Il me semble qu'il y avait déjà eu des "tentatives" d'intervention (la derniere fois sous Clinton, je crois).Ça a toujours foiré dans les grandes largeurs, je cru comprendre (même si je ne sais pas trop le pourquoi du comment).
Après si le pays en fait la demande là les autres peuvent intervenir ... mais il faut qu'ils demande de l'aide en premier.
Peut être que la base même du droit international c'est de la merde après hein.-Sergorn
Peut être que la base même du droit international c'est de la merde après hein.
Sur un autre registre : ça devrait passer le cap du parlement, mais pour le sénat, je suis un peu plus réservé.https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/03/13/emmanuel-macron-dit-vouloir-inscrire-la-notion-de-consentement-en-matiere-de-viol-dans-le-droit-francais_6221813_3224.html
Iavec enregistrement vidéo
Je ne comprends pas en quoi ce rajout semblait nécessaire. La contrainte, la force, la menace ou la surprise, c'était déjà pas assez clair ?
D'autant que la contrainte suppose tout de même une absence de consentement...
Pour les raisons (bonnes ou mauvaises) suivanteshttps://www.publicsenat.fr/actualites/societe/un-texte-depose-au-senat-pour-definir-labsence-de-consentement-comme-lelement-constitutif-du-viol
C'était incomplet : pour certains, "non", c'est un "oui" qui ne s'assume pas, et un "peut-être", c'est un "oui", et il faut prendre en compte le fait que certaines personnes sont plus ou moins paralysées ou n'arrivent pas à réagir explicitement.
https://www.cybermalveillance.gouv.fr/tous-nos-contenus/actualites/violation-de-donnees-personnelles-france-travail-formulaire-lettre-plainte-202403Vraiment, c'est à se demander pourquoi les gens sont encore sur France Travail ...
C'était incomplet : pour certains, "non", c'est un "oui" qui ne s'assume pas, et un "peut-être", c'est un "oui"