroute-garnie-delicacies-miscellaneous-photography.png) ou (https://i.pinimg.com/originals/a4/3d/46/a43d46dbc07fe1a70bd2928ee977119c.jpg), c'est raciste aussi ?
Présent dans le film de 1996, où Michael Jordan venait au secours de Bugs Bunny dans une partie de basket mémorable, Pépé le Putois a été supprimé du sequel prévu ce 16 juillet. La controverse a surgi après la chronique de Charles M. Blow, dans le New York Times qui a vu dans le comportement outrageux de la bestiole la démonstration et l’approbation de « la culture du viol ».Mais pourquoi donner tant d'importance au NYT.
On parie que bientôt ce sera Black panther qui sera dénoncé pour une quelconque raison ? :oEn même temps, je n'arrive pas à m'expliquer pourquoi ni comment le film Black Panther a pu être aussi populaire. C'est quand même un condensé de clichés assez dingue !
On parie que bientôt ce sera Black panther qui sera dénoncé pour une quelconque raison ? :o
Oh allons, il y a sûrement moyen de se plaindre que ça ne représente pas les noirs de manière réaliste et que donc on nie leur existence. :o
Si Speedy Gonzales "véhicule des stéréotypes négatifs sur les Mexicains"
C'est comme Pépé hein, à la base le perso est amusant dans le genre dragueur lourd ( et entre parenthèse, le parallèle Français = schlingue de la VO, ça me passe tellement au-dessus ), et les mecs ils pensent direct apologie du viol (https://forum-images.hardware.fr/images/perso/1/sophiste.gif) [:ok] Sérieux j'en ai plein le cul de ces gens qui salissent mes souvenirs d'enfance avec leur putain de mentalité tordue [:tsss]Comme dit par je-ne-sais-plus-qui plus haut, Pépé est certes un gros harceleur lourdingue, mais il se fait DEGAGER à chaque fois et n'arrive JAMAIS à ses fins. Donc, ça montre bien que son attitude est vouée à l'échec ! C'est CA le message à retenir.
Comme dit par je-ne-sais-plus-qui plus haut, Pépé est certes un gros harceleur lourdingue, mais il se fait DEGAGER à chaque fois et n'arrive JAMAIS à ses fins. Donc, ça montre bien que son attitude est vouée à l'échec ! C'est CA le message à retenir.Prochaine étape : censurer le baiser de la Belle au Bois Dormant (elle n'est pas consentante) et remplacer le baiser par un réveil-matin. Censurer la scène des spaghettis dans la Belle et le Clochard (même raison).
Mais non, pour les SJW, montrer un personnage avec une mauvaise attitude qui se vautre, c'est encourager cette attitude : montrer, un harceleur qui perd systématiquement, c'est faire l'apologie du viol. [:ok]
Dans le roman qui a inspiré la Belle au Bois Dormant, il la viole dans son sommeil [:aie]
Comme dit par je-ne-sais-plus-qui plus haut, Pépé est certes un gros harceleur lourdingue, mais il se fait DEGAGER à chaque fois et n'arrive JAMAIS à ses fins. Donc, ça montre bien que son attitude est vouée à l'échec ! C'est CA le message à retenir.
Mais non, pour les SJW, montrer un personnage avec une mauvaise attitude qui se vautre, c'est encourager cette attitude : montrer, un harceleur qui perd systématiquement, c'est faire l'apologie du viol. [:ok]
Remarque, c'est un domaine dans lequel ce n'était clairement pas mieux avant côté censure.Je ne parle pas de censure, mais de disparition pure et simple, d'élimination totale de la mémoire et de l'histoire.
JE suis folle ! [:homer1]N'oublie jamais le plus important : un "éditeur" qui te demande de dépenser ton argent à toi, même un simple centime, pour t'éditer, c'est de l'ARNAQUE !!! ^^;
Parce que j'ai commencé (deux éditeurs pour l'instant dont un que je voudrais vraiment…) [:onion laule] Rendez-vous dans quelque mois où soit je ne toucherai plus terre, ou soit je serai à ramasser à la petite cuillère. Plutôt la seconde option si vous voulez mon avis… [:fufufu]
ONZE TUYAUX POUR REPERER UN POURRI
1 / Il ne te contacte pas par téléphone.
Après avoir lu ton manuscrit et l'avoir « retenu pour publication », Pourrito te passe un mail, ou pire encore, t'envoie un courrier postal !
Un éditeur sérieux te contactera toujours par téléphone. Une longue conversation s'en suivra, restituée dans mon article Au secours, je vais signer un contrat d'édition.
http://stoni1983.over-blog.com/article-a-l-aide-un-editeur-m-a-rappele-ou-c-est-la-ou-les-emmerdes-ont-commence-48958455.html
2 / Pourrito ne te parle pas de tirage, ni de date de sortie, et encore moins de fric.
Le tirage ? La parution ? Forcément il n'en parle pas, puisqu'il n'en a pas la moindre idée ! N'oublie pas que Pourrito est un incompétent notoire. Quant au fric, il préfère ne pas t'en causer, vu qu'il n'en a pas à te filer.
Un éditeur sérieux, au cours de votre première conversation téléphonique, t'indiquera le tirage, la date approximative de parution (ou l'année), le montant de l'à-valoir.
3 / Il ne te donne pas d'à-valoir ou un très faible à-valoir.
L’à-valoir est la condition sine qua non de la signature d’un contrat d’édition.
Un éditeur sérieux paie ses auteurs. Combien de fois devrai-je le répéter ?
http://stoni1983.over-blog.com/article-comment-negocier-un-premier-puis-un-deuxieme-a-valoir-avec-son-editeur-ou-le-fric-c-est-chic-106434586.html
En outre, le chèque d’à-valoir est remis le jour même de la signature du contrat d’édition. N’accepte pas de signer un contrat sans que l’on te remette le chèque.
4 / L'éditeur n'est pas répertorié sur societe.com (ou infogreffe).
https://www.societe.com
https://www.infogreffe.fr
Vérifie toujours la présence de l'éditeur dans le registre du commerce et des sociétés. Une maison d'édition est une entreprise. Si l'éditeur n'y figure pas, c'est qu'il s'agit probablement d'une auto-entreprise. Je rappelle que l'auto-entreprise, c'est la formule qu'on a inventée pour les actifs qui fabriquent des bijoux en hobby et qui voudraient bien les vendre sur internet... Je caricature, mais bon, une petite maison d'édition ce devrait plutôt être une SARL.
J'ai pris l'exemple sur ce lien d'un petit éditeur qui était entré en contact avec mon blog. Comme on pourra le lire, l'éditeur est une SARL, gage de sérieux. Dans ce cas précis, l'examen est ok.
5 / L'éditeur est répertorié sur societe.com ou infogreffe, mais son activité déclarée ne correspond pas à l'édition.
Sans déconner, une de mes lectrices avait découvert en cherchant le nom d'un petit éditeur sur ces sites qu'il était enregistré comme... débit de boisson ! Tu veux te faire éditer par un débit de boisson, toi ?
6 / L'éditeur pourri est distribué - diffusé par Bidule Diffusion (c'est-à-dire par personne).
Demande à l'éditeur qui le distribue et le diffuse puis renseigne-toi. S'il ne s'agit pas d'un gros distributeur, bon courage pour vendre tes bouquins...
Je reprends comme exemple le petit éditeur qui m'avait contacté. Sur son site web, on peut lire qu'il est diffusé par Volumen. C'est très bien !
7 / Tu vas à la Fnac ou à la grosse librairie de ton quartier, et tu ne trouves AUCUN bouquin de l'éditeur pourri.
Car l'éditeur est mal distribué. AVANT DE SIGNER CHEZ UN EDITEUR, ALLEZ TOUJOURS VERIFIER DANS UNE GROSSE LIBRAIRIE SI SES DERNIERES PARUTIONS SONT PRESENTES !
8 / Ton libraire ne connait pas l'éditeur pourri.
Avant de signer, demande toujours à un libraire ce qu'il en pense. Pour être honnête, j'ai beaucoup de mal avec les libraires. La plupart sont braques ou complètement cons (je ne demande qu'à être contredit...). Mais bon, là, c'est une question de vie ou de mort. Le libraire est censé savoir si un éditeur est bien ou mal distribué. Son avis est un élément à prendre en compte.
9 / L'éditeur pourri ne te propose pas de le rencontrer dans ses locaux.
Eh oui, il n'en a pas, de locaux...
Un éditeur sérieux te proposera tout de suite de vous rencontrer dans son bureau. D'ailleurs je conseille fortement d'aller le voir, mais pour ça, lire : Au secours ! Je vais signer un contrat d'édition...
10 / L'éditeur pourri ne te donne pas son numéro de fixe, ni de portable.
Un éditeur sérieux te donnera ses coordonnées complètes : fixe, portable, email.
11 / Le premier tirage est inférieur à 1000 exemplaires.
Ou une production artisanale... En-dessous de 1000 exemplaires, je déconseille très très très fortement de signer un contrat...
ATTENTION : la plupart des éditeurs numériques (qui éditent sur internet soi-disant à compte d'éditeur) sont à classer dans la catégorie Pourrito. Lire l'article que leur consacre le blogueur Ludovic Mir (et ça te fait un autre avis sur la question comme ça).
Nous voici au terme de ce dossier sur les éditeurs pourris. Ces infos devraient te permettre d'éviter de faire une grosse connerie au moment venu... N'hésite pas à me contacter via facebook, ou par ici, si t'as besoin de quoi que ce soit.
Pour aller plus loin sur les éditeurs pourris, lire les courriels que j'ai échangés avec un monsieur qui s'est senti visé. ça creuse le sujet comme qui dirait.
A lire aussi : un éditeur pourri me propose un contrat, que faire ?
@Ouv et @Moïra vous avez tout à fait raison. Mais maintenant je suis avertie, les seuls éditeurs avec qui je tenterais l'aventure seront les comptes d'éditeur exclusivement. Même si on me demandait "juste" d'acheter quelques exemplaires avec ristourne... Je fuierai ! Je sais qu'un éditeur normal ne fait absolument rien payer à l'auteur.Je suis fier de toi Iris [:pfft], tu apprends du passé et sais reconstruire.
Donc quand je recherche un éditeur, croyez bien que je fais attention et je me renseigne, surtout s'il y a des avis sur lui.
Les deux maisons ne font rien payer. L'une m'a été conseillée par l'éditrice qui m'avait encouragée : c'est une toute petite structure associative dans la veine de ce que j'écris. L'une et l'autre ont ouvert les soumissions de manuscrits, il y en a une qui vient même de les fermer (ca ne dure pas longtemps). Ils veulent se consacrer aux romans choisis et pas éditer à tour de bras.
Les avis sur ces maisons sont positifs et pour la petite, certains auteurs y sont depuis des années et en ont l'air satisfaits.
Je fais attention, je vous assure. Mais merci. Et j'ai déjà lu l'article sur Pourrito.
C'est vrai qu'on n'est jamais trop prudent.
L'auto-édition, j'y penserais.
Mais seulement après avoir pris la peine de payer quelqu'un pour relire mon texte et corriger toutes ces vilaines fautes. ^^
Je pense que le risque c'est surtout qu'un éditeur potentiel n'apprécie pas que tu as déjà publié ailleurs et que ça puisse être un frein, car si ton livre l'intéresse il en voudra l'exclusivité y compris en numérique. [:fufufu]
Haddock, chevalier de la Licorne... [:fufufu]Et le professeur Tournesol, vu sa quasi-surdité, c'est le nouveau Saint de la Vierge avec un sens en moins ? [:petrus jar] [:petrus jar] [:petrus jar]
Un cross-over StS suite de ND ! [:petrus jar]
D'ailleurs, c'est pas eux qui répètent à longueur de temps qu'ils font ça pour honorer la volonté de Hergé de ne pas voir Tintin exploité après sa mort, et d'un autre côté ils envisagent de publier de nouvelles aventures du petit reporter en 2053 juste pour pouvoir prolonger les droits ?
Franchement, ça devrait être 50 piges, et basta. Pas d'extension, pas d'exception, 50 ans et après c'est marre. Parce que sinon, on n'en voit pas la fin [:petrus]
Genre il y a 2 ans, Sony qui sort une compil de Bob Dylan intitulée, ils ont honte de rien... "The copyright Extension Collection vol. 1" [:delarue2]
http://www.theregister.co.uk/2013/01/08/bob_dylan_copyright_extension_collection/ (http://www.theregister.co.uk/2013/01/08/bob_dylan_copyright_extension_collection/)
Mauvaise nouvelle maintenant : la Chaîne Nébulaire a été bloquée par YouTube, pour des réclamations de droits d'auteur de la Toei.
Et des dénonciations :o
Mais pourquoi cette chaîne a été supprimée sans avertissement, quand des films et épisodes complets sont sur la même plateforme et recommandés par ToiTube ?! [:paraevil]
Ouais ça c'est quand même formidable, n'importe qui peut se faire passer pour un ayant-tous-les-droits et exiger le retrait d'une vidéo pour infraction au copyreich, YT vérifie même pas [:dawa] [:facepalm]
Parce qu'un mec a fait une fausse dénonciation à partir d'un faux mail en se faisant passer par TOEI. Hé oui.
-Sergorn
Apparemment, l'adresse e-mail est valide (j'ai une copie du mail de Tôei reçu par Yuto).
Sauf que la personne qui a vérifié cette adresse sur emailhippo et crie au fake s'est plantée, car elle a tapé toei_anim.co.jp au lieu de toei-anim.co.jp [:facepalm]
Apparemment, l'adresse e-mail est valide (j'ai une copie du mail de Tôei reçu par Yuto).
Sauf que la personne qui a vérifié cette adresse sur emailhippo et crie au fake s'est plantée, car elle a tapé toei_anim.co.jp au lieu de toei-anim.co.jp [:facepalm]
Puis j'ai vu le mail qu'il a reçu aussi et c'est un anglais googletradé tellement mauvais que y a de quoi se poser des questions. [:onion sweat]
En bref y a BIP qui a volontairement voulu nuire à la chaîne de Yuto. >:(
-Sergorn
Va savoir mais vu la quantité de vidéo réellement illégales dispo en impunité sur YouTube une dénonciation auprès de Toei est également possible. [:fufufu]
-Sergorn
De toute façon, certains se sont ouvertement vantés d'avoir créé plusieurs comptes pour dénoncer la chaîne de Yuto.
De toute façon, certains se sont ouvertement vantés d'avoir créé plusieurs comptes pour dénoncer la chaîne de Yuto.
"J'estime que je n'ai pas besoin des hommages des autres artistes pour faire vivre l'œuvre d'Hergé" (Nick Rodwell à France Culture)
Ils ont encore besoin de fric, ces grippe-sous ? [:euh]Ce n'est pas la question.
Quel misérable CONNARD ce type, quand mêmePeppone a joué au con et il a gagné. Il ne peut s'en prendre qu'a lui-même.
Peppone a joué au con et il a gagné. Il ne peut s'en prendre qu'a lui-même.
Mouais... Sauf que là il ne s'agit pas (ce coup-ci, en tout cas) de "mépris envers les fans".J'en conviens. Mais à côté de ce cas-là il y a tellement de procédures de la part de Moulinsart pour tout et n'importe quoi que les rares fois où ils sont effectivement dans leur bon droit la pilule a du mal à passer. [:aloy]
Ce n'est pas un bonhomme qui a fait un pov' fan-art qui s'est fait tacler par la fondation Moulinsart.
Là, il s'agit d'un artiste qui a fait une collection complète, des dizaines de pièces, en pompant exclusivement du Tintin.
Reprendre du Tintin, un peu, au milieu d'autres œuvres, en le re-travaillant/détournant/parodiant/ré-exploitant, c'est de l'hommage.
Reprendre exclusivement du Tintin et essayer de faire du pognon dessus sans en avoir les droits, ça s'appelle de la contrefaçon.
"J'estime que je n'ai pas besoin des hommages des autres artistes pour faire vivre l'œuvre d'Hergé"
Plus qu'une oeuvre, Rodwell assume de considérer Tintin comme une marque à protéger. Et ne recule pas devant une stratégie à (très) long terme : alors que les droits de la saga entière de Tintin devraient basculer dans le domaine public au 1er janvier 2054 (date à laquelle Nick Rodwell approcherait le centenaire), ce dernier dit déjà "réfléchir" à un moyen de repousser l'échéance... et, avec elle, la durée du précieux copyright.
Sans surprise, l’étude du CNL, publiée en 2020 et consacrée à la bande dessinée, met en évidence une pratique de lecture numérique impliquant une population jeune et probablement technophile:
«Si le format papier reste largement privilégié par tous pour lire des bandes dessinées, un quart des enfants et un tiers des adultes lecteurs de bande dessinée en lisent également au format numérique. Le taux de lecteurs de bande dessinée au format numérique varie fortement selon l’âge. C’est entre 16 et 35 ans qu’il est le plus élevé, autant chez les femmes que chez les hommes. La tablette tactile et l’ordinateur sont les principaux supports utilisés pour lire des bandes dessinées au format numérique.»
Cependant, cette pratique ressort comme étant majoritairement occasionnelle, puisque seuls 2% des lecteurs enfants et 9% des lecteurs adultes sont considérés comme étant des lecteurs réguliers de bandes dessinées au format numérique. Ceux qui s’y adonnent le plus sont les lecteurs adultes de manga, avec 17% de lecteurs réguliers.
Ah ben dans la catégorie métier mal considéré, la traduction se pose là, et c'est encore pire à l'ère d'internet, des fansubs, des fanstrads, d'addic7ed où le premier glandu venu se croit traducteur parce qu'il comprends deux phrases d'anglais.Ou parce qu'il a tapé deux mots dans Google trad.
-Sergorn
Pour ce qui est film et séries en tout cas, bien trop souvent les traductions sont bien meilleures sur les versions doublées que sur les sous titres en tout cas
-Sergorn
où l'une des personnages surnomme son amie "sissy (https://fr.wikipedia.org/wiki/Sissy_(genre))"... [:aie] En VO je crois que le terme utilisé est "one-san". [:aloy]
Après oui un sous-titres se doit d'être plus rapide/direct qu'un texte doublé, mais je ne parle pas de ça mais bien de la qualité de la traduction en soi et de nombreuses erreurs qui se présentent où sur ce plan c'est de pire en pire.
Pour le coup, il doit même y avoir des termes imposés à la conservation. Tout ce qui peut-être une marque, être intensivement utilisé dans les produits dérivés, etc. Typiquement, Poudlard dans Harry Potter ne devrait pas être nommé autrement à partir du nom anglais original.
A la place de Serdaigle on aurait pu avoir Patdoie [:trollface]"Ravenclaw", ça aurait donné "Corbeaugriffe".
Ce n'est pas plutôt variable selon les contrats de traduction ?Peut-être que ça dépend de l'accord négocié (ou non) de l'ancien traducteur ou ses ayants-droit. Je ne retrouve plus la source expliquant en détail cette obligation de changement.
Il est évident que Sacquet fait partie de notre imaginaire, mais il était impossible de le garder, étant donné que c'est l'invention d'un autre traducteur qui a ses droits.https://www.tolkiendil.com/tolkien/portraits/interviews/daniel_lauzon/2012_sept
Dans ce cas-là, il vaut peut-être mieux garder quelques noms de la VO plutôt que d'essayer une traduction qui passera mal et qui risque de paumer tout le monde (Bilbo Bessac, ça fait trop bizarre et inhabituel depuis qu'on a tous été habitué à Sacquet, merci les films). Vous imaginez si GoT se passait à Hivertombe, Rivièrecourt, ou Roiterrissage ? :D
Perso je trouve ce nom bien trouvé car il conserve l'allitération en B et le sens premier du nom.Certes, mais puisqu'il est question de droits, quid de ceux de la commune qui porte ce nom ? [:fufufu]
Perso je trouve ce nom bien trouvé car il conserve l'allitération en B et le sens premier du nom.
Ben ils ont du changer leur village de nom pour pas payer de royalties à l'éditeur :oVisiblement c'est pas le cas. :o En outre une entreprise porte aussi le nom de Bessac. [:pfft]
On a eu ça aussi avec le Kurumanga pour Saint Seiya. [:aie]
Il peut aussi y avoir des consignes venant de l'auteur lui-même, comme Tolkien l'avait fait.Je me demande si c'est la Toei qui est arrivée et à dit à Netflix US "hop hop, vous arrêtez avec toutes ces conneries de "Saint" et de "Cloth" des premières saisons, à partir de la saison 4 ce sera "Knight" et "Armor" comme bonne traduction internationale que vous êtes."
Il y avait eu le même problème dans Harry Potter (avec Expecto/Spero patronum notamment), mais il me semble que ce genre de différence avait été discuté dans le sujet dédié à la traduction des bouquins, et il était dit que des droits d'auteur (justement) empêchaient de reprendre les mots "inventés" par le premier traducteur.Il y a eu plusieurs traducteurs sur Harry Potter? Je pensais qu’il n’y avait eu que Ménard…
Je me demande si c'est la Toei qui est arrivée et à dit à Netflix US "hop hop, vous arrêtez avec toutes ces conneries de "Saint" et de "Cloth" des premières saisons, à partir de la saison 4 ce sera "Knight" et "Armor" comme bonne traduction internationale que vous êtes."
On a eu ça aussi avec le Kurumanga pour Saint Seiya. [:aie]
Bah dans les spin-off aussi, y'a souvent des noms de persos ou d'attaques qui diffèrent d'un volume à l'autre, TLC étant le champion dans le domaine alors que le traducteur était toujours le même [:fufufu]Donc le type était trop fauché pour se payer un bête carnet dans lequel il aurait noté ses choix de traduction, ou bien trop con pour avoir l'idée de le faire ? Fake ! :o
Il y a eu plusieurs traducteurs sur Harry Potter? Je pensais qu’il n’y avait eu que Ménard…
Argh, je plains les propriétaires... [:beuh]
https://actualitte.com/article/103463/international/pays-de-galles-400-000-livres-partent-en-fumee-dans-un-entrepot
J'avoue que leur matos électrique ne casse pas trois pattes à un canard. J'avais acheté chez eux une veilleuse de toilettes, un truc à led qu'on accroche au bord de la cuvette et qui, déclenché par un détecteur de mouvements, éclaire l'intérieur de la cuvette d'une lumière douce afin de permettre de faire ses besoins la nuit sans allumer les lumières. Mais ça vide les piles en moins d'un mois... [:petrus]
S'il n'y a pas de librairie à proximité immédiate, tu passes par des sites comme www.leslibraires.fr
S'il n'y a pas de librairie à proximité immédiate, tu passes par des sites comme www.leslibraires.fr et tu peux te faire livrer à domicile.
(Et je parle des bouquins, mais c'est valable pour le reste des produits culturels. Par chez moi par exemple le rayon Blu Ray du Leclerc est réduit à une étagère et les dernières nouveautés que j'ai voulu acheté j'ai pas pu :)))
Si je dois passer commander pour avoir un produit (la plupart du temps en plus, à une date indéfinie), aucune raison de ne pas commander sur Amazon ou la Fnac. [:aloy]Dans les 2 cas, tu commandes : en aucun cas tu l'as tout de suite.
Mais, pour les autres, si votre libraire (et je parle de vrai libraire, hein, pas du rayon BD de Leclerc) n'a pas ce que vous cherchez, il y a un truc hyper novateur qui s'appelle... "passer commande".
Vouloir dire "nia nia je trouve pas ce que je veux chez mon libraire", c'est une fausse excuse.
Sérieux, à part pour ceux qui tiennent absolument à soutenir les libraires ( je critique pas hein, ils font comme ils veulent ), en 2021 y'a aucune raison de se faire suer la vie, les gens vont au plus pratique/rapide parce qu'ils en ont la possibilité, point. Et de toute façon comme je disais, y'a même pas à se justifier ni à essayer de forcer la main, niveau lourdeur on dirait le gouvernement avec leur vaccin, là [:tsss]Je ne force personne, et ne demande à personne de se justifier, je donne mon point de vue, c'tout ! :o
Je ne force personne, et ne demande à personne de se justifier, je donne mon point de vue, c'tout ! :o
Les deux visions s'entendent mais bon y a aussi le fait qu'il y a beaucoup de bleds où il n'y a plus aucun commerce, justement parce que ceux qui étaient là avant ont d'abord été laminés par la grande distribution puis par l'irruption du commerce en ligne. Alors oui évidemment tout le monde n'a pas forcément envie ni ne peut de soutenir des commerces de proximité (par ailleurs pas nécessairement sympathiques ni portés à l'effort) mais le déclin des centres-ville c'est souvent un triple mouvement : moins de commerce donc moins de passage et moins de boulot donc moins de services publics aussi (on ferme la poste au profit d'un point relai avant que ce ne soit le tour de l'école) donc moins d'habitants parce qu'au bout d'un moment, ceux-ci vont tenter de s'installer plus près des bassins d'emploi pour faire moins de route.
y'a pas de raison objective pour acheter chez un libraire plutôt qu'en ligne, si ce n'est d'en avoir envie et, comme déjà dit, la possibilité.En théorie le libraire peut aussi servir au conseil, à la recommandation, à la découverte. Bon, honnêtement, pour les gens comme moi (ou le gremlin, je pense) qui savent parfaitement ce qu'ils veulent et se contentent de réserver, cette utilité peut être moins évidente.
.On est en 2021, les gens se tournent vers ce qui est rapide et pratique
Il peut y avoir des tonnes de raisons de préférer acheter sur Amazon que chez un libraire :
- C'est facile et rapide
Justement, ce qu'on essaie de t'expliquer c'est que ce n'est PAS une fausse excuse. On est en 2021, les gens se tournent vers ce qui est rapide et pratique (https://forum-images.hardware.fr/images/perso/spamafote.gif)Justement si, C'EST une fausse excuse. Même Amazon peut se retrouver en rupture de stock, bêta, et dans ce cas tu devras attendre, que ça te plaise ou non. Et si tu ne trouves pas ce que tu cherches chez un libraire, plutôt que de râler contre lui comme un sale gosse gâté-pourri il suffit de lui demander et il le commandera avec plaisir, surtout si c'est fait gentiment. [:kred]
Justement si, C'EST une fausse excuse. Même Amazon peut se retrouver en rupture de stock, bêta, et dans ce cas tu devras attendre, que ça te plaise ou non.
Et si tu ne trouves pas ce que tu cherches chez un libraire, plutôt que de râler contre lui comme un sale gosse gâté-pourri il suffit de lui demander et il le commandera avec plaisir, surtout si c'est fait gentiment.
Bah oui mais non, j'aime pas qu'on essaie de me forcer la main pour quoi que ce soit, donc ils peuvent aller bien se faire cuire le cul [:aloy]Non, les libraires ne sont pas gâtés-pourris, eux. [:poutpout] C'est juste qu'à cause de la concurrence déloyale d'Amazon, qui ne paie aucune des charges de fonctionnement liées à la possession d'un point de vente physique puisqu'ils n'ont que des entrepôts, et qui ne faisait payer que des frais de port inexistants, et bien ils ne peuvent pas faire de même. Les libraires offrent un service apprécié de très nombreuses personnes, mais si la concurrence se montre déloyale en cassant les prix ils auront de plus en plus de mal à gagner leur vie avec leur travail car ils ne peuvent pas se permettre de rogner sur leurs charges comme l'a fait Amazon. Alors oui ça coince, oui ça gueule.
Au passage, faire chier le consommateur parce que ouinouinouin ils achètent pas chez nous çay dégueulaaaaaaaasse (https://forum-images.hardware.fr/images/perso/spiderban.gif), niveau attitude de gosse pourri-gâté c'est pas mal non plus [:delarue6]
Parce que c'est Amazon qui a tout déséquilibré pour s'attirer les faveurs des consommateurs. [:haha pfff]
Bah ouais, ça s'appelle la concurrence [:delarue6]Non, ça s'appelle du monopole, nuance. :o
Non, ça s'appelle du monopole, nuance. :o
Faut pas exagérer non plus ::) Tout le monde achète pas forcément sur le net sinon ça ferait longtemps que les librairies classiques, ben elles auraient toute fermé.
Proposition : le point du milieux "achetez sur les sites de vente en ligne de librairie française" ?
Le principe c'est la neutralité et de permettre à chacun de se faire son idée tant que le contenu ne relève pas du criminel et quoi qu'on puisse en penser par ailleurs. Donc partant de là, oui c'est normal d'avoir des pseudo-sciences, de l'alimentation ou de la santé "alternative", etc. Ça peut être rageant mais c'est normal.J'ai bien précisé "au milieu des livres d'histoire", j'aurais peut-être du ajouter "à côté des sommes universitaires et des manuels de capes-agreg". Je me moque qu'il y ait des livres de pseudo-philopophes, juste pas rangés de façon à tromper le public.
Je n'apprécie pas non plus quand on mélange l'Histoire, avec ce qui a trait à de l'ésotérisme parfois douteux, dans une vitrine.Alors je t'invite à venir avec moi cramer une librairie où j'allais régulièrement, sauf que la semaine dernière j'ai trouvé du Lorent Deutsch dans le rayon histoire, voisinant avec des auteurs plus sérieux comme Elisabeth Crouzet-Pavan.
Culs terreux de merde. [:tsss]Ni les culs ni la terre ne sont aussi cons. Là c'est juste la connerie poussée à un niveau rarement observé...
https://actualitte.com/article/104059/international/censure-10-000-d-amende-par-jour-pour-les-bibliotheques-recalcitrantes
Le comité a vraiment aimé le twist inattendu, il a pu trouver que le personnage était parfois peu organique et un peu artificiel dans ses réactions. Le récit ne manque pas pour autant de belles choses, et nous vous souhaitons donc une très bonne continuation et une Muse favorable !
Et sinon y'a un connard qui veut taxer les livres d'occasion... [:haha pfff]Il a dû se lever un matin, se faire bien chier et se dire qu'est ce que je vais bien pouvoir faire pour passer le temps ? Pondre un texte à la con ! [:pfff]
@Yuto a une nouvelle chaîne (toujours nébulaire) ! Plus une autre pour les archives. [:sparta1]
Le mieux est qu'il l'explique lui-même :
https://youtu.be/npZ3wJ7qg6Q
Mais pourquoi cette chaîne a été supprimée sans avertissement, quand des films et épisodes complets sont sur la même plateforme et recommandés par ToiTube ?! [:paraevil]
La Chine modifie la fin de "Fight Club"https://www.courrierinternational.com/article/cinema-la-chine-modifie-la-fin-de-fight-club
Fight Club est le dernier d'une longue série de films à être passé sous les fourches caudines de la censure chinoise, rapporte le média américain Vice. Dans la dernière version, diffusée sur la plateforme de streaming Tencent Video, cette oeuvre phare du réalisateur David Fincher - adaptée du roman de l'Américain Chuck Palahniuk - connaît un dénouement différent de celui datant de sa sortie, en 1999. Attention spoiler?!
L'épilogue originel met en scène le narrateur, interprété par Edward Norton, se débarrassant de son double diabolique, Tyler Durden, incarnation de sa pathologie schizophrénique. En revanche, il ne parvient pas à stopper son plan géant de sabotage et ne peut que contempler la destruction de plusieurs immeubles d'affaires, dans un bouquet final d'explosions. En Chine, explique le site, "les films importés sont souvent modifiés pour montrer que les forces de l'ordre, aux côtés de la justice, finissent toujours par l'emporter sur les méchants".
Qu'un "projet anarchiste de destruction du consumérisme" puisse être concrétisé ne pouvait pas convenir au pouvoir chinois. Celui-ci a donc supprimé cette scène finale, remplacée par un écran noir et un texte expliquant que "la police a rapidement déjoué l'ensemble du projet et a arrêté tous les criminels, réussissant ainsi à empêcher la bombe d'exploser". Il ajoute que le narrateur a été envoyé dans un hôpital psychiatrique pour soigner sa maladie, avant d'être pleinement guéri quelques années plus tard.
Les cinéphiles chinois ne sont pas dupes
"On ne sait pas si la fin a été modifiée dans le cadre d'une autocensure ou sur ordre du gouvernement. Tencent Video n'a pas souhaité s'exprimer à ce sujet. De source bien informée, c'est le titulaire des droits d'auteur qui aurait procédé au montage du film, lequel aurait ensuite été approuvé par le gouvernement avant d'être vendu aux sites de streaming pour être distribué." Disney, propriétaire de la société de production 20th Century Fox, n'a pas fait de commentaire.
Lors de sa sortie, en 1999, le long-métrage n'avait été dévoilé que durant le Festival international du film de Shanghai, mais beaucoup de Chinois y avaient eu accès grâce à des copies pirates. Et ils ne sont pas dupes. Selon Vice, cette fin alternative a été largement relayée et moquée sur les réseaux sociaux du pays. Les Chinois y ont vu l'oeuvre de l'appareil de censure, enclin à remanier les productions jugées "trop violentes, sexuellement explicites ou subversives".
Fight Club est loin d'être un cas isolé. Le film Lord of War, sorti en 2005 et narrant le parcours d'un trafiquant d'armes, a aussi eu droit à une fin plus morale. Le personnage principal, Yuri Orlov, joué par Nicolas Cage, finit par confesser ses crimes, et est condamné à la prison à vie. Et bien évidemment, la mention originale de la Chine parmi les plus grands exportateurs d'armes avait elle aussi été supprimée.
Plagiat, vol, appropriation de thèses... quand les encadrants s’emparent du travail des jeunes chercheurshttps://www.lemonde.fr/campus/article/2022/01/25/les-plus-gros-mangent-les-petits-c-est-comme-ca-quand-des-encadrants-s-approprient-le-travail-des-jeunes-chercheurs_6110816_4401467.html
Alice Raybaud
Dans le monde concurrentiel de la recherche académique, les travaux des doctorants ou des chercheurs en début de carrière sont parfois usurpés par des supérieurs. Un thésard sur cinq a déjà été confronté à cette situation.
Quand Pauline (le prénom a été changé) a dénoncé le vol de son travail de doctorante, beaucoup dans son laboratoire lui ont fait comprendre que cela faisait partie du jeu. « Les plus gros mangent les petits, c’est comme ça », lui a même répondu un professeur. Elle mène à l’époque un projet de recherche sur le fonctionnement démocratique, selon une méthodologie précise : mesurer les conséquences d’une grosse révélation médiatique sur une population. « C’était notre idée-phare, avec le collègue doctorant avec qui je travaillais, et elle marchait bien. » Ils exposent à plusieurs reprises cet angle en interne. Après une présentation, le directeur du laboratoire lui demande d’envoyer ses « slides » et ses données, et la recontacte même pour obtenir des précisions.
« Naïvement, je me disais qu’il faisait ça pour nous aider », raconte-t-elle. Mais, plus tard, la thésarde découvre, estomaquée, que celui-ci prépare un article reprenant une partie de leur travail. « Toute la méthodologie avait été reprise, ainsi que des copier-coller d’éléments envoyés par e-mail, pas encore publiés. » Leurs directeurs de thèse montent au créneau, prudemment, et parviennent à faire ajouter le nom des deux doctorants dans une mention en bas de page de l’article. « Mais celui-ci a été publié dans une revue faisant partie du top 5, donc il nous est maintenant impossible de publier le nôtre. Nous ne sommes plus innovants sur notre sujet », regrette Pauline, qui a quitté la recherche après sa thèse, éprouvée par ces agissements.
S’approprier le travail des jeunes chercheurs : la pratique est répandue dans le milieu universitaire. Selon une enquête parue en janvier dans l’ouvrage Comment l’université broie les jeunes chercheurs (Autrement, 336 pages, 19,90 euros) et menée en ligne auprès de 1 800 doctorants et jeunes docteurs, 21 % des répondants disent avoir vu une tierce personne s’attribuer le fruit de leurs travaux. Souvent un encadrant, comme le note Colin Lemée, président de l’association Doctopus. « Quand la relation est problématique avec le directeur de thèse, le vol de travaux revient souvent dans les témoignages : des brouillons qui sont récupérés et publiés sans leur nom, une partie de la thèse qui est reprise… », observe ce docteur en psychologie, qui n’y a pas échappé durant son doctorat.
« Hyperconcurrence »
Ces abus découlent en partie, selon Khouloud, jeune docteure en chimie, de l’« hyperconcurrence » due au manque de postes chronique à l’université. Et de la nécessité pour les encadrants de s’assurer que chacun de leurs doctorants ait des résultats à présenter, quitte à piller ceux d’autres jeunes chercheurs. Durant sa thèse, son directeur et deux de ses doctorants ont ainsi pris dans ses dossiers une partie de ses données, un jour où elle était en formation. « Ils en ont fait un poster, une affiche présentant des résultats pour une conférence, sans me citer ni me prévenir », raconte l’ex-doctorante étrangère, qui, dans les mois qui ont suivi, s’est vu subtiliser plusieurs échantillons qu’elle avait préparés pour une analyse. Un an après le début de son doctorat, elle a demandé à changer de direction de thèse et a dû commencer un nouveau projet.
A la rentrée 2021, le Réseau national des collèges doctoraux (RNCD) s’est penché sur la question, constatant que ce sujet revenait régulièrement lors de conflits portés à sa connaissance. Dans une enquête sur l’expérience doctorale effectuée auprès de plus de 11 500 doctorants, 15 % des personnes interrogées se disent insatisfaites ou très insatisfaites de la manière dont leur directeur veille à ce que leurs travaux soient bien crédités. « Mais s’il y a parfois vol, il y a aussi des incompréhensions sur ce qui est normal et ce qui ne l’est pas dans cette relation de collaboration. Par exemple, quand un directeur communique sur les travaux de son équipe, ce n’est pas problématique dès lors qu’il cite chaque membre », tempère Sylvie Pommier, présidente du RNCD et vice-présidente chargée du doctorat à l’université Paris-Saclay.
Dans le cadre du travail de thèse, où le sujet est parfois choisi avec l’encadrant, Colin Lemée évoque une « zone grise », qui fait le lit d’abus. « Il n’est pas toujours évident d’objectiver ce qui relève de la coconstruction et ce qui dépend du seul travail du doctorant, explique-t-il. Les jeunes chercheurs ont dès lors assez peu de marge de manœuvre et il est très dur de prouver qu’il y a eu appropriation, surtout face à un titulaire installé. » D’autant que le thésard transmet à son encadrant un grand nombre d’éléments (notes, brouillons, idées directrices…) de manière officieuse, par e-mail ou à l’oral, en réunion.
Quand le directeur de Salomé, alors doctorante en géosciences, a apposé son nom à la place du sien dans un article sur lequel elle avait travaillé, « il [lui] a dit que, comme il avait monté le projet général, les données lui appartenaient, alors qu’il n’avait ni travaillé sur celles-ci ni même relu l’article », raconte la chercheuse, qui a aussi retrouvé ses tableaux récapitulatifs de thèse dans la présentation de son directeur pour un congrès, sans qu’elle soit citée. « Quand je me suis plainte, il a menacé de ne pas me donner les financements pour ma prolongation de trois mois. En fin de thèse, on est très vulnérable, je n’ai pas cherché à argumenter. »
Peu de sanctions
Pour Adélaïde (le prénom a été changé), plagiée par sa directrice de postdoctorat, ces pratiques révèlent un « mépris » pour le travail des jeunes chercheurs. « Cela entre aussi dans un système où il y a une pression pour publier et des plannings surchargés pour les chercheurs en poste, qui n’ont plus le temps de faire de la recherche. Ils vont donc piocher dans le travail de ceux qui peuvent encore le faire : les doctorants et les “post-doc” [les docteurs en contrats courts après leur thèse]. » En 2018, cette jeune maîtresse de conférences en géographie a appris, par le biais d’une lettre de mise en demeure écrite par l’avocat d’une autre jeune chercheuse, que ses écrits avaient été volés par son ex-encadrante de post-doc, directrice de recherche au CNRS. Passages concernés à l’appui, le document l’accusait de plagiat des thèses des deux jeunes docteures.
De larges paragraphes avaient été repris pour rédiger le chapitre d’un manuel. « J’étais très choquée de voir qu’elle s’était servie de documents obtenus dans une position de pouvoir. Pour moi, lors d’un recrutement. Pour l’autre docteure, d’un jury de thèse », raconte Adélaïde, qui n’a pas voulu se lancer dans une procédure judiciaire « longue, compliquée et coûteuse ». Elle a toutefois alerté le directeur de la section du CNRS. La directrice de recherche est restée à son poste, mais les exemplaires du manuel qui n’avaient pas encore été distribués ont été mis au pilon. Interrogé, le CNRS ne se prononce pas sur ce cas particulier. La directrice de recherche plaide une « erreur de jugement » pour un travail fait dans l’urgence.
Inquiets des répercussions sur leur future carrière, beaucoup de doctorants choisissent de taire ces dérives. « Il y a trop peu de garde-fous, y compris dans les revues scientifiques. Quand on fait remonter des questions de plagiat, on observe peu de suspensions de publication, et il est rare que des sanctions disciplinaires s’ensuivent », estime Colin Lemée. Pour repérer ces abus, le RNCD planche sur le renforcement du comité de thèse, principal acteur de vérification du déroulé du doctorat. Il demande à ce qu’il se réunisse annuellement et que le doctorant ait un droit de regard sur ses membres, encore souvent choisis par le directeur de thèse lui-même.
EDIT2 : la putain de classe ! [:haha pfff]https://www.lemonde.fr/campus/article/2022/01/25/les-plus-gros-mangent-les-petits-c-est-comme-ca-quand-des-encadrants-s-approprient-le-travail-des-jeunes-chercheurs_6110816_4401467.htmlC'est bien dégueulasse, oui. :o Pour la petite histoire ça ne m'étonne pas tant que ça, car c'est exactement ce qui arrive au docteur Tenma dans le manga Monster, au tout début de l'histoire. [:aloy]
Ça va, mettez-vous à l'aise, faites comme chez vous, hein ! Modifiez les films comme vous voulez, après tout ! [:delarue4]
EDIT : ouais, après les Benny Hill et consorts c'était pas forcément non plus toujours du meilleur goût, hein. [:fufufu]
https://www.lefigaro.fr/international/accent-indien-sous-entendus-graveleux-la-bbc-chasse-le-langage-raciste-et-les-stereotypes-de-ses-archives-20220125
Je m'éloigne un peu du sujet (mais ce n'est ni une actualité ni une connerie, et pas assez léger pour la cafet')
Je n'ai pas lu HP et m'en désintéresse royalement, mais je suis d'accord avec Dame Yaya : cette autrice fait l'objet d'une campagne de dénigrement à cause d'idées exprimées qu'on pourrait, au plus, taxer de traditionnelles (même pas traditionnalistes) ce qui me donnerait envie de la soutenir rien que pour faire un doigt d'honneur à ses opposants. Quant à la liste de thèmes à cocher, c'est exactement ça et je trouve que ça relève d'un appauvrissement intellectuel désespérant.
Mickey va-t-il finir pas tomber dans le domaine public ?Disney lobbyise à mort pour prolonger les règles sur la propriété intellectuelle et ne pas perdre ses droits sur Mickey&c°.
https://www.youtube.com/watch?v=CXuqoZPxmFo
Dans la série "les joies du copyreich", un type vient de voir sa vidéo YT démonétisée parce que EMI et un autre ayant-tous-les-droits ont gueulé qu'ils détenaient les droits sur... 12s de ronronnement d'un chat [:ok]C'est pas de la connerie gratuite, c'est chercher à se faire du fric et de la célébrité à partir du travail des autres. C'est être un gros trouduc.
https://www.techdirt.com/articles/20220211/09515948450/youtubes-content-id-system-flags-demonetizes-video-cat-purring.shtml
Oui alors je sais bien que n'importe qui peut faire démonétiser n'importe quoi vu comment leur système est foutu, mais n'empêche, à chaque fois on tombe de plus en plus profond dans les abysses de la connerie, ça me laisse pantois [:haha pfff]
Mouerf, ça va pas s'arranger vite...
https://actualitte.com/article/109218/economie/2023-et-la-permacrise-du-papier-l-industrie-du-livre-inquiete
https://actualitte.com/article/109156/librairie/le-calvaire-des-librairies-face-aux-hausses-de-prix-des-livres
Epub, malheureux. Le pdf c'est statique et chiant à utiliser. Mais la lecture sur écran me saoule donc très peu pour moi. Sinon y a le papier minéral, mais j'ignore si c'est cher ou pas. [:fufufu]
https://www.croque-bouquins.fr/papier-mineral/
De toutes façons, un bon livre est un livre dont on n’a pas besoin de passer des exemplaires au pilon parce qu’on sait qu’ils se vendront un jour ou l’autre. :oAlors qu'un best-seller, par principe, est tiré à beaucoup plus d'exemplaires que nécessaire, pour occuper toute la place en librairie et ne rien laisser à la concurrence. Le surplus partant au pilon par palettes entières.
J’ai vu dans mes contacts que c’était la révolution sur ArtStation et que les artistes essayaient de bannir les images obtenues par IA. Le monde de l’édition des comics réagit, certaines maisons affirment qu’elles vont blacklister les artistes qui leur enverront sans le dire des travaux obtenus par l’IA. C’est bien, ne laissez pas votre travail être spolié, les gars.Certains semblent déjà s'en servir.
J'ai vue passé une levé de bouclier il y a quelques semaines sur Tumblr car apparemment ils ont pillé les fanfics sur AO3 pour entrainer une IA d'écriture.
Ça calmerait les furieux de l'impression, en tous cas. :o
C'est vrai que les propriétaires d'esclaves étaient bien respectueux de l'intimité de leur cheptel serf... même mes 6e se posent la question en se doutant de la réponse.Les enfants, cette année nous allons travailler sur l'inclusivité et la tolérance dans l'esclavage. :o
Ma doué... Faut pas choquer les petits nienfants, des fois que ça les traumatiserait. ::)C'était 50 nuances de Grey ?
https://actualitte.com/article/109521/scolarite/roman-jeunesse-des-enseignants-de-college-indignes-par-le-viol-d-une-esclave
La merguez finirait grillée vive, avec un truc pareil maintenant. :oBen ouais, prends ça sous l'angle de l'esclavage consensuel du sadomasochisme [:petrus] en te protégeant de l'armure LGBTQIAPK (K pour Kink).
Les enfants, cette année nous allons travailler sur l'inclusivité et la tolérance dans l'esclavage. :o
Quand j'étais au collège on a eu doit à Gargantua et Pantagruel en cours de français. C'est plein de mots pas très catholiques. [:trollface]Il me semble que nous c'était au lycée mais je peux me tromper. [:fufufu]
Les notes du lecteur sont à mourir de rire [:lol]
Sinon, je ne connaissais pas et... OMG, que c'est mal écrit ! Aucun style, écriture simpliste et j'en passe. Qu'est-ce que c'est encore que cette purge ?
C'est le genre "80 shades of gray"-like.80 Shades of Gray ?
Faut bien être racoleur et facile à vendre.
Oui c'est n'importe quoi, mais après c'est assumé d'être dans une "réalité alternative" ce qui est déjà un progrès comparé à la dernier production "historisantes" de Shonda Rhimes où elle était en plein dans la délire "Il y a toujours eu plein de noirs partout et tout le temps dans la société c'est juste que les blancs les ont effacés de l'Histoire" [:aie]Allez vas-y, fais moi rêver, c'est quoi le truc en question ? [:aie]
Allez vas-y, fais moi rêver, c'est quoi le truc en question ? [:aie]
Bon si c'est pas notre monde de référence (grands événements et personnages différents) alors ça passe, évidemment.
Ben dans Vikings il y a bien une fille bâtarde de l'Empereur de Chine qui se retrouve esclave à Kattegat. :DNan mais à la rigueur là c'est plus plausible [:fufufu] : Varègues → Russie → peuples de la steppe → Chine. Ok, y avait moyen de croiser des Asiatiques, même si c'était probablement pas super fréquent. Alors qu'à la même époque, le seul point de contact entre l'Afrique noire et le bassin méditerranéen c'est par le Soudan et l'Égypte. Et plutôt vers l'est que vers l'ouest, d'ailleurs.
Je suis en train de regarder Viking Valhalla produit par Netflix (l'original était mieux mais cette suite se laisse tout de même regarder). Dans la S1, ils ont quand même réussi à mettre une femme noire dans un rôle de jarl.Du coup on pourrait envisager de pousser la logique encore plus loin. Coming soon :
En Norvège.
Au 11ème siècle.
Je ne dis pas : le personnage était chouette mais niveau crédibilité, bon...
Et devant la volée de bois vert qu'elle s'était prise, Rhimes avait sorti son laïus sur le fait l'histoire de l'Europe était noire que les blancs les avaient effacés des livres, etc, etc. [:facepalm]Misère. [:tsss]
On te répondrait probablement que les Vaïkings avait des contacts avec le Moyen Orient via les voies fluviales de l'Europe de l'Est et que bon, le Moyen Orient c'est pas si loin de l'Afrique. [:trollface]
Et comme les Vaïkings sont un peuple libre et démocratique où l'esclavage c'est mal, bien sûr qu'un noir ne peut pas être un esclave, c'est forcément un chef.
Au temps pour moi, je ne savions point. J'ai pas regardé au delà du premier épisode de la série d'origine tellement ça me gonflait.Je vois pas pourquoi, ça ne fait qu'illustrer le passé tel qu'il s'est produit, l'important c'est que ça fait réfléchir. Même si la reine norvégienne est noire et ses esclaves représentatifs de toute la diversité humaine actuelle, comme ça l'était déjà il y a mille ans en Europe. :o [:trollface]
C'eût été comique que l'esclave soit noire mais j'imagine que ça serait mal passé. [:lol]
On te répondrait probablement que les Vaïkings avait des contacts avec le Moyen Orient via les voies fluviales de l'Europe de l'Est et que bon, le Moyen Orient c'est pas si loin de l'Afrique. [:trollface]
Et comme les Vaïkings sont un peuple libre et démocratique où l'esclavage c'est mal, bien sûr qu'un noir ne peut pas être un esclave, c'est forcément un chef.
Pour la première partie, c'est effectivement la justification apportée dans la narration : le père ou le grand-père Viking a ramené une épouse noire issue de ses pérégrinations sur le continent africain (pourquoi pas), ça a fait des enfants dont ce personnage qui avait épousé un Jarl. Lequel est mort et elle a pris sa place sur le trône. C'est là que c'est tordu : que des Vikings acceptent sans sourciller un noir en tant que Jarl alors dans le même épisode, tu vois des noirs et des asiatiques sur le marché aux esclaves de Kattegat, comment dire... [:aie]
C'est aussi révélateur d'une grande paresse intellectuelle de la part de certains auteursAh bordel, j'allais l'écrire et tu m'as grillé. :o
Nan mais à la rigueur là c'est plus plausible [:fufufu] : Varègues → Russie → peuples de la steppe → Chine. Ok, y avait moyen de croiser des Asiatiques, même si c'était probablement pas super fréquent. Alors qu'à la même époque, le seul point de contact entre l'Afrique noire et le bassin méditerranéen c'est par le Soudan et l'Égypte. Et plutôt vers l'est que vers l'ouest, d'ailleurs.@Rincevent
Une totale liberté de penser cosmique vers un nouvel âge réminiscent arrive en France après les É.-U. d'A. (article payant) : https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2023/01/15/dans-le-milieu-de-l-edition-la-question-sensible-des-sensitivity-readers_6157904_4500055.htmlAh oui, j'avais oublié de lire ça. Le texte intégral ci-dessous :
OK pour la censure et le ministère de l'Information si c'est au service du Bien (comme avant en fait).
Ah. Bon... alors c'était théoriquement possible durant la pax mongolica, cf l'ambassadeur venu rendre visite au rois de France et d'Angleterre (dont le nom m'échappe présentement), mais avant... Hem.J'ai relu son histoire pour éviter de dire des bêtises.
Elle n'est pas arrivée en Francie de son plein gré, mais alors qu'elle était déjà esclave après avoir été capturée par des pirates.Oui, donc pas la peine de se creuser la tête niveau crédibilité, c'est du bullshit. Pas totalement impossible = extrêmement invraisemblable quand même. :o
Son cheminement jusqu'en Francie puis en Norvège est donc un peu tiré par les cheveux, mais pas totalement impossible. [:fufufu]
En bref ils font de l'appropriation culturelle :oSerge professe des accusations très graves ! [:wtf0]
Ah oui, j'avais oublié de lire ça. Le texte intégral ci-dessous :
A Paris, l’agente littéraire anglaise Susanna Lea, qui compte parmi ses clients Marc Levy et Riad Sattouf, a déjà eu recours à un sensitivity reader (mais note qu’en France les éditeurs n’en comprennent pas du tout l’utilité) : « Si quelqu’un parle de botanique dans son livre, on le fait relire par un botaniste pour vérifier que les descriptions sont conformes. Bien utilisé, le sensitivity reading est une simple extension du fact-checking. Il n’est pas question de limiter le droit du romancier de raconter l’histoire qu’il ou elle veut, mais simplement de s’assurer que la fiction est de qualité, c’est-à-dire crédible. »De quoi ? Mais sérieux, qu'est-ce qu'on s'en tape si un auteur confond une rose et un rhododendron dans un roman ? C'est un roman, pas un bouquin de botanique ! Va falloir une équipe de physiciens et de médecins, pour le prochain volume de ND ? [:ruu2]
J'étais tombée sur sa photo, l'année dernière, lors d'une recherche personnelle sur les Vikings, et avoue avoir été très surprise, sur le moment. Merci pour vos explications, étant donné que les Vikings, je lis plus sur eux que de regarder des séries à leur propos (je préfère regarder les documentaires sur les dernières trouvailles archéologiques). Voilà.Oui, il ne faut pas voir dans Vikings autre chose qu'une fiction s'inspirant de l'Histoire tout en prenant beaucoup de libertés avec les faits avérés, notamment en rendant contemporains des personnages qui n'auraient jamais eu l'occasion de se croiser dans la réalité. Par exemple les deux rois anglais Aelle et Ecbert. Contemporains dans la série, mais pas dans les faits historiques. [:aloy]
Mouais... Sauf qu'un "sensivity reader", sa mission 1ère n'est pas "fact-checker". C'est plus vicieux et pernicieux.CiterA Paris, l’agente littéraire anglaise Susanna Lea, qui compte parmi ses clients Marc Levy et Riad Sattouf, a déjà eu recours à un sensitivity reader (mais note qu’en France les éditeurs n’en comprennent pas du tout l’utilité) : « Si quelqu’un parle de botanique dans son livre, on le fait relire par un botaniste pour vérifier que les descriptions sont conformes. Bien utilisé, le sensitivity reading est une simple extension du fact-checking. Il n’est pas question de limiter le droit du romancier de raconter l’histoire qu’il ou elle veut, mais simplement de s’assurer que la fiction est de qualité, c’est-à-dire crédible. »De quoi ? Mais sérieux, qu'est-ce qu'on s'en tape si un auteur confond une rose et un rhododendron dans un roman ? C'est un roman, pas un bouquin de botanique ! Va falloir une équipe de physiciens et de médecins, pour le prochain volume de ND ? [:ruu2]
Ça vaut quoi, Lulu.com ? Je connais vaguement de nom, mais je serai pas contre un avis détaillé pour m'aider [:dawa]
Y'a-t-il un capital de départ à engager ?
Les procédures sont-elles fastidieuses ?
Est-ce que pour l'instant, tu as pu gagner des sommes intéressantes par tes bouquins, si ce n'est pas trop indiscret ?
Pour l'écriture, tu écris quand même en format A4, ou bien tu adaptes d'avance tes marges pour le format poche ?
J'ai appris que certaines plate-formes avaient du mal avec des notes en bas de page, que j'utilise beaucoup... tu en sais quelque chose ?
Après oui, j'écris de la fantasy pour adulte, mais je suppose que ce n'est pas grave ou répréhensible si je ne le précise pas, en tant que petit auteur...
Cet état d'esprit me saoule. Par contre j'avais cru comprendre que Dahl s'était excusé de certains propos mais je confonds peut-être avec un autre auteur (j'ai en tête une histoire de termes péjoratifs visant les Asiatiques avant ou au cours de la Seconde Guerre).
Attention, gros pavé dans la mare culturelle :
https://actualitte.com/article/99203/interviews/seuss-le-vivre-ensemble-et-la-cancel-culture
https://twitter.com/ShackletonCI/status/1627730312925966336
Quand ça commence à sentir le fumier aussi pour nous, les écrivains. :o
Putaing, ces parasites cupides du monde de la culture... Plus ça va, plus on voit que l'IA et son usage réel nous mènent vers un futur dystopique. [:beuh]
Putaing, ces parasites cupides du monde de la culture... Plus ça va, plus on voit que l'IA et son usage réel nous mènent vers un futur dystopique. [:beuh]Après ce qui va être rigolo c'est quand il va y avoir des gens qui vont réaliser qu'il n'y a pas de droits d'auteurs sur quelque chose de crée par une IA et chacun pourra faire une copie conforme du best seller fait par l'IA et le vendre à son compte avec genre une couverture plus attrayante. :o
Jusqu'à ce qu'un juge quelconque reconnaisse la validité de la création par une IA. Il me semble qu'il y a eu des tentatives de ce genre.Du coup ils devraient revenir sur tous les cas qui ont été jugés où tout ce qui est non humain ne peut avoir de droits d'auteur que ce soit ton chien qui a fait une toile en bougeant sa queue avec de la peinture sur une toile ou un gorille qui a prit une photo.
Entre l'extrême droite américaine qui veut faire disparaitre les livres, et l'extreme gauche qui veut les réécrire, on est bien barrés pour l'avenir. [:mouaisok]L'extrême gauche veut les faire disparaître aussi, pas juste réécrire, comme les Tintin en Amérique brûlés ou transformés en terreau.
Le plus "drôle" c'est que certains choix paraissent parfois pire que le terme original comme le "fat" transformé en "enormous"
-Sergorn
L’inclusif, c’est de m’inclure moi et les gens que j’aime bien, les autres peuvent aller se faire enculer.Bwahahaha ! Mais tellement ! [:lol]
Il était une fois une personne à l’ego surdimensionné. Elle était tant et si bien persuadée d’avoir atteint le sommet le plus élevé de la montagne morale qu’elle s’octroyait le droit de juger autrui et de le faire taire à sa guise. Elle était si imbue d’elle-même qu’elle se donnait toutes les qualités, à commencer par l’empathie et l’amour des autres. En conséquence, elle ne doutait jamais de ses actes, certaine que ses immenses qualités la protégeaient de toute erreur et de toute dérive. Et puisqu’elle avait raison sur tout, ceux qui s’opposaient à elle n’étaient-ils pas dans l’erreur ? Puisqu’elle était une championne de l’amour, alors n’étaient-ils pas les agents de la haine ? Voilà bien pourquoi il était naturel, et même bienveillant de sa part de faire taire ces voix discordantes, ces propos contraires à ses propres pensées. Bien sûr, elle n’avait aucune notion de ce qu’était le « totalitarisme », et son absence complète d’empathie véritable l’empêchait de prendre du recul sur ses propres errances et le mal qu’elle causait. Un matin, elle sortit de chez elle.[:akame]
Vous me direz « Oui, mais pensez à ce que vont ressentir les gens visés !«[:perv]
Si les sentiments faisaient office de loi, mon mépris pour vous vous aurait déjà tous collés au gnouf mes petits amis. Tout comme l’auteur a le droit de faire ce qu’il veut, le lecteur aussi. Il peut sauter des pages, refermer le livre, voire ne pas le lire du tout. Et si jamais vous avez envie de vous exclamer « Ouiii mais imaginez les dégâts que peuvent causer ces livres !« , je commencerai à croire que ça vous intéresse quand vous vous attaquerez aux livres dont les gens font des religions. Mais tant qu’on aura une armée de courageux qui tombe sur le rab’ du Club des Cinq ou de Charlie et la Chocolaterie, excusez-moi de maintenir, mais je pense qu’on peut parler de gros lâches qui tailladent courageusement les affaires des enfants.
Aussi, chers lecteurs en sensibilité, laissez-moi terminer :
Votre sensibilité, elle est quand même drôlement mal placée.
elle était si imbue d’elle-même qu’elle se donnait toutes les qualités, à commencer par l’empathie et l’amour des autres. En conséquence, elle ne doutait jamais de ses actes, certaine que ses immenses qualités la protégeaient de toute erreur et de toute dérive. Et puisqu’elle avait raison sur tout, ceux qui s’opposaient à elle n’étaient-ils pas dans l’erreur ? Puisqu’elle était une championne de l’amour, alors n’étaient-ils pas les agents de la haine ?Tien : pile la description au mot près d'une personne que j'ai (malheureusement) connue [:fufufu]
Ce que loupe cette analyse c'est que wokisme et appat du gain ne sont pas incompatibles. :oPossible mais inquiétant si ce "marché" est suffisamment grand pour rentabiliser une nouvelle édition à lui tout seul.
Le choix des modifications n'est pas du tout innocent et vise bien un certain public précis. [:aloy]
-Sergorn
https://twitter.com/ZoeDubus/status/1632401796105633792Si c'est vrai, c'est vraiment retors. Machiavélique ! [:cronos]
Tiens d'autres hypothèses/avis sur Charlie et la Chocolaterie, etc !
En scred, ça veut dire ce que ça veut dire : le livre traîne dans la bibli, et "ooh, il n'est pas dans notre base de données, mais on va pas le mettre à la poubelle ni froisser le client qui veut le commander... rah là là, on n'a pas le choix, on va devoir l'ajouter à notre répertoire même si ce n'est pas dans nos us, maintenant qu'il est là..."
Enfin, merci quand même [:aie] Je demande toujours parce que je sais que parfois, la bibli de mon village natal mets en rayon les bouquins qu'on leur donne bénévolement...
Ah, la seule que je ne connaissais pas, c'est "gaupe". Les autres sont plutôt connues.@Nicodémüs
Quand on y pense, on a un catalogue d'insultes et de jurons qui est quand même assez fantastique. [:lol]
Aberrant le taux de rapacitude des libraires : ils demandent entre 25% et 33% du prix de vente pour leur marge personnel. Même moi, j'en touche pas autant... si je veux me faire le moindre euro en vendant en librairie, il faudrait que je vende mon bouquin au prix des lingots d'or. C'est absolument ouf que l'auteur, qui peut avoir mis dix ans de sa vie dans un ouvrage, ne touche rien par rapport aux imprimeurs, aux libraires, etc. [:haha pfff]C'est pareil pour les disques :
Oui mais non, le principe d'une fanfic c'est que tu es, de base, hors les clous et ne peux réclamer quoi que ce soit devant la justice. C'est juste toléré (et pas par tous comme on le voit) mais ça n'est pas vraiment légal à partir du moment où tu partages au monde entier ta création. Du point de vue moral, éventuellement, sachant que le principe même d'une fanfic est d'utiliser la création d'autrui et que donc il faut garder en tête qu'on peut se faire taper sur les doigts à n'importe quel moment.
Et j'avais entendu dire que c'était légal de les publier tant qu'il n'y a pas d'argent fait dessusNon, non et non.
Il n'y a pas aussi une histoire d'importance des gains ?Le fanart et la fanfic, c'est illégal tout court, même sans gagner d'argent dessus.
Why does the OTW believe that transformative works are legal?
Copyright is intended to protect the creator’s right to profit from her work for a period of time to encourage creative endeavor and the widespread sharing of knowledge. But this does not preclude the right of others to respond to the original work, either with critical commentary, parody, or, we believe, transformative works.
In the United States, copyright is limited by the fair use doctrine. The legal case of Campbell v. Acuff-Rose held that transformative uses receive special consideration in fair use analysis. For those interested in reading in-depth legal analysis, more information can be found on the Fanlore Legal Analysis page.
As mentioned in a previous post, US copyright law gives the right to create derivative works exclusively to the authors who created that original work. On the surface, this would seem to make fanfiction a clear violation of the law.
However, according to many lawyers, such as those associated with the Organization for Transformative Works, the nonprofit organization that runs the AO3 website and offers legal advice and assistance to fanfiction authors, fanfiction is absolutely legal under the fair use doctrine. Fanfiction is fair use as long as the work is “transformative,” meaning that the new author added content with new meaning and value to the original work. The derivative work must also be “noncommercial” in nature, meaning the author does not make any money from their fanfiction. These two ideas line up with two of the four previously mentioned principles of fair use, which look at the “nature” of the work and its effect on the market for the original work.
Personne n'a passé le message aux avocats qui bosse pour AO3 dans ce cas.Les US, ce ne sont pas l'Europe ;)
https://www.transformativeworks.org/faq/ (https://www.transformativeworks.org/faq/)
https://library.jefferson.edu/librarynews/index.php/2022/02/23/fair-use-and-fanfiction-3-of-4/#:~:text=However%2C%20according%20to%20many%20lawyers,under%20the%20fair%20use%20doctrine. (https://library.jefferson.edu/librarynews/index.php/2022/02/23/fair-use-and-fanfiction-3-of-4/#:~:text=However%2C%20according%20to%20many%20lawyers,under%20the%20fair%20use%20doctrine.)
Si le serveur qui héberge la fanfic est aux US c'est safe. [:aie]
Mais ça rend ton jamais faux.Je pense que si Disney, Warner Bros, Sony ou autre décidaient de vraiment mettre la pression aux sites d'hébergement, ces derniers finiraient vite par plier.
Dans la mesure où certains auteurs et ayant droits autorisent voire encouragent les fanwork dire que c'est toujours 100% illégal est un peu excessif. :oNon non, de base c'est illégal. Certains ayants-droits peuvent exercer leur tolérance en ne poursuivant pas voire en encourageant, mais suivant les pays ça peut ne pas fonctionner. Ex : un auteur ayant cédé la gestion de ses droits à la SACEM pourrait inciter à reprendre son œuvre pour que la SACEM vienne facturer par-derrière en ignorant son avis.
tu te demandes quelles conneries vont encore circuler indéfiniment. [:delarue5]Réponse : toutes les conneries qui conforteront les idées préconçues des consultants et les idées les plus simplistes aptes à s'implanter dans les cerveaux ne disposant pas d'esprit critique (par jeunesse, par bêtise, par paresse...)
Ah ben ça y est. Il était plus que temps. Ils vont lutter et faire chier de toutes leurs forces mais l'étreinte commence à se desserrer.Il y a une erreur quand même dans l'article, ou un peu de mauvaise foi : Disney n'a pas créé le happy end de Pinocchio. C'est bel et bien l'auteur originel, Collodi, sur demande de son éditeur. La différence, c'est que chez Disney c'est la Fée Bleue qui transforme Pinocchio en humain après qu'il se soit noyé en sauvant son père, alors que dans l'histoire d'origine il doit travailler un certain temps pour subvenir aux besoins de son père et mettre fin à son égoïsme.
https://actualitte.com/article/115018/edito/disney-a-fini-par-se-faire-mickey
Il y a une erreur quand même dans l'article, ou un peu de mauvaise foi : Disney n'a pas créé le happy end de Pinocchio. C'est bel et bien l'auteur originel, Collodi, sur demande de son éditeur.Oui, Collodi avait d'abord fait une fin triste (le pantin mourrait pendu), mais suite aux réactions du jeune public, il avait redémarré l'histoire en ressuscitant le héros, et avait donc fait une suite menant à un happy end.
Bien sûr, rien de tout ça n'apparaît dans les versions Disney parce que le but de leurs films estparce que le but de leurs films est de se vendre un max ainsi qu'un max de produits dérivés. On a toujours plus de chances de vendre une poupée Disney qu'une poupée Freddy Krueger.normalement de passer un bon moment.
Petite correction : ce ne sont pas les nains qui provoquent la "manœuvre de Heimlich involontaire" qui permet à Blanche Neige de recracher la pomme, mais les hommes du prince, en transportant le cercueil.
Quand à la Belle au Bois Dormant, c'est dans le roman Le Soleil, la Lune et Thalie, qui a inspiré le conte, que le viol a lieu. Quand Charles Perrault adapte ce roman et crée le conte de la Belle au Bois Dormant, il supprime le viol.
parce que le but de leurs films est de se vendre un max ainsi qu'un max de produits dérivés. On a toujours plus de chances de vendre une poupée Disney qu'une poupée Freddy Krueger.
les belles-sœurs de Cendrillon se mutilent pour essayer de passer la pantoufle de vair à leur pied, etc.