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Re : Re : Questions/Réponses
Kanon est un usurpateur dans les faits comme dans l'intention, mais... c'est quand même lui le "vrai" Dragon des mers. Après que Poséidon est reparti faire dodo, Kanon brûle son cosmos et la scale réagit direct en harmonie avec lui, et vient même toute seule comme une grande le recouvrir. Donc je dirais que lui et la scale sea dragon étaient énergitico-cosmico-compatibles, puisqu'elle l'a choisi, ou plutôt qu'elle a répondu favorablement au choix de Kanon de devenir un général (pas futée cette scale  [:aie]).

Le seul truc dommage avec cette vraie fausse usurpation d'identité, c'est qu'on aura jamais vu de techniques de combat typiques et traditionnelles d'un "Dragon des mers"  :'( Mais je mettrais bien une pièce sur un arcane puissant qui laisse le coeur à découvert pendant un millième de seconde, comme pour tout bon dragon qui se respecte ^^

J'ai toujours vu le Golden Triangle (qui fait référence au Triangle des Bermudes, situé qui plus est dans l'Atlantique nord…) comme une arcane liée à la Scale du Dragon des Mers justement.

04 octobre 2018 à 14:24:25
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[Jeu vidéo] Jump Force [PS4, Xbox One, PC] (Février 2019) Vu que le jeu intégrera des personnages issus de Saint Seiya, je me suis dit qu'il serait pertinent qu'il ait son topic ici.

Trailer de gameplay pour Seiya et Shiryu.


Ils ont visiblement les mêmes patterns que dans Brave Solider/Soldier Soul, à la différence près qu'ici ils pourront enfiler leur armure d'or en plein combat.

Pour l'instant, le jeu compte 22 personnages, d'autres seront encore annoncés, peut-être même d'autres personnages issus de Sts (Saga ou Ikki sûrement).


12 octobre 2018 à 14:31:53
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Re : Saint Seiya ~ Saintia Sho ~ Anime (décembre 2018) Il me semble qu'elle était créditée en tant que réalisatrice sur le dernier pachinko, tandis qu'Himeno s'occupait de l'animation.
13 octobre 2018 à 00:40:08
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Re : Saint Seiya ~ Saintia Sho ~ Anime (décembre 2018) Du magical girl on en avait même dans la série d'origine. [:trollface]

Spoiler (click to show/hide)

14 octobre 2018 à 12:31:55
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Re : Les interviews des auteurs/scénaristes etc (MAJ: 2015/09/26 page 53) Interview de Yamauchi dans le numéro 224 d'Animeland.

SHIGEYASU YAMAUCHI
La réalisation comme expression.


[Propos recueillis par Bruno De La Cruz]

" Hikarimono Yamauchi ", autrement dit " Yamauchi le lumineux ", est l'une des plus grandes figures de Toei Animation, notamment pendant les années Saint Seiya et Dragon Ball. C'est avec un très grand plaisir que nous avons pu nous entretenir avec lui pendant un bon moment.

Pendant quatre jours, Shigeyasu Yamauchi a trainé sa bonhomie dans l'antre de Tsume Fan Days. Tandis que nous étions en train de partager un moment avec Masahiko Okhura (voir Animeland n°218), le célèbre Réalisateur est venu prendre place aux côtés de celui qu'il a lancé chez Toei, afin de répondre à nos questions et revenir sur sa carrière.


Précédemment, vous aviez dit que tout le monde ne vous aimait pas chez Toei. Pourquoi aviez vous ce sentiment ?

Ils sont très "kadowari" (pointilleux)… Je peux comprendre qu'on puisse ne pas m'aimer. J'ai toujours soutenu monsieur Okhura, je l'ai aidé, c'est peut-être un comportement avenant qui n'était pas apprécié.

Vous aviez aussi connu des gens qui ont compté pour vous, comme Masami Anno (Le petit chef, Nils Olgersson) ou Kozo Morishita (Dragon Ball Z, Albator, Saint Seiya) justement...

Je dirais que Masami Anno a surtout été comme un père pour moi. Il était de chez Tatsunoko, mais c'était un freelance comme moi à l'époque. Il m'a montré comment démarcher, trouver du travail. C'est vital quand vous commencez. Il m'a détaillé les rouages de ce milieu concurrentiel. D'un côté plus technique, c'est Tomoharu Katsumata (réalisateur de Devilman, Saint Seiya) qui m'a tout appris : les plans de réalisation, comment penser à un storyboard... J'ai surtout compris que la perfection n'existait pas : à chacun de mes cuts il repassait pour les retoucher. Sur une scène de Capitaine Flam par exemple, il venait ajouter des traits sur les barreaux en métal, pour le réalisme. J'ai compris qu'être réalisateur ce n'est pas seulement contrôler la bonne marche d'une production, mais aussi d'aller sur le détail de chaque maillon pour améliorer le tout.

En parlant de Storyboard, vous déclarez souvent votre amour pour les plans serrés (voir Animeland n°220).

Prenons une scène de baseball (il se lève et mime un lancer de balle). Un plan en pied peut perdre de sa force. On doit donc créer une ellipse et jouer avec le temps, pour renforcer le dynamisme. Je ressers le plan pour, soit alourdir, soit alléger la partie du corps que je veux montrer. Marquer un temps d'arrêt, couper la séquence en plusieurs plans, permet de montrer la puissance du geste (il lance la balle imaginaire). Par exemple, j'adore les jambes, je trouve qu'elles ont quelque chose de noble. En décomposant le geste de la sorte, on donne de la force au mouvement. Toei Animation est connu pour produire beaucoup de cuts, donc il faut des idées pour obtenir ses effes avec le moins de travail possible.

On vous présente souvent comme le créateur de Broly, mais dans un précédent numéro, nous analysions votre travail sur l'épisode 232 de DBZ. On retrouve ce que vous veniez de dire...

Honnêtement, je ne m'en souviens pas. J'avais même oublié avoir réalisé l'épisode où Goku se transforme en Super Saiyan… Est-ce quelque chose à dire (rires) ?

C'était il y a trente ans… Je peux dire que, même si le succès de la série était confidentiel pour le staff, je me suis bien amusé sur Dragon Ball. Avoir créé Broly est une belle satisfaction. Il a beau être le plus fort de sa race, il n'en reste pas moins le plus triste, le plus vide. C'est un paradoxe que j'aime.

Pour rester sur Toei, on a souvent entendu que votre départ de la société avait eu lieu à cause du film Saint Seiya Tenkai-hen (Ouverture). Est-ce vrai ?

Ça n'a aucun rapport ! Je peux dire que je suis vraiment très fier d'avoir fait ce film. Vraiment. Ça correspondait complètement à ce que je voulais faire. Une approche différente des autres longs métrages de Saint Seiya, c'est-à-dire montrer un amour fantasmé entre Saori et Seiya, et non pas entre le chevalier et la déesse. C'est toute la nuance. C'est un amour contrarié, un peu à la française : les personnages se croisent, se ratent, se regardent à distance. Le format TV sous-entend cet amour, mais il se prédestine à qui, Athéna ou Saori ? En interne, peut-être que ma vision n'a pas été captée par tout le monde…

Pour être honnête, j'ai pensé plusieurs fois à quitter Toei. Pourtant à chaque fois qu'un nouveau défi apparaissait, montage, réalisateur, directeur d'animation, etc., je le relevais. Si je suis parti, c'est tout simplement parce que j'avais fait le tour de la question à toei. Bon, j'avoue avoir un regret, celui de ne pas être intervenu sur le film de Kochikame. Personne ne m'a appelé (rires) !

Sur votre route, vous avez toujours su exploiter des animateurs/character designers comme Shingo Araki (Saint Seiya, Lady Oscar) et Yoshihiko Umakoshi (Mushishi, My Hero Academia). Comment l'expliquez-vous ?

Il existe un lien très fort entre Araki-san et moi. On se comprenait en un coup d'œil (1).  (Il prend son temps.) C'est quelqu'un avec qui on pouvait discuter de tout. Umakoshi-san était pareil. Ce sont des gens sensibles à la mise en scène. qui sont réceptifs. Umakoshi est comme Araki. Par son seul style graphique, il peut dépeindre une ambiance, une identité, donner un esprit  à une scène. Quand on me demande quelle est mon œuvre la plus personnelle, je réponds le film de Magical Doremi. Au niveau de la mise en scène et de l'apport musical, c'est ce que j'ai fait de mieux. Mais il y a aussi Casshern Sins, car c'est la première fois que j'expérimente une série d'action sous ce regard. Saint Seiya mettait en lumière des combats contre le destin, des divinités, mais dans Casshern, il y a une légèreté unique, une fluidité semblable à de l'eau qui coule. On ne voit pas les traces de pas du héros quand il bondit, on est presque dépassé par son agilité. C'était un défi de me sortir du personnage de Tatsunoko, très orienté dans les arts martiaux traditionnels, pour lui donner plus de poésie ou quelque chose d'intouchable. Ce qui est amusant, c'est ce que Casshern Sins et le film de Magical Doremi ont le même character designer, Umakoshi-san (il sourit). Le lien entre un réalisateur et un animateur est primordial.

Je me souviendrai toujours de l'ending de Doremi. Sur le dernier plan, on y voit la main d'un personnage, mort de dépit, symbole de la séparation entre une mère et sa fille. Quand j'ai demandé ce plan, même Umakoshi-san m'a dit que c'était dur de retranscrire ce sentiment, et pourtant il a réussi. Sur une image fixe , c'est très fort. C'est ce que j'essaie de léguer à Saori Nakanishi (2). Le travail de directeur d'animation n'est pas uniquement de se référer au modèle pour être cohérent. Elle doit livrer ce que le réalisateur a en tête. Si, dans un layout, un personnage a perdu sa mère mais rit, il faut un rire spécial, nerveux. Un sentiment partagé qu'il faut mettre à l'écran. Corriger ne suffit pas. Bon, elle est jeune et c'est peut-être ce que sa senpai (Nishi Terumi, NDLR) lui a appris, mais ce que j'explique là est un aspect important.


On en parle peu, mais vous avez aussi travaillé avec Shin'ichirô Watanabe sur Cowboy Bebop, le temps d'un épisode. Quel souvenir en gardez-vous ?

C'était une superbe expérience ! À l'époque, Cowboy Bebop a vraiment fait du bien à l'animation car il y avait très peu de programmes pour adultes qui étaient intéressants. La place était occupée par des séries pour enfants sans intérêt ou des anime qui ne racontaient pas grand chose avec deux ou trois seiyu connus... Bebop était comme une étoile filante dans le milieu, avec un monde plus sauvage. Pour cet épisode, j'ai mis le doigt sur cette amitié virile, l'honneur, qui existent entre les membres du groupe. Ça faisait longtemps que je n'avais pas fait ça... Je me suis régalé !

L'actualité, enfin, c'est le décès d'Isao Takahata...

C'était tout simplement quelqu'un d'extraordinaire, un philosophe de la réalisation. Hayao Miyazaki avait l'habitude de faire des personnages qui crèvent l'écran, qui attirent la lumière. La mise en scène, d'Isao Takahata était introvertie, en retrait. Avec lui, même la mort de Setsuko est calme, mais elle te prend le coeur comme jamais. Il avait également une oreille musicale incroyable. Il savait où et comment placer la musique.

C'est lui qui a tout fait sur les films de Ghibli. D'ailleurs, on a vu le changement sur Le Voyage de Chihiro. Un seul thème revient en boucle et la musique n'est pas pensée par rapport à la scène. Avec la mort d'Isao Takahata, on a perdu quelque chose d'énorme.


remerciements aux interprètes Pierre Giner et Nourredine Widad, Sebastien Agogué (pour la tranche horaire dépassée) et à Shigeyasu Yamauchi pour sa disponibilité.
1. À l'occasion d'un souvenir évoqué en conférence. Shigeyasu Yamauchi disait ceci à propos de Shingo Araki et leur collaboration : " Durant l'épisode où Jamian (le chevalier du Corbeau) enlève Athena, je suis intervenu sur la mise en scène de la deuxième partie, Athena avait gardé ses habits, je ne trouvais pas ça crédible, alors on lui a enlevé ses bijoux et on l'a dessinée pieds nus, pour montrer la délicatesse de sa position. On n'a pas trop accordé d'importance à la cohérence avec les épisodes précédents (rires). "
2. Une animatrice qui a fait le voyage avec Shigeyasu Yamauchi, M. Okhura et Masashi Kudo. On vous en reparle très bientôt.




17 octobre 2018 à 16:11:54
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Re : Saint Seiya ~ Saintia Sho ~ Anime (diffusion dès le 10 décembre 2018) Sur l'illu de l'anime, elle n'a plus son short, donc on peut dire qu'ils ont tout de même pris quelques libertés. :o
18 octobre 2018 à 18:42:49
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Re : Saint Seiya - topic sur le staff (hors Omega) Effectivement, TMS et Sunrise pour ne citer qu'eux, faisaient de bien plus belles séries que la Toei, même à l'époque. Et encore Saint Seiya est un miracle au sein du studio, car Morishita avait largement dépassé le budget qui lui avait été attribué.

Citer
Nous sommes d'accord ! C'est juste qu'en creusant un peu, on se rend compte qu'un grand nombre d'épisodes sont très loin de valoir ceux de Araki, Imeno et Inoue, ces trois là étant un peu la caution pour dire que l'animé est largement supérieur au manga. L'autre série phare de la Toei, en l'occurence "Dragon Ball Z", adaptée en même temps que "Saint Seiya" souffre un peu du syndrome inverse. Une grande majorité des fans s'accorde à dire que les dessins du manga de Toriyama sont plus beaux que ceux de l'animé. Ce qui est vrai car j'estime que Toriyama est un excellent dessinateur. Sur l'animé, on a le duo Uchiyama Masayuki (surnommé poitu-man et assurément le plus mauvais du staff) et Ebisawa Yukioa (le second plus mauvais) qui ont réalisé 123 épisodes sur les 291 que compte la série. Par contre, le trio Maeda Minoru/Nakkatsuru Katsuyoshi/ Yamammuro Tadayoshi qui font partie des meilleurs et dont les dessins valent vraiment ceux de Toriyama en ont réalisés seulement 40. Un peu comme "Saint Seiya", les 128 autres épisodes sont partagés par d'autres animateurs avec lesquels on alterne, là aussi, le bon et le mauvais. A peu de choses près, on arrive un peu dans les mêmes proportions que "Saint Seiya". Seulement, dans l'imaginaire des fans, Kurumada = mauvais dessinateur donc on va plutôt retenir les meilleurs épisodes de la série alors que Toriyama = très bon dessinateur mais là on va surtout retenir les plus mauvais.

On ne peut pas réduire les beaux épisodes de STS à Araki/Himeno et Inoue. Shindo, Kobayashi et Naoi n'étaient pas des tanches non plus, et tous les animateurs avaient globalement fait de gros progrès au fur et à mesure que la série avançait, c'est pas étonnant si la qualité s'est homogénéisée à partir d'Asgard. Il y a aussi le chara design qui aidait, les V2 était plus épurée, plus simple à dessiner, et les personnages plus sveltes.

21 octobre 2018 à 19:07:27
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Re : Saint Seiya ~ Saintia Sho ~ Anime (diffusion dès le 10 décembre 2018) Moi je suis vraiment emballé. [:aloy]

C'est vraiment très beau, j'ai presque l'impression de voir des réminiscences du Tenkai par moment et l'arakistyle colle plutôt bien à Saintia Sho, qui reste avant tout une side-story du Saint Seiya de base.


26 octobre 2018 à 15:37:24
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Re : Saint Seiya ~ Saintia Sho ~ Anime (diffusion dès le 10 décembre 2018)
Est ce que j'ai dit que c'était moche ? J'ai dit que c'était enlaidi par rapport au manga, nuance  :o

C'est pas enlaidi, c'est juste différent.

La réalisation n'a vraiment pas à rougir face au manga : c'est beau, soigné, bien mis en scène.

Après on peut ne pas adhérer au style et penser que c'est une trahison par rapport au manga (alors que l'auteure elle-même, en est ravie apparemment), mais dire que ça "enlaidi" le manga, faut pas déconner quoi. [:kred]

Jabu. [:onion tears]

Je prie pour que son combat contre Toki soit rallongé dans l'anime.  [:onion tears]

26 octobre 2018 à 17:01:48
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Re : Knights of the Zodiac [Netflix 2019] Ils vont pas vraiment se chevaucher, dans le sens où Sho sera une série à suivre sur au moins 3 mois, tandis que KotZ sera balancé d'une traite en un jour, série Netflix oblige. [:aloy]
03 novembre 2018 à 16:06:27
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