Pour l’absence d'espace avant : ça viens aussi du correcteur orthographique de Word. La version que j'ai me souligne toujours en vert cette partie.
les "Mr" écrits partout et qui sont l'abréviation de "Mister" (et non pas Monsieur, qui s'écrit "M."), etc. ).
Oui enfin ça si ils font de l'HTML c'est normal, ce sont les termes de rigueur. Les slides c'est pareil, s'ils font du code c'est tout à fait normal d'appeler ça comme ça. Pareil si ils utilisent des ordis, la pratique courante est de renommer les vieux dossiers en "[nom du dossier]_old" pour qu'il ne soit plus pris en compte, mais pour ne pas le supprimer pour autant, au cas où.
Sauf que Mr. est une bien une abréviation français réelle de "Monsieur" même si elle un peu désuète.
Sinon plus globalement je suis pas sûre de la pertinence de gueuler à chaque anglicisme et déformation de la langue qui font partie de l'évolution naturelle de tout langage... parce que la frontière entre "c'est n'importe quoi" et "je passe pour un vieux con" est mince, alors même qu'on a de toute façon grandi avec une langue qui a déjà son lot d'anglicismes et autre. Ou alors y a un siècle certains ici auraient gueulé pour qu'on dise "fin de semaine" plutôt que week-end ?
Bonne remarque. De plus, les langues empruntent les unes aux autres depuis longtemps. Je n'ai rien contre les anglicismes, mais je n'en abuse pas non plus.
Vous aussi vous voyez de plus en plus de gens écrire "ça fessait" au lieu de "ça faisait" ?
Oui, il me semble qu'il en avait été question un temps. Parce qu'on mettait du rouge. C'était pas positif. Ça pouvait blesser l'enfant. Ou une connerie du genre. Non ?
En gros, tu révisais ta dictée chez toi, la veille, et tu la recrachais telle que tu l'avais apprise le lendemain sans réfléchir à pourquoi tel ou tel mot s'écrit comme ça. Une aberration totale, cela va de soi.
Je ne sais pas si les dictées étaient parties, mais j'avais entendu qu'il y avait eu (à un moment ?) des dictées préparées à la maison. En gros, tu révisais ta dictée chez toi, la veille, et tu la recrachais telle que tu l'avais apprise le lendemain sans réfléchir à pourquoi tel ou tel mot s'écrit comme ça. Une aberration totale, cela va de soi.