D'après le message d'un utilisateur en bas de cette page, il semblerait que les volumes épuisés soient réédités à partir de janvier 2014 :http://www.manga-sanctuary.com/bdd/manga/1239-dorohedoro/
Hope Emerson est fils du célèbre Peace Emerson un tireur de génie. Hériter de son arme, le Peacemaker, Hope se retrouve malgré lui entrainé par un parieur invétéré dans le monde des Duellistes et recueille une jeune fille, Nicola Crimson, Petite fille du marchant d'arme Phillip Crimson. Ce dernier, a la tête des Crimsons Executeurs, un groupe de mercenaires d'élite, dépèche ses alliés pour récupérer Nicola et les secret qu'elle détient...
Lassé par la routine du dessinateur face à ses planches et écrasé par la pression inhérente à son travail et, Hideo Azuma, un " mangaka " célèbre, décide, du jour au lendemain, de quitter son boulot et de mettre fin à ses jours. Après l'échec de son suicide, il décide de vivre dans la rue en SDF. Son temps est dès lors consacré à trouver de quoi se nourrir afin d'améliorer son quotidien précaire...
Six années se sont écoulées depuis la sortie d’Hideo Azuma du pavillon des alcooliques dont les aventures nous sont relatées dans Journal d’une disparition. Nous suivons donc l’auteur dans sa vie quotidienne, rythmée par ses lectures aussi diverses que nombreuses ainsi que par les différents projets sur lesquels le mangaka planche. Ceux-ci, recueillant plus ou moins de succès auprès des éditeurs ou du public, nous font cependant découvrir l’intimité d’un mangaka. Constamment ponctué d’anecdotes et de réactions à brûle-pourpoint, le récit d’Hideo Azuma n’en demeure pas moins empreint d’une véritable sincérité.
Qui se soucie des enfants de la nuit, ceux qui tombent dans la drogue, la violence, la prostitution, négligés par leur famille ou se sacrifiant pour retarder leur désintégration ? Leur chute et leur destin se jouent le plus souvent dans la plus stricte indifférence de leur entourage, ou la cruauté de ceux qui y contribuent par leur violence. Ce sont ces vies sans espoir dont est souvent témoin Mizutani, professeur de cours du soir, lui-même héritier d’un passé assez sombre. Son inaction lui pèse et il tente un jour maladroitement d’aider un de ces enfants rencontré lors d’un des parcours nocturnes qu’il effectue dans la ville. Mais il arrive malheureusement bien trop tard pour Masashi et n’arrivera pas à le sauver… La responsabilité de cette tragédie pèse sur la conscience de Mizutani, qui décide de faire tout ce qu’il peut pour aider ces enfants qu’il croise chaque nuit. Une entreprise souvent désespérée et déchirante à chaque échec, bien plus nombreux que les quelques résultats positifs. Chaque nouvelle histoire recelant autant de potentielle laideur que d’espoir, chaque ronde de nuit est pour Mizutani un combat contre la fatalité.
Osamu Mizutani est né en 1956. Au cours des années 1970, il suit des études de Philosophie qu'il finit par abandonner, pour partir un temps en Europe où il enchaine les petits boulots. Mais à la fin de la décennie, il revint sur les bancs de l'Université pour finalement devenir enseignant en Sciences Sociales, dans un collège de Yokohama. Au fil des ans, il se mit à donner des cours du soir pour des élèves en difficulté, scolaires comme sociales. Il décida également de patrouiller la nuit pour retrouver des jeunes gens en perdition et les aider dans leur réinsertion. L'enseignant diffuse également son message à plus large échelle : conférences, passages en télévision, ainsi que par le biais d'ouvrages spécialisés, dont font partie les volumes de Yomawari Sensei.A la fin du mois de septembre 2004, Osamu Mizutani décide de quitter l'enseignement, pour se consacrer uniquement à ce combat qui anime son quotidien depuis une vingtaine d'années.
Ah j'ai cette série à la bib, c'est clair que c'est pas la mélodie du bonheur.
Tu te dois donc de lire Punpun : c'est tout aussi poignant que Solanin mais un cran au-dessus dans la dark-attitude où la réalité te frappe au coin de la rue depuis ton plus jeune âge
J'ai tout lu jusqu'à la fin. J'hésite entre te remercier et te maudire.
Purée, j'ai rarement autant eu envie de tabasser des personnages de manga avec une batte de base-ball.