Sinon, revenons à un sujet fondamental, partant des conversations en ces lieux où ailleurs : qui regrette la disparition de la bise et des poignées de main ? Ça c'est du sujet de société, madame !
Au moins, on ne doit plus subir les bises baveuses de certains, ni la personne qui te fait des reproches parce que chez elle c'est 3 bises alors que toi c'est 2 (et que tu n'as pas envie de morfler sa mauvaise haleine plus que nécessaire).
Optez pour les embrassades / hugs à la nord américaine alors
Oh, mais ma "préférence" n'a rien à voir avec une quelconque considération d'hygiène.(Mais oui, les mains moites, c'est dégueulasse)C'est juste que je suis mal à l'aise quand je fais des bises. Je trouve qu'il y a un coté agression/intrusion dans la sphère intime non désirée. Et pour les nanas à qui on claque la bise à la moindre occasion, ce sentiment doit être encore pire.Après, hein, je ne juge pas, chacun fait ce qu'il veut, mais, perso, je n'aime pas ça.
Ce genre de pratique se réserve quand même à la sphère privée (et encore, je ne fais même pas de câlins aux membres de ma famille, en fait).
Oui enfin, ils ont le droit de bannir Trump, c'est une modocratie xxl, le laisser inciter a la sédition, diffamation de ses adversaires politiques et a la haine peut même leur valoir des poursuites judiciaires si des gens ont motivés a aller en tribunal, sauf que vu la fortune de twitter et l'efficacité de leurs éventuels avocat, ça serait bien compliqué. C'est pas un espace publique ou accessible, c'est une entreprise privé , Trump violait leurs conditions d'utilisation depuis des années.
Facebook twitter ne sont pas des sociétés civiles mais des sociétés commerciales, et ce sont encore moins des espaces privés (on est chez soi mais en contact avec l'extérieur) : un peu comme un pmu (dont ça se repproche sur tous les plans) : nul n'a le droit de ne pas vous servir, mais si vous commencez à être trop bourré on doit vous virer pour éviter des poursuites, et si vous insultez les clients, vous avez toute lattitude pour demander de ne plus remettre les pieds dans le bar. Qu'on prenne des lieux contractuels pour des sociétés civiles au sens pleinier avec un devoir d'information, des citoyens de twitter qui ont le droit de se faire entendre etc, montre à quel point nous sommes dans un monde qui mélange absolument tout. Il y a des clauses contractuelles, si on ne les aime pas on a toute lattitude pour ne pas s'inscrire.
C’est vrai, Twitter érige des règles et il est en droit de les faire respecter en son royaume. Mais dans ce cas, il y a deux poids deux mesures car un grand nombre d’utilisateurs ne les respectent pas, sans être inquiétés. D’autre part, il n’est intellectuellement pas honnête de considérer que Twitter, ou Facebook, ne sont que de simples plateformes. Elles comptent respectivement 326 millions et 2,7 milliards d’utilisateurs, elles sont devenues les principaux supports de communication et d’information dans le monde entier. À ce titre, elles ont une responsabilité, et c’est celle de la neutralité.
Imaginons un instant que ces entreprises, dans dix, vingt, trente ans, changent de main et soient rachetées par des intérêts privés politiquement liés à des gens comme…eh bien comme Trump, par exemple. Ou Vladimir Poutine. Ou leurs héritiers en autocratie. S’il y a quelque chose que ce début de vingt-et-unième siècle nous a enseigné, c’est bien que tout est devenu possible, surtout en termes de manipulation de l’information. Les millions d’abonnés à Twitter, les milliards d’abonnés à Facebook trouveront-ils tout aussi légitime et juste que chacune de leur publication défendant, au hasard, Black Lives Matter, citant Martin Luther King ou reprenant les revendications de Greta Thunberg soient censurées, supprimées parce qu’elles violent les règles de la plateforme ?
Les plateformes de réseaux sociaux ne sont pas responsables du chaos dans lequel l’Amérique a été plongée, sauf à dire qu’avant leur existence, il n’y avait pas de rébellion, pas d’émeutes, pas de tentatives de coups d’État. Et naturellement, nous sommes face à un dilemme : soit on leur demande de rendre des comptes sur ce qu’elles diffusent, et c’est la liberté d’expression qui en pâtira car pour se protéger, elles viseront l’asepsie maximale. Soit on les considère comme d’uniques vecteurs de contenus, et ce sont ceux qui les produisent qui doivent être tenus pour responsables de ce qu’ils disent – pas devant un tribunal populaire, pas devant un tribunal composé des intérêts privés et commerciaux de ceux qui en tirent les ficelles, mais devant la justice des pays où ces opinions se manifestent.
Si Trump avait su un peu fermer sa gueule et ne pas ajouter de l'huile sur le feu, il se serait jamais fait censurer massivement, est-ce si legal de laisser quelqu'un inciter a la sedition et a l’émeute,? surtout que c'est pas un petit mec random mais, un president/gourou sectaire/type charismatique acculé qui est capable de faire agir des gens irl et de manière violente s'il le faut.puis un reseaux sociaux est pas censé laisser un discours qui incite a la haine
En plus les discours dans le printemps arabes etait largement moins fanatiques au debut et ils ont pas l'influence de trump dans le monde occidental, en plus spoiler, une partie de ces gens sont aujourd'hui en prison dans certains pays (certains risque même d’être condamnés a mort) ou en exil, car considérés comme des opposants politiques.
Puis c'est super intéressant de prendre ce genre d'exemple (alors que la nana misandre, a part ses potes, elle a meme pas une si grand influence que cela chez les feministes, c'est un peu comme le partisans de la terre plate chez les complotistes, c'est plus la risée du truc qu'un mouvement influent, c'est meme pratique des inviter dans les medias, ça fait le mechant invité pratique comme l'est zemmour) , ce n'est pas comme si on avait deux millions de preuves que Trump incite a la sedition, emeute, haine et autres crimes
le gars passe un coup de fil a un gouverneur pour tenter de truquer les resultats d'une election, c'est un crime dans un peu prets la plupart des democraties du monde, il s'est fait gauler en flagrant delit et s'est fait balancer par ce gouverneur republicain, a un moment, faut arreter de se voiler la face.
Si j'étais vache je dirais : en même temps azb si c'est pas des armures il ne comprend pas le sens du mot aimer alors c'est normal qu'il ne comprenne ps le concept de bi.
En même temps, les armures, c'est sensuel Alors que les humains c'est sale