Ah, au temps pour moi, j'connaissions point. Je pensais que tu parlais du vrai quotidien, du coup je me disais qu'ils avaient pas peur. Ah oui, si c'est pas un vrai site de presse, c'est couillon qu'ils n'assument pas.
Facebook les a censurés, du fait des plaintes reçues. Le gars était d'ailleurs bien énervé hier.
Aïe aïe aïe...https://twitter.com/Daily_Express/status/938155018422808576D's©
Forrest Gump est un personnage atteint d'une pathologie grave, cette comparaison est pour le moins indélicate à l'égard des gens qui souffrent de ce genre de maladies, et aussi de Johnny qui était loin d'être l'abruti dépeint par les caricatures. Il avait des difficultés d'élocution mais ce genre de réflexion revient à prendre Stephen Hawking pour un charlatan parce qu'il est en fauteuil roulant.C'est lui par exemple qui décide de se tourner vers Michel Bergé ou JJG pour écrire ses chansons, parce qu'il comprend que continuer dans la même voie sans évoluer revient à se ringardiser. Il a aussi fait des bêtises comme être trop dépensier mais a toujours réussi à se reprendre en main.
J'ai eu des échos par des gens du milieu, et ce que tu décris est juste pour la plus grande partie de sa carrière.Ensuite, quand il a rencontré Laetitia, le père de cette dernière a jeté un oeil sur les contrats de Johnny et a dénoncé -à raison- le fait que son producteur a certes très bien géré l'image et la carrière de Johnny, mais en ayant complètement roulé ce dernier dans la farine financièrement. Avant d'embrayer sur le refrain des méchants producteurs, il est plus juste d'avouer que Johnny n'était vraiment pas doué/interessé pour négocier ses contrats ^^Sa situation financière s'est arrangé une fois que le père de Laetitia a pris les choses une main.
Mince, je ne savais pas que George Michael était mort
En termes d'icône comparable à Johnny, sans aucun doute Mylène Farmer.
Pas sûre que ça touche autant de générations, though .
de la variétoche jetable à deux balles des Jeanne Mas, Sabine Paturel, Corynne Charby et consort dont les radios et télés nous abreuvaient alors.
Ah oui, quand même...